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En 2021, quatre cantons ont réélu leurs autorités législatives (FR, NE, SO et VS). Comme en 2020, les partis écologistes ont bénéficié de la vague verte. Les Vert-e-s ont augmenté leur score dans les quatre cantons s'étant rendus aux urnes. Ils ont notamment plus que doublé leur part des voix dans le canton de Fribourg. Avec ces progressions, un total de 17 sièges supplémentaires est tombé dans leur escarcelle dans les quatre cantons (de 38 à 55). De leur côté, les Vert'libéraux ont également progressé à Fribourg, Neuchâtel et Soleure. Neuf élu.e.s supplémentaires ont rejoint leur députation, qui passe de 8 à 17 dans ces trois cantons. Pour leur première participation en Valais, ils n'ont en revanche pas pu entrer au Grand Conseil, en récoltant moins d'un pour cent des voix. Du côté des perdants, le PS a en particulier fait les frais des progrès des Vert-e-s. Le parti à la rose a perdu des suffrages dans chaque canton (19 sièges en moins au total). Quant au PLR, il a perdu 12 sièges au total, mais sa part des suffrages est restée relativement stable. A noter que la réduction du nombre de député.e.s de 115 à 100 dans le canton de Neuchâtel fausse un peu la donne, le PLR ayant par exemple cédé 11 sièges pour un score en léger recul. La stabilité a également régné sur l'UDC, dont le nombre de sièges dans ces quatre cantons passe de 71 à 69. Pour le dernier parti gouvernemental, l'année 2021 a été marquée par les premières élections sous le nouveau nom du Centre, dans les cantons de Fribourg et Neuchâtel. A Soleure et en Valais, le PDC concourait encore sous son ancienne bannière, alors que le PBD n'était présent que dans le canton du nord-ouest de la Suisse. S'il faudra probablement attendre les élections fédérales de 2023 pour tirer un bilan de la fusion entre les deux partis, les premières observations n'ont pas démontré de progression significative. Traditionnellement fort dans le canton catholique de Fribourg, le Centre s'est maintenu, en ne perdant qu'un siège. Plutôt faible dans le canton réformé de Neuchâtel, il a gagné deux sièges, passant de 2 à 4. A Soleure, le PDC est resté au même niveau, alors qu'il a poursuivi son déclin en Valais (7 sièges en moins).
La part des sièges occupés par des femmes au sein des parlements a augmenté dans chaque canton. La progression a été particulièrement marquée en Valais (de 19.2 à 34.6%) – où le Conseil d'Etat est en revanche désormais composé exclusivement d'hommes – et à Neuchâtel (de 33.9 à 58%), qui est devenu le premier parlement cantonal en Suisse dans lequel siège une majorité féminine. A Fribourg, 33.6% des parlementaires sont des femmes (+4.5pp), alors que ce taux se monte à 30% dans le canton de Soleure (+1.0pp). Tractée par la mobilisation habituelle du Haut-Valais, la participation a frôlé les 60% en Valais (59.5%). A l'autre extrême, moins d'un.e ayant-droit sur trois s'est rendu.e aux urnes dans le canton de Neuchâtel (31.7%). La participation a été de 37.8% à Fribourg et de 44.2% à Soleure.

Lors du renouvellement des exécutifs dans les quatre mêmes cantons, le Centre/PDC a subi plusieurs revers. A Fribourg, le troisième siège centriste, détenu depuis 1857, n'a pas pu être défendu. Conclue pour le deuxième tour, la grande alliance de droite, composée du Centre, du PLR et de l'UDC, a néanmoins conservé cinq sièges, l'UDC Philippe Demierre (FR, udc) faisant son entrée au Conseil d'Etat. A gauche, le PS a cédé l'un de ses deux sièges aux Vert-e-s. Le PDC a également perdu un siège en Valais et à Soleure, respectivement au profit de l'UDC et du PLR. Ainsi, les démocrates-chrétiens ne détiennent plus leur majorité historique au Conseil d'Etat dans la vallée du Rhône. Les autres partis (PLR et PS) ont conservé leurs sièges. Sur les bords de l'Aar, le PLR tient désormais le couteau par le manche avec ses deux représentants, qui sont accompagnés par une socialiste, une verte et, comme évoqué précédemment, une démocrate-chrétienne. Enfin, 3 PLR et 2 PS forment le gouvernement sur les rives du lac de Neuchâtel. La situation s'est inversée par rapport à la précédente législature, durant laquelle le gouvernement se composait de 3 PS et 2 PLR.
Dans le canton d'Appenzell Rhodes-Intérieures, la Landsgemeinde n’a pas pu se tenir en raison de la pandémie. Pour la deuxième année consécutive, les citoyennes et citoyens ont donc dû se rendre aux urnes afin de confirmer le mandat accordé à leurs autorités (« Bestätigungswahlen »), un cas de figure qui ne s'était jamais présenté avant 2020.
En outre, deux élections complémentaires dans des gouvernements cantonaux ont eu lieu en 2021. La verte Fabienne Fischer (GE) a fait son entrée au Conseil d'Etat genevois après la démission de Pierre Maudet (GE, sans parti). A Glaris, le socialiste Markus Heer a repris la place du démocrate-chrétien Rolf Widmer. Avec ces changements, 41 femmes siègent dans des exécutifs cantonaux à la fin de l'année 2021, soit deux de plus qu'un an auparavant. Sur un total de 154 sièges, 26.6% sont donc occupés par des femmes. Sept cantons ne comptent pas de présence féminine à l'exécutif (LU, UR, AR, GR, AG, TI, VS).

Deux des dix plus grandes villes du pays, Lausanne et Lugano, ont également renouvelé leurs autorités en 2021. Dans le chef-lieu vaudois, peu de changements sont à noter. Le Conseil communal est resté aux mains de la gauche, qui détient 66 sièges sur 100. Concernant la Municipalité, l'alliance entre les partis de gauche, malgré une désunion lors du premier tour, s'est reformée lors du deuxième et a conservé 6 sièges sur 7. Comme lors de la législature précédente, le PLR Pierre-Antoine Hildbrand est le seul membre de droite. Si l'on se penche sur les élections communales vaudoises dans leur ensemble, les Vert-e-s ont réalisé la progression la plus marquée, au détriment notamment des libéraux-radicaux. Au Tessin, les élections avaient été repoussées d'une année en raison de la pandémie de Covid-19. Pour autant, cela n'a pas provoqué de changements radicaux à Lugano, qui est restée en mains bourgeoises. Comme lors de la précédente législature, trois membres de la Lega dei Ticinesi, deux PLR, un PDC – l'ex-sénateur Filippo Lombardi – et une socialiste ont été élu.e.s à l'exécutif. Au législatif, le PLR demeure le parti le mieux représenté malgré un score en recul. Suite au décès en août du syndic de la ville Marco Borradori (lega), l'UDC Tiziano Galeazzi, premier des viennent-ensuite de la liste de droite, a fait son entrée au Conseil de ville.

Récapitulatif des élections cantonales et communales 2021
Dossier: Kommunale Wahlen 2021
Dossier: Kantonale Regierungsratswahlen 2021
Dossier: Kantonale Parlamentswahlen 2021
Dossier: Übersicht über die Wahlen auf Kantons- und Gemeindeebene

Durant l'année 2018, les autorités des cantons de Berne, de Nidwald, d'Obwald, de Zoug, de Glaris, des Grisons et de Genève ont été renouvelées. Le PLR a sauvé ses sièges laissés vacants dans les exécutifs de Berne, de Nidwald, de Zoug et de Genève. Le PS a réussi à maintenir les siens à Berne et aux Grisons; tout comme le PBD à Glaris, le PCS à Obwald, les Verts à Berne et l'UDC à Nidwald.
Alors que le PDC avait assuré son siège lors de l'élection complémentaire de 2016 à Obwald, il l'a finalement perdu au profit de l'UDC. En Appenzell Rhodes-Intérieures, Thomas Rechsteiner (pdc), en retrait, a lui aussi été remplacé par un UDC, Ruedi Eberle. Le Parti du centre a récupéré un des deux fauteuils du PBD aux Grisons et celui de l'Alternative verte à Zoug. Le conseiller d'Etat sortant genevois Luc Barthassat (pdc) n'a pas été réélu, tout comme les conseillers municipaux des villes de Zürich et Winterthour, respectivement Josef Lisibach (udc) et Claudia Nielsen (ps). Enfin, lors de l'élection complémentaire organisée dans le canton de Fribourg, le siège Vert a été cédé au PLR.

S'agissant des législatifs cantonaux, le PS a gagné au total 13 sièges (BE: +5; OW: +2; GL: +1; ZG: +2; GR: +3), mais en a perdu 3 à Genève. A l'inverse, le PDC a remporté un douzième mandat à Genève et a vu son nombre de représentants diminuer dans plusieurs cantons (OW: -3; NW: -1; ZG: -1; GR: -1). Le PLR a renforcé sa présence dans les cantons de Berne (+3 sièges), des Grisons (+3), de Genève (+4) et de Nidwald (+2). Dans les autres cantons, il en a perdu 4 (OW: -2; GL: -1; ZG: -1). Les Verts ont surtout progressé à Genève avec un gain de 5 mandats. Ils ont décroché un dixième siège au parlement zougois et ont cédé 2 des leurs à Berne. Les Vert'libéraux ont obtenu 2 sièges supplémentaires à Glaris et 1 aux Grisons. Sauf à Obwald (+2) et aux Grisons (-), l'UDC n'a enregistré que des pertes (BE: -3; GE: -3; NW: -2; GL: -2; ZG: -1). Il a cédé 3 fauteuils à Winterthour et le double dans la ville de Zürich. Le PBD figure également parmi les perdants avec 7 députés en moins (GR: -5; GL: -1; BE: -1), tout comme le MCG (GE: -8) et le PEV (BE: -2).

Il n'y a eu que dans le législatif du canton d'Obwald et de la ville de Zürich, où le nombre de femmes s'est amoindri par rapport aux élections précédentes (OW: de 16 à 14 sièges; Zürich: de 42 à 40). La présence féminine au gouvernement zougois est assurée avec l'élection de Silvia Thalmann-Gut (pdc). Berne et Genève comptent désormais une ministre supplémentaire. Le gouvernement grisonnais est devenu exclusivement masculin suite au départ de Barbara Janom Steiner (pbd), et Anne-Claude Demierre (FR, ps) n'a plus de collègue féminine suite à la démission de Marie Garnier (FR, verts). L'exécutif de Winterthour possède une femme de plus dans ses rangs, avec l'élection de la socialiste Christa Meier.

En parallèle des élections cantonales et communales, le Conseil national n'a pas donné suite à une initiative parlementaire prônant une représentation équilibrée des sexes au Parlement. Il a également, lors du vote final, rejeté le projet pour la souveraineté des cantons en matière de procédure électorale. Enfin, l'auteur de la fraude électorale, lors des élections cantonales valaisannes 2017, a été condamné à 12 mois de prison avec sursis.

Récapitulatif des élections cantonales et communales 2018
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2018
Dossier: Kantonale Parlamentswahlen 2018
Dossier: Kommunale Wahlen 2018
Dossier: Übersicht über die Wahlen auf Kantons- und Gemeindeebene

Nach dem Rücktritt von Bruno Koster war in Appenzell Innerrhoden das Amt eines Landammanns (und Volkswirtschaftsdirektors) neu zu besetzen. Wie in Innerrhoden üblich, sondierten die verschiedenen Interessengruppen geeignete Kandidaten. Der kantonale Gewerbeverband präsentierte vier mögliche Kandidaten: Daniel Fässler, Bruno Ulmann, Urs Koch und Ruedi Eberle, von denen schliesslich Daniel Fässler (cvp) offiziell nominiert wurde. Auf eine gewisse Verärgerung stiess die späte Ankündigung des amtierenden Säckelmeisters Sepp Moser, am Amt des Landammanns interessiert zu sein. Die Wahl einer bereits in der Standeskommission vertretenen Person hätte dazu geführt, dass plötzlich eine Kandidatin oder ein Kandidat für ein anderes Departement – in Mosers Fall das Finanzdepartement – benötigt worden wäre. Moser wurde von der „Gruppe für Innerrhoden“ unterstützt. Die SVP favorisierte das SVP-Mitglied Ruedi Eberle. Die Handels- und Industriekammer unterstützte Bruno Ulmann. Daniel Fässler erhielt neben der Unterstützung des Gewerbeverbands auch diejenige des Bäuerinnen- und des Bauernverbands, der CVP, des Frauenforums und der Arbeitnehmervereinigung. Am 27. April wählte die Landsgemeinde Daniel Fässler (cvp) zum neuen Stillstehenden Landammann. Er setzte sich in der Stichwahl deutlich gegen Bruno Ulmann (parteilos) durch. Die anderen Mitglieder der Standeskommission wurden im Amt bestätigt.

Ersatzwahl Standeskommission Appenzell Innerrhoden 2008
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2008
Dossier: Kantonale Wahlen - Appenzell Innerrhoden

Nach dem Rücktritt von Paul Wyser (parteilos) wurde in Appenzell Innerrhoden die Positions des Säckelmeisters (Finanzdirektors) neu besetzt. Die Ausmarchung fand zwischen dem Hotelier Leo Sutter und dem Präsidenten der Appenzeller Tourismusorganisation, Sepp Moser, statt. Am Landsgemeindesonntag im April setzte sich Moser (cvp) gegen Sutter schon beim ersten Mehren durch. Die übrigen Mitglieder der Standeskommission, Bruno Koster (parteilos, Regierender Landammann, Volkswirtschaftsdepartement), Carlo Schmid (cvp, Stillstehender Landammann, Erziehungsdepartement), Stefan Sutter (cvp, Umwelt- und Baudepartement), Werner Ebneter (cvp, Gesundheits- und Sozialdepartement), Melchior Looser (cvp, Justiz-, Polizei- und Militärdepartement) und Lorenz Koller (cvp, Land- und Forstwirtschaftsdepartement) wurden diskussionslos bestätigt.

Wahl Säckelmeister Appenzell Innerrhoden 2007
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2007
Dossier: Kantonale Wahlen - Appenzell Innerrhoden

Nach 14 Amtsjahren trat Alfred Wild (cvp) als Landesfähnrich (Justiz-, Polizei- und Militärdirektor) zurück. Für Appenzell Innerrhoder Verhältnisse sehr früh portierten das Frauenforum, die Gruppe für Innerrhoden und die Arbeitnehmer Grossrätin Katja Gmünder (cvp). Das Gewerbe und die SVP unterstützten Bezirkshauptmann Melchior Looser (cvp). Die Bauern beschlossen Stimmfreigabe, die CVP entschied sich mit lediglich einer Stimme Mehrheit für Looser. Ende April brauchte die Landsgemeinde drei Anläufe zur Wahl des neuen Mitglieds der Standeskommission: Nachdem zweimaliges Mehren kein eindeutiges Resultat erbracht hatte, ordnete Landammann Carlo Schmid die Auszählung durch Verlassen des Ringes an – ein an der Innerrhoder Landsgemeinde letztmals vor 40 Jahren angewandtes Vorgehen. Auf Melchior Looser (cvp) entfielen 1856 Stimmen, Katja Gmünder (cvp) kam auf 1308. Damit zogen die Appenzeller zum dritten Mal innert vier Jahren einen Kandidaten einer portierten Frau vor, so dass Ruth Metzler weiterhin die einzige Frau bleibt, die in Innerrhoden ein Regierungsamt ausgeübt hat.

Ersatzwahl Regierungsrat Appenzell Innerrhoden 2004
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2004
Dossier: Kantonale Wahlen - Appenzell Innerrhoden

Ende April bestimmte die Landsgemeinde den Nachfolger von Gesundheitsdirektor Hans Hörler (cvp). Die Christlichdemokraten und der Gewerbeverband nominierten den Krankenkassenfachmann Werner Ebneter (cvp). Das Frauenforum, die Gruppe für Innerrhoden, die Arbeitnehmerinnen und Arbeitnehmer sowie die Bauern, welche auf ihren zweiten traditionellen Sitz verzichteten, sprachen sich für die politische Quereinsteigerin Rosmarie Koller aus. Die SVP schickte ebenfalls einen Bewerber ins Rennen, zog ihn aber wieder zurück, als die Bauern Rosmarie Koller ihre Unterstützung zusagten. Erst beim zweiten Ausmehren entschied sich die Landsgemeinde für Werner Ebneter (cvp) – damit ist keine Frau in der Appenzeller Regierung vertreten. Die übrigen Mitglieder der Standeskommission wurden bestätigt, Carlo Schmid (cvp) auch für eine weitere Amtsperiode als Ständerat.

Ersatzwahl Standeskommission Appenzell Innerrhoden 2003
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2003
Dossier: Kantonale Wahlen - Appenzell Innerrhoden

Die Landsgemeinde bestätigte die bisherigen Mitglieder der Standeskommission Hans Hörler, Carlo Schmid, Hans Sutter und Alfred Wild von der CVP und die Parteilosen Bruno Koster und Paul Wyser in ihren Ämtern. Für den aus Altersgründen zurücktretenden Landeshauptmann und Land- und Forstwirtschaftsdirektor Josef Inauen (cvp) wählte sie Lorenz Koller (cvp), der auch von der SVP unterstützt wurde.

Ersatzwahl Standeskommission Appenzell Innerrhoden 2001
Dossier: Kantonale Wahlen - Appenzell Ausserrhoden
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2001
Dossier: Kantonale Wahlen - Appenzell Innerrhoden

Die Innerrhoder Landsgemeinde hatte im April die Nachfolge der neu gewählten Bundesrätin Ruth Metzler (cvp) zu bestimmen. Die CVP tat sich schwer mit der Suche nach einer geeigneten Kandidatin und nominierte schliesslich ihre 52jährige Parteipräsidentin und Grossrätin Heidi Buchmann-Brunner, die den Sukkurs ihrer Partei, des Bauernverbands und des Frauenforums genoss. Als Gegenkandidat trat der 41jährige parteilose Grossrat Bruno Koster an, ein erfolgreicher Kleinunternehmer, der von links bis rechts Unterstützung erhielt. Zu seinen namhaften Supportern zählten die SVP, die Arbeitnehmer-Vereinigung, die Gruppe für Innerrhoden sowie lokale Industrielle. Gewählt wurde Bruno Koster. Damit ist die Innerrhoder Standesregierung wieder ein reines Männergremium. Als Selbstverständlichkeit galt die Bestätigung des regierenden Landammans Arthur Loepfe und des stillstehenden Landammans und Ständerats Carlo Schmid.

Ersatzwahl Standeskommission Appenzell Innerrhoden 1999
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 1999
Dossier: Kantonale Wahlen - Appenzell Innerrhoden

Zwei neue Mitglieder wurden in die Innerrhoder Standeskommission gewählt: Hans Hörler an die Stelle des zurücktretenden Josef Manser und Hans Sutter für Emil Neff. Alle Mitglieder der Regierung gehören der CVP an oder stehen ihr zumindest nahe.

Ersatzwahl Standeskommission Appenzell Innerrhoden 1992
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 1992
Dossier: Kantonale Wahlen - Appenzell Innerrhoden

Zur Wahl neuer Exekutivmitglieder kam es an den Landsgemeinden von Appenzell Innerrhoden, wo der von der «Gruppe für Innerrhoden» portierte Hans Manser zum Nachfolger für den zurückgetretenen Regierungsrat Alfred Sutter (cvp) bestimmt wurde, sowie in Appenzell Ausserrhoden. Hier wurde nach dem Rücktritt von Rudolf Reutlinger (fdp) in einer spannenden Kampfwahl Hanswalter Schmid (fdp) zum neuen Regierungsrat ernannt.

Ersatzwahlen Appenzell Innerrhoden und Appenzell Ausserrhoden 1986
Dossier: Kantonale Wahlen - Appenzell Ausserrhoden
Dossier: Kantonale Wahlen 1986
Dossier: Kantonale Wahlen - Appenzell Innerrhoden

Ohne Überraschung verliefen die Wahlen an der Landsgemeinde in Appenzell-Innerrhoden. Nach dem Rücktritt von Franz Breitenmoser (cvp) aus der Exekutive musste das Amt des stellvertretenden Landammanns neu besetzt werden. Gewählt wurde der von der CVP und vom Gewerbeverband portierte Beat Graf.

Ersatzwahl Appenzell-Innerrhoden 1985
Dossier: Kantonale Wahlen 1985
Dossier: Kantonale Wahlen - Appenzell Innerrhoden

In kantonalen Ergänzungswahlen um freigewordene Regierungsratssitze war es oft ungewiss, ob die bestehenden politischen Kräfteverhältnisse nicht durch sozialdemokratische Herausforderer geändert werden würden. Obschon sie im Kanton Baselland einen prominenten Vertreter des gemässigten Flügels ins Rennen schickte, gelang es der SP als grösste Partei des Baselbietes erneut nicht, ihren 1963 verloren gegangenen zweiten Sitz in der fünfköpfigen Exekutive zurückzugewinnen.
Sehr knapp zuungunsten des sozialdemokratischen Bewerbers fiel die Entscheidung um einen vakanten FDP-Regierungsratssitz an der Landsgemeinde in Appenzell Ausserrhoden aus. Die seit Jahrzehnten bestehende «Zauberformel» von sechs Freisinnigen und einem SP-Vertreter wurde damit bestätigt.
Die Wahl eines neuen Landwirtschaftsdirektors an der gleichzeitig stattfindenden Landsgemeinde im Kanton Appenzell Innerrhoden war demgegenüber unbestritten.
Erstmals in der Geschichte des Kantons Uri trat eine Partei mit zwei offiziellen Kandidaten für die Ersatzwahl eines Regierungsrates an. Obschon lediglich die CVP Anspruch auf das traditionellerweise von ihr besetzte Amt eines Landwirtschaftsdirektors erhob, ermöglichte deren Zweiervorschlag dennoch ein in persönlicher Hinsicht völlig offenes Rennen, das nach einem heftig geführten Wahlkampf zugunsten des besonders scharf angegriffenen Parteipräsidenten ausging.

Kantonale Ergänzungswahlen Basel-Landschaft, Appenzell Ausserrhoden, Appenzell Innerrhoden und Uri 1982
Dossier: Kantonale Wahlen - Uri
Dossier: Kantonale Wahlen - Appenzell Ausserrhoden
Dossier: Kantonale Wahlen 1982
Dossier: Kantonale Wahlen - Basel-Landschaft
Dossier: Kantonale Wahlen - Appenzell Innerrhoden