Année politique Suisse 1972 : Parteien, Verbände und Interessengruppen
Parteien
Diskussion über die Aussichten der Parteien unter dem Eindruck der Gründung zahlreicher Splittergruppen — Stärkung der Parteien durch staatliche Beiträge an die Fraktionen — Auseinandersetzungen um eine Parteireform im Freisinn — lm Landesring machen sich Linkstendenzen geltend — Spannungen in der Sozialdemokratischen Partei — Aktivitäten linksextremer Gruppen — Die Nationale Aktion nähert sich nach einem Führungswechsel der Republikanischen Bewegung an — Weitere Konsolidierung der Christlichdemokraten — Die Schweizerische Volkspartei arbeitet ein Aktionsprogramm aus — Die Evangelische Volkspartei bleibt trotz Fraktionsgemeinschaft mit den Liberaldemokraten selbständig.
Système des partis
De nombreux observateurs ont cru remarquer en 1972 une nouvelle aggravation de la crise que traversent les partis suisses. On a relevé principalement les moyens insuffisants à disposition pour venir à bout du problème, l'absence de sécurité financière, le désintéressement général des citoyens pour la politique de parti et l'effectif réduit de jeunes recrues
[1]. La création de nombreux groupuscules, parfois éphémères et dont le programme était limité à la solution de quelques problèmes isolés, accentua, de l'avis de divers critiques, ce phénomène de crise. A Bâle, apparurent à la veille des élections au Grand Conseil les petites formations que voici : « Soziales Basel », « Die Unzufriedenen », « Volksvertretung für Lebensfreude und gegen Missbrauch der Macht », ainsi qu'un « Komitee zur Erhaltung des Wohnraums in der Innenstadt »
[2]. Ils réunirent 1,47 % des voix. C'est en nombre également que des groupements minuscules firent leur apparition lors de l'élection des conseils communaux en Argovie
[3]. Quelques organisations nouvellement créées dans les communes du canton de Berne ont eu un peu plus de succès, tels l'« Entente biennoise hors parti » ou le « Forum Muri-Gümligen »
[4]. Un « Mouvement pour la protection de l'environnement » remporta un certain succès dans la ville de Neuchâtel ; il en fut de même à Saint-Gall du mouvement « Politische Aktion pro St. Gallen »
[5].
D'autre part, on a conclu de cette prolifération que les partis n'étaient soumis à aucun de ces processus de concentration analogues à ceux de l'économie
[6]. Au contraire : l'aide financière, le développement de la démocratiè à l'intérieur des partis et le dynamisme de la jeunesse pourraient leur donner de nouvelles chances, ainsi qu'une augmentation de prestige et de puissance. Bien qu'un parti d'opposition proprement dit aurait à surmonter, sur le plan fédéral, d'innombrables difficultés, des événements extérieurs au pays ou un processus de polarisation de politique intérieure pourraient favoriser une telle formation
[7]. Concrètement, la situation des partis s'est améliorée par l'entrée en vigueur du financement des groupes parlementaires sur le plan fédéral. Chaque fraction reçoit dorénavant une indemnité de base de 5000 francs ainsi que 1000 francs par membre
[8]. Divers cantons ont introduit des indemnités semblables ou se préparent à le faire
[9]. L'enquête sur une reconnaissance éventuelle des partis dans la Constitution, entreprise par le DFJP, a pu être terminée. Elle a révélé une majorité favorable à la création d'un article sur les partis
[10].
Parti radical-démocratique
Alors que, dans les années précédentes, le Parti radical-démocratique (PRD) avait su généralement éviter les conflits internes, une vague inhabituelle de critiques a bouleversé ses rangs dernièrement. Des forces jeunes se sont fait entendre
[11], réclamant aussi bien des réformes d'organisation qu'une réorientation vers un libéralisme plus affirmé
[12]. Le parti a essayé d'enrayer provisoirement l'agitation en constituant des commissions chargées d'étudier les moyens aptes à réanimer conceptions directrices et structures
[13]. Il fut toutefois difficile d'évaluer dans quelle mesure la base a réagi à cette tentative de réforme menée au nom d'un « Liberalismus im Aufbruch ». Le parti cantonal valaisan a enregistré un certain virage à gauche, qui avait débuté chez les Jeunes Radicaux
[14]. Les activités d'un « Forum für liberale Politik » (FLP) nouvellement constitué dans le canton de Bâle-Campagne, ainsi que celles du groupe saint-gallois « Arbeitsgruppe für liberale Politik » (ALP) avaient à peu près la même tendance
[15]. Les efforts de renouvellement entrepris dans d'autres partis cantonaux n'ont pas semblé ouvrir de nouveaux horizons
[16]. La demande, très remarquée, de la réintroduction de la peine de mort pour les enlèvements d'otages
[17], déposée par une fraction de la direction du PRD du canton de Saint-Gall
[18], a été rejetée par divers milieux de gauche à l'intérieur et à l'extérieur du parti, et même par les Jeunes radicaux (JRS). Les JRS en revanche se sont montrés réservés dans leurs prises de position à propos de questions de politique sociale et militaire. Dans le canton de Neuchâtel, des radicaux se sont distancés de membres, plus jeunes qu'eux, des JRS qui s'étaient groupés autour d'une publication conservatrice intitulée « Réaction »
[19]. D'autres motifs ont été à l'origine de la scission formelle entre les radicaux et les jeunes radicaux schaffhousois
[20]. Un de ces derniers avait été élu à l'exécutif communal de la capitale à l'encontre des décisions du parti radical. Celui-ci se refusait à détenir la majorité ; or c'est précisément ce qui arriva par l'élection du candidat des jeunes. Dans le parti radical du canton de Bâle-Ville, une grave crise a éclaté après les lourdes défaites enregistrées lors des élections au Conseil national et au Grand Conseil. Elle a toutefois pu être partiellement résolue vers la fin de l'année
[21].
En dépit de signes annonciateurs de certains changements dans l'orientation du parti, d'autres groupes libéraux de gauche se sont séparés du PRD. L'Association libérale suisse d'étudiants, considérée jusqu'ici comme proche du PRD, s'est déclarée indépendante
[22]. La « Neue Demokratische Bewegung » du canton de Zurich qui, après la fusion des démocrates avec les radicaux, essaie de maintenir une position démocratique indépendante, s'est avérée trop sociale pour les radicaux et trop libérale pour les socialistes
[23]. Ces deux formations participèrent, avec d'autres organisations libérales telles que le Team 67, le FLP, l'ALP et autres, à une rencontre sur le libéralisme de gauche lors de laquelle le PRD et l'Union libérale-démocratique furent soumis à une vive critique et où l'on discuta d'une union des forces libérales de gauche
[24].
Alliance des indépendants
Après quelques lourdes défaites
[25], l'Alliance des indépendants a ouvert le débat sur « l'échelle des valeurs » qui est la sienne. On a enregistré à cette occasion une
orientation à gauche dans le sens d'un libéralisme social
[26]. Lors de la Journée nationale du parti, un représentant de l'aile gauche, L. Theiler (BE), ainsi qu'un représentant des employés, E. Schmid (FSE, ZH), l'ont emporté sur S. Widmer (ZH) et L. Uffer (SG)
[27]. A l'occasion du scrutin populaire sur l'initiative d'interdiction d'exportation d'armes, l'Alliance des indépendants recommanda l'acceptation
[28]. L'initiative du PdT pour une retraite populaire put même réunir parmi les délégués du parti réunis en congrès, 69 partisans (contre 144 adversaires)
[29]. Une nouvelle section fut fondée dans le canton du Valais
[30].
Parti socialiste
Le Parti socialiste (PS) enregistra lui aussi une surprise lors de son congrès, lorsque A. Gerwig (BS) fut élu à la direction à la place du conseiller d'Etat bernois E. Schneider
[31]. La presse interpréta cette élection comme une victoire de l'aile gauche, laquelle tenta d'ailleurs en d'autres occasions, de se mettre en vedette. Souvent, l'impulsion vint des jeunes socialistes qui ont cherché à s'organiser sur le plan fédéral
[32]. Cela ne manqua pas de susciter de fortes tensions internes qui provoquèrent dans quelques cas des réactions particulièrement vives. C'est ainsi que la non-élection du conseiller national Villard (ps, BE) à la Commission militaire, l'appartenance du conseiller national Hubacher (ps, BS) à un comité d'appui à l'initiative Denner, des exclusions à Neuchâtel, à Bâle et à Arbon amenèrent les commentateurs à prévoir un éclatement du PS
[33]. Les difficultés supplémentaires éprouvées par la presse socialiste contribuèrent à alimenter de telles suppositions
[34]. Enfin, en Suisse romande, le PS et le PdT opérèrent un rapprochement. Les partis socialistes genevois et valaisan soutinrent, contrairement au parti national, l'initiative pour une retraite populaire
[35]. Un congrès du PS vaudois décida officiellement de resserrer ses liens avec le POP, politique qui se concrétisa par des apparentements de listes et la poursuite d'actions communes
[36].
Petits partis de gauche
Dans les rangs communistes, on salua avec joie ces décisions rappelant le temps du Front populaire. Le processus de désintégration de l'extrême gauche n'en fut pas enrayé pour autant. D'innombrables groupuscules et périodiques propagèrent les idées marxistes, toutefois interprétées de façon très diverse
[37]. La force communiste la plus représentative continua à être le Parti du travail (PdT) qui put se consolider en dépit des défaites enregistrées lors des élections communales neuchâteloises
[38]. Le parti créa une nouvelle section dans le canton de Fribourg
[39]. Lors des élections au Grand Conseil de Bâle-Ville, le PdT conquit un neuvième siège
[40]. Pour ces élections, il avait fait alliance avec les Progressive Organisationen (POB)
[41].
Cette association, arborant sur le plan suisse le sigle de « POCH », apparut également dans les villes de Zurich et de Berne. Ici, elle lutta contre la démolition de maisons, là contre l'augmentation du tarif des trams
[42]. A Soleure, elle revendiqua de nouveaux droits pour les apprentis
[43]. En ville de Saint-Gall, par contre, elle subit une défaite lors des élections communales, en dépit d'une initiative prévoyant quatre semaines de vacances pour les apprentis
[44]. Le « Partito Socialista autonomo » du Tessin apparenta ses listes, pour les élections communales, à celle du PdT
[45]. On parla un peu moins de la Ligue marxiste révolutionnaire
[46]. Elle a trouvé une concurrente dans la création d'un « Kommunistischer Jugendverband »
[47]. Les organisations mentionnées ci-dessus et beaucoup d'autres s'activèrent spécialement lors de manifestations contre la guerre du Vietnam ou en faveur de la libération d'Angela Davis, la militante communiste des droits civiques. En politique intérieure, elles s'engagèrent notamment lors des votations sur l'initiative pour une retraite populaire et sur le traité de libre-échange avec la CEE, traité qu'elles repoussèrent comme étant un pas vers « l'Europe des trusts »
[48].
Droite nationaliste
Les deux extrêmes de l'éventail politique se rencontrèrent sur la question des relations avec la CEE, car le
Mouvement républicain (MNA) et l'
Action nationale (AN) s'opposèrent aussi au traité. Elles craignaient, dans le cas d'un rapprochement avec Bruxelles, une augmentation de la surpopulation étrangère. La lutte contre cette surpopulation est restée l'objectif principal des efforts de ces groupements
[49]. Après avoir suivi pendant quelque temps des voies séparées, ils ont amorcé un rapprochement. Ce mouvement débuta lorsque le président central de l'AN, R. Weber (BS), se retira dans des circonstances restées quelque peu obscures, et que sa place fut reprise par le conseiller national V. Oehen (BE), plus souple dans sa direction
[50]. Aucune fusion officielle n'a cependant eu lieu durant l'année. A l'intérieur du parti, l'AN du canton de Zurich a été le théâtre d'une nouvelle dissension, provoquée paraît-il par une affaire d'escroquerie
[51]. En revanche, le parti parvint à réintégrer la section dissidente de la Suisse centrale et à mettre sur pied une nouvelle section dans le canton de Vaud
[52]. Le MNA y fonda également un groupement
[53]. De plus, après plusieurs tentatives, il parvint à créer une section lucernoise et, à Genève, le mouvement « Vigilance » se joignit officiellement à lui à titre de section
[54]. Toutefois, la fermentation agita aussi les rangs républicains, comme par exemple dans les cantons de Thurgovie et de Saint-Gall et même dans la Conférence nationale des partis cantonaux
[55].
Parti démocrate-chrétien
Le Parti démocrate-chrétien (PDC), qui avait procédé dans les années précédentes à d'importantes réformes de structures
[56], s'est consolidé. Le Parti indépendant chrétien-social genevois (PICS) et le Parti populaire (« Volkspartei ») du canton et de la ville de Lucerne, tous deux bastions importants du PDC, ont adopté la nouvelle appellation
[57]. Le Parti chrétien-social du canton de Lucerne, par contre, a maintenu opiniâtrement son indépendance
[58]. Attitude parfaitement justifiable du moment que les chrétiens-sociaux suisses avaient adopté une nouvelle ligne de conduite d'après laquelle il devait exister trois possibilités : constituer ou bien des partis chrétiens-sociaux autonomes, ou des groupes de partis chrétiens-sociaux ou des mouvements socio-politiques à l'intérieur du PDC
[59]. Dans le canton de Thurgovie s'est opéré un début de rapprochement entre chrétiens-sociaux et chrétiens-démocrates
[60].
Union démocratique du centre
Dans l'Union démocratique du centre (UDC), qui avait également entrepris une
ample réforme de son organisation, on a pu constater un développement analogue. Le premier parti cantonal de l'UDC à changer d'appellation fut celui d'Argovie
[61]. Le « Glarner Demokratische und Arbeiterpartei », depuis 1971 section cantonale de l'UDC, prit le nom de « Demokratische Volkspartei » (DVP)
[62]. Le PAB du canton de Berne, par contre, en resta à son ancienne dénomination
[63]. A Schwyz se constitua, à la veille des élections au Conseil d'Etat, un PAB dont les relations avec l'UDC n'ont pas encore pu être déterminées
[64]. La fraction « jeunesse » du PAB modifia également son nom en « Schweizerische Junge Mitte »
[65]. Elle a contribué pour une bonne part à l'élaboration du programme d'action de l'UDC, programme qui expose en 305 thèses l'attitude du parti vis-à-vis des problèmes actuels et futurs. Ce programme révèle clairement l'effort fait par l'UDC pour trouver une synthèse entre le progressisme et l'immobilisme conservateur
[66].
Parti évangélique populaire
Les tentatives de l'UDC visant à intégrer, à côté des démocrates, le Parti évangélique populaire (PEP), ont échoué à cause de la volonté d'indépendance de ce dernier
[67]. Volonté apparue également dans les efforts du PEP pour mettre sur pied de nouvelles sections, efforts qui furent couronnés de succès dans quelques communes
[68]. Le PEP enregistra également quelques succès électoraux
[69].
Union libérale-démocratique
Le groupe commun formé au Parlement par le PEP et l'Union libérale-démocratique ne posa pas de problème ; toutefois, de l'avis des deux partenaires, le mot « et » serait le plus important dans la dénomination « fraction libérale et évangélique »
[70]. Lors des élections dans les cantons de Bâle-Ville et de Neuchâtel, les libéraux-conservateurs ont su maintenir leurs positions
[71]. Dans le canton de Neuchâtel se créa un « Mouvement de la jeunesse libérale », qui « souhaite vivifier le parti »
[72]. Cette formation demanda la rupture des relations diplomatiques de la Suisse avec la Libye
[73].
[1] Hans Stark, Die Krise der schweizerischen Parteien, Separatdruck Bund, Bern 1972 ; NBüZ, 209, 4.7.72 ; Evangelische Woche, 45, 10.11.72. Sur le point de vue des jeunes : BN, 161, 18.4.72 ; Beobachter, 23, 15.12.72, p. 38 ss.
[2] NZZ, 105, 2.3.72 ; NZ, 109, 6.3.72, et suivants. Cf. supra, p. 30.
[3] Cf. Evangelische Woche, 23, 9.6.72.
[4] Bund, 152, 2.7.72; 185, 9.8.72; 199, 25.8.72; 252, 26.10.72; TG, 262, 8.11.72 ; TA, 268, 16.11.72 ; AZ, 276, 23.11.72. Cf. aussi supra, p.
[5] Bund, 105, 5.5.72 ; 211, 8.9.72 ; TG, 139, 16.6.72 ; NBüZ, 230, 25.7.72 ; St. Galler Tagblatt, 189, 14.8.72 ; Ostschw., 227, 27.9.72 ; 264, 9.11.72 ; 272, 18.11.72 ; TA, 264, 11.11.72.
[6] Erich Gruner, « Neue Chancen für die Parteien », in NZZ, 422, 10.9.72 ; cf. aussi Ldb, 108, 12.5.72.
[7] Fritz Zopfi, « Polarisierung in der Konkordanzdemokratie », in Emmenthaler Blatt, 236, 7.10.72.
[8] AS, 1972, p. 81 ss. ; RO, 1972, p. 81 ss. ; Tw, 52, 2.3.72 ; TA, 36, 12.2.72.
[9] VS : Bund (dds), 213, 11.9.72 ; cf. supra, p. 146. BE : Bund, 218, 17.9.72 ; 22, 21.9.72 (Langenthal) ; 297, 18.12.72 (Köniz). SO : Bund, 246, 19.9.72 ; 252, 26.10.72 ; 282, 30.11.72. ZH : NZN, 42, 19.2.72 ; 68, 21.3.72 ; 120, 26.5.72 ; NZZ, 137, 21.3.72.
[10] NZZ (ats), 441, 21.9.72 ; BBI, 1972, I, no 15, p. 1074 s. ; FF, 1972, I, no 15, p. 1070 (Grandes Lignes) ; cf. aussi : Mario Gallino, « Lo Stato deve finanziare i partiti », in CdT, 162, 164, 166, 168 et 170, 17-26.7.72, et notamment 164, 19.7.72.
[11] L'activité du PRDS et du Groupe radical-démocratique de l'Assemblée fédérale en 1971/72 (publication no 162 du Secrétariat général du PRDS), p. 15.
[12] Jürg Tobler, Freisinn ohne Gemeinsinn, Zürich 1972 ; Peter Günter, « Linksliberalismus », in Der Staatsbürger, 56/1972, p. 62 ss. ; Jörg Thalmann, « Radikaler Liberalismus gesucht», in Schweizer Monatshefte, 52/1972-73, p. 561 ss. ; numéro spécial de la Revue politique, 51/1972, p. 1 ss. (articles de K. Bächtold, G.-A. Chevallaz, R. Deppeler, P. Ehinger, R. Rohr e.a.) ; Badener Tagblatt, 40, 19.2.72 ; 58, 11.3.72 ; NZZ, 188, 23.4.72 ; Ldb, 102, 4.5.72 ; BN, 189, 9.5.72 198, 20.5.72 ; SJ, 18, 29/30.4.72.
[13] L'activité du PRDS..., op. cit., p. 21 ; Berner Tagblatt, 124, 29.5.72 ; NZZ, 530, 13.11.72 ; « Liberalismus heute », projet d'une commission du PRDS, in Revue politique, 51/1972, p. 161 ss.
[14] Jeunesse radicale valaisanne, Le printemps du Valais, Martigny 1971 ; TLM, 140, 9.5.72 184, 2.7.72 ; 190, 8.7.72 ; 255, 11.9.72.
[15] FLP : BN, 208, 2.6.72 ; Baselbieter Post, no 5, juin 1972. ALP : NZZ, 7, 5.1.72 ; SJ, 4, 22/23.1.72 ; cf. APS, 1971, p. 180.
[16] ZH : NZZ, 309, 5.7.72 ; TA, 155, 6.7.72. SG : Ww, 19, 8.3.72 ; St. Galler Tagblatt, 106, 6.5.72 ; 196, 22.8.72 ; Der Volksfreund, 140, 17.6.72 ; 269, 15.11.72 ; NZZ, 293, 26.6.72. AG : Standpunkt (Forum der FDP des Kts AG), no 3, nov. 1972 ; NZ, 438, 27.11.72 ; 410, 27.12.72.
[17] NZZ (ats), 528, 11.11.72 ; 535, 15.11.72 ; St. Galler Tagblatt, 268, 14.11.72.
[18] St. Galler Tagblatt, 268, 14.11.72 ; Ostschw., 272, 18.11.72.
[19] NZ, 128, 17.3.72 ; BN, 127, 24.3.72 ; Tat, 80, 5.4.72 ; TG, 130, 6.6.72.
[20] NZ, 458, 15.11.72 ; Tat, 294, 15.12.72 ; TA, 295, 18.12.72 ; Bund, 305, 29.12.72.
[21] NZZ, 388, 21.8.72 ; 396, 25.8.72 NZ, 332, 26.8.72 ; 29, 27.1.73.
[22] NZZ (ats), 315, 9.7.72 ; Bund, 275, 22.11.72 ; Berner Student, 2, 13.12.72.
[23] TA, 250, 26.10.72 ; NZZ, 503. 27.10.72 ; 563, 1.12.72 ; AZ, 28.10.72 ; cf. APS, 1971, p. 179.
[24] TA, 89, 17.4.72 ; Aargauer Tagblatt, 89, 17.4.72 ; Ldb, 89, 18.4.72 ; 96, 26.4.72 ; NZ, 195, 28.4.72.
[25] Cf. supra, p. 30 ss.
[26] NZ, 284, 15.7.72 ; JdG, 261, 7.11.72 ; Berner Student, 2, 13.12.72 ; Der Ring, 4, 6.3.72 ; 8-10, 8. u. 29.5., 12.6.72 ; 18, 27.11.72.
[27] SJ, 16, 15/16.4.72 ; 21, 20/21.5.72 ; Tat, 90, 17.4.72 ; NZZ, 177, 17.4.72 ; Bund, 89, 17.4.72 ; NZ, 174, 17.4.72.
[28] Tat, 207, 4.9.72 ; NZZ, 411, 4.9.72 ; cf. supra, p. 53 ss.
[29] Tat, 260, 6.11.72 ; NZZ, 518, 6.11.72 ; cf. supra, p. 122 s.
[30] TG, 252, 27.10.72 ; TA, 252, 28.10.72 ; Der Ring, 17, 13.11.72.
[31] AZ, 231, 2.10.72 ; 234, 5.10.72 ; 236, 7.10.72 ; Tw, 231, 2.10.72 ; 232, 3.10.72 ; 235, 6.10.72 ; NZ, 374, 2.10.72 ; NZZ, 458, 2.10.72 ; 464, 5.10.72 ; Bund, 231, 2.10.72 ; 232, 3.10.72.
[32] NZZ (ats), 33, 20.1.72 ; NZ, 38, 24.1.72 ; Infrarot, no 7, 1972.
[33] Sur le CN Villard, cf. supra, p. ; sur le CN Hubacher, cf. supra, p. . Bâle : NZ, 136, 22.3.72 ; 232, 30.5.72. Neuchâtel : TG, 110, 12.5.72 ; TLM, 133, 12.5.72. Arbon : NZZ (ats), 441, 21.9.72.
[34] TA, 145, 24.6.72 ; AZ, 147, 26.6.72 ; cf. supra, p. 138 s.
[35] TLM, 311, 6.11.72 ; NZ, 415, 7.11.72 ; cf. supra, p. 123.
[36] TLM, 282, 8.10.72 ; TG, 237, 10.10.72 ; VO, 234, 9.10.72 ; 235, 10.10.72 ; 256, 3.11.72 ; TA, 239, 13.10.72 ; BN, 323, 14.10.72. Rapprochement aussi à Bâle-Ville : NZ, 44, 27.1.72.
[37] Par exemple les journaux et revues Agitation, Bresche/Brèche, Der rote Bär, Focus, Infrarot, Klassenkampf, Maulwurf, Oktober/Octobre, Zeitdienst e.a.
[38] VO, 232, 6.10.72 ; 246, 24.10.72 ; 248, 25.10.72 ; NZZ, 64, 8.2.72 ; cf. supra, p. 33.
[42] AZ, 216, 14.9.72 ; 229, 29.9.72 ; Nationale Dokumentationsstelle, Bern (NBD), Berichte zur Lage, 1972, no 5, p. 17.
[43] Bund, 300, 21.12.72 ; Zeitdienst, 45, 17.11.72.
[44] Ostschw., 189, 14.8.72 ; NDB, Berichte zur Lage, 1972, no 1, p. 17.
[45] NDB, Berichte zur Lage, 1972, no 1, p. 20 ; no 2, p. 3 ; no 3, p. 2 et 19.
[46] Tat, 270, 17.11.72 ; NDB, Berichte zur Lage, 1972, nos 1-6, passim.
[47] VO, 266, 16.11.72 ; NDB, Berichte zur Lage, 1972, no 1, p. 11, no 2, p. 9, passim.
[48] NZ, 430, 20.11.72 ; cf. supra, p. 38 s.
[49] NZ, 56, 3.2.72 ; 402, 27.10.72 ; Volk + Heimat, no 9, sept. 1972 ; Peter Gilg, « Der Erfolg der neuen Rechtsgruppen in den Nationalratswahlen 1971 », in Revue suisse d'économie politique et de statistique, 108/1972, p. 591 ss. ; Daniel Moser / Paul Ehinger, « Rechtsradikalismus » , in Panorama, no 7, mai 1972. Cf. aussi supra, p. 20 et 113 s.
[50] Après quoi R. Weber fonde le parti des « Unzufriedenen » (Les mécontents) : cf. supra, p. 30. Cf. en outre NZ, 49, 31.1.72 ; 68, 10.2.72 ; TG, 28, 3.2.72 ; Tw, 29, 4.2.72 ; SJ, 6, 5/6.2.72 ; TA, 33, 9.2.72 ; 97, 26.4.72 ; Volk + Heimat, no 2, févr. 1972 ; no 3, mars 1972 ; Der Republikaner, 7, 12.5.72.
[51] TA, 97, 26.4.72 ; TG, 98, 27.4.72 ; Volk + Heimat, no 5, mai 1972.
[52] GdL (ats), 62, 14.3.72 ; Volk + Heimat, no 11, nov. 1972.
[53] Der Republikaner, 17, 8.12.72 ; GdL (ats), 302, 27.12.72 ; NZZ (ats), 603, 27.12.72.
[54] LU : Vat., 47, 25.2.72 ; 48, 26.2.72 ; NZ, 111, 8.3.72 ; Der Republikaner, 4, 10.3.72. GE : JdG, 71, 24.3.72 ; TG, 71, 24.3.72 ; 72, 25/26.3.72 ; Der Republikaner, 5, 30.3.72.
[55] Bund, 44, 22.2.72 ; 263, 8.11.72 ; 265, 10.11.72 ; Ostschw., 47, 25.2.72 ; 285, 5.12.72 ; Der Republikaner, 4, 10.3.72 ; NZ, 375, 3.10.72 ; NZZ (ats), 518, 6.11.72 ; Tw, 261, 6.11.72 ; TA, 259, 6.11.72.
[56] Cf. APS, 1970, p. 185 ss. ; 1971, p. 179 s.
[57] TG, 69, 22.3.72 ; Vat., 69, 22.3.72 ; 72, 25.3.72 ; 125, 31.5.72 ; SJ, 10, 4/5.3.72.
[59] NZZ (ats), 292, 26.6.72.
[60] Thurgauer Volkszeitung, 139, 16.6.72 ; NZZ (ats), 281, 19.6.72.
[61] Aargauer Tagblatt, 117, 23.5.72 ; NBZ, 118, 23.5.72.
[62] Glarner Nachrichten, 50, 29.2.72.
[63] NBZ, 265, 11.11.72 ; 267, 14.11.72 ; Bund, 269, 15.11.72 ; 270, 16.11.72.
[64] Schwyzer Zeitung, 29, 11.4.72 ; NZZ (ats), 167, 11.4.72 ; Berner Tagblatt, 103, 3.5.72.
[65] NZZ (ats), 38, 24.1.72 ; NBZ (ats), 19, 24.1.72.
[66] SVP, Aktionsprogramm 72 (Bern 1973) ; NZZ, 399, 28.8.72 ; Bund, 201, 28.8.72.
[67] Jahresbericht 1971/72, in Evangelische Woche, 19, 12.5.72.
[68] Evangelische Woche, 2, 14.1.72 ; 9, 3.3.72 ; 12, 24.3.72 ; 38, 22.9.72 ; 45, 10.11.72.
[70] Jahresbericht 1971/72, in Evangelische Woche, 19, 12.5.72.
[71] Cf. supra, p. 30 s. et 33.
[72] La Suisse libérale, 1, 25.1.73.
[73] Ibid., 38, 23.11.72 ; Bund, 261, 6.11.72 ; Ostschw. (ats), 263, 8.11.72.
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