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En 2016, plusieurs cantons (UR, SZ, FR, BS, SH, SG, AG, TG) ont renouvelé leurs autorités cantonales. La composition partisane des exécutifs est restée inchangée dans les cantons de Schwytz, Fribourg, Bâle-Ville, Schaffhouse, Saint-Gall et Thurgovie. Excepté Bâle-Ville, elle reflète des majorités bourgeoises ou de centre-droite. En Argovie, les Verts ont perdu un siège au profit de l'UDC, renforçant ainsi la majorité de centre-droit. Dans le canton d'Uri, l’UDC a été congédiée après six ans au Conseil d’Etat. A présent, le PLR possède autant de sièges que le PDC. Le canton d'Obwald a connu deux élections complémentaires au cours de l’année. Le PDC a pu maintenir son siège, tout comme dans le canton de Zoug. Le siège PLR a été obtenu par un citoyen sans couleur politique. Egalement à Nidwald, le PLR n’a pas réussi à garder son siège. L’accès de l’UDC au gouvernement bernois a permis de renverser la majorité rouge-verte en place depuis 2006.
Figurent parmi les perdants, le PS, le PLR et les Verts avec la perte de chacun un siège. Ils ont été récupérés par l’UDC, le PDC et un Indépendant. Le PDC reste le parti avec le plus de représentantes et représentants dans les exécutifs cantonaux, avec 40 fauteuils. Il est suivi par le PLR (39 sièges) et le PS (28 sièges).

S’agissant des parlements cantonaux, le parlement de Schwytz expérimentait pour la première fois la répartition des sièges selon le système du double Pukelsheim. Le PLR a progressé avec un gain de 4 sièges dans les cantons de Fribourg et de Saint-Gall, 3 fauteuils à Uri et à Schwytz, et 2 sièges en Thurgovie. L’UDC a également renforcé sa présence grâce à l’obtention de 5 sièges à Saint-Gall et de 3 sièges en Thurgovie. Le PS suit la tendance, avec 5 sièges en Argovie et 3 sièges en Thurgovie. Les Vert'libéraux font une entrée remarquable dans les législatifs de Bâle-Ville et de Schaffhouse avec l'obtention de 4 sièges, tout comme à Schwytz avec 3 sièges. Lors des élections 2016, le PDC s’est affaibli dans tous les législatifs cantonaux. Le PBD n’est plus représenté dans les parlements fribourgeois et st-gallois, le PEV a perdu ses 2 représentants à Saint-Gall.
L’UDC reste en tête, avec ses 590 sièges dans les législatifs cantonaux. Le PLR (544 sièges) arrive derrière l’UDC et est suivi par le PS (459 sièges) et le PDC (435 fauteuils).

Du côté des villes, les citoyennes et citoyens de Bienne, Lucerne, Lugano, Lausanne, Berne et Saint-Gall ont été invités à s’exprimer. Lucerne, Lausanne et Lugano n’ont pas connu de changement concernant la composition de leur exécutif. L’UDC a fait son entrée dans l’exécutif de la ville de Bienne. Le PLR n’est plus présent à Berne. A Saint-Gall, le PLR et le PDC ont chacun perdu un siège. Concernant les législatifs, le PDC, le PST, solidaritéS et les Vert’libéraux siègent maintenant à Lausanne. Les socialistes ont progressé à Lausanne, Lucerne, Berne et Saint-Gall. L’UDC a gagné des sièges à Berne, Bienne et Lugano. Cette année, ce sont le PLR et les Verts qui ont perdu des plumes.

L’année 2016 marquait le 25e anniversaire de la participation des femmes à la Landsgemeinde d'Appenzell Rhodes-Intérieures. L’exécutif du canton de Bâle-Ville compte une femme supplémentaire dans ses rangs. Les villes de Saint-Gall et de Lugano accueillent une femme pour siéger dans l’exécutif, une seconde femme fait son entrée à Lausanne et à Lucerne. Aussi bien dans les principales villes que dans les cantons, la part des femmes lors des dernières élections a augmenté, dans les législatifs, par rapport aux avant-dernières élections. A la fin de l'année 2016, elles représentaient 26.4% dans les parlements cantonaux et 39.6% au niveau communal.

Récapitulatif des élections communales et cantonales 2016
Dossier: Kommunale Wahlen 2016
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2016
Dossier: Übersicht über die Wahlen auf Kantons- und Gemeindeebene

In St. Gallen wurde eine Ersatzwahl nötig, weil CVP-Regierungsrat Joe Keller nach zehnjähriger Amtszeit per Ende März 2011 seinen Rücktritt angekündigt hatte. Die CVP versuchte ihren Regierungssitz mit Beni Würth, dem Stadtpräsidenten von Rapperswil-Jona zu verteidigen. Die SVP machte rasch ihren Anspruch auf den frei werdenden Regierungssitz geltend, da sie mit bisher einem Sitz als deutlich stärkste Kantonsratsfraktion untervertreten sei. Ihrem Kandidaten Herbert Huser stellte die SVP die Dienste des Werbers Alexander Segert – Erschaffer der aufsehenerregenden Schäfchen- und Minarett-Plakate – zur Verfügung. Obwohl die SVP angetreten war, um die Wirtschaft in der St. Galler Regierung besser zu vertreten, unterstützten zahlreiche Wirtschaftsverbände, darunter Travailsuisse und der Gewerbeverband die Kandidatur von Würth. Diese Unterstützung zusammen mit den positiven Empfehlungen der restlichen bürgerlichen Parteien BDP, FDP und EVP verhalfen Würth schliesslich zu einem relativ komfortablen Sieg. Er erhielt über 25'000 Stimmen mehr als Huser.

Ersatzwahl Regierungsrat St.Gallen 2010
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2010
Dossier: Kantonale Wahlen - St. Gallen

Auch im Kanton St. Gallen waren Auseinandersetzungen um den sozialdemokratischen Regierungssitz der Anlass zu Spannungen zwischen dem gewerkschaftlich-traditionellen und dem linken SP-Flügel. Im Vorfeld der Ersatzwahl für den krankheitshalber zurückgetretenen Regierungsrat Florian Schlegel (sp) kam es hier zum Bruch des Bündnisses zwischen SP und Gewerkschaften: Der von der SP nominierte linksalternative Rolf Vetterli war für den kantonalen Gewerkschaftsbund als Nachfolger der «Integrationsfigur Schlegel» nicht akzeptabel. Die Gewerkschaftsspitzen kündigten daher der SP die bisherigen partnerschaftlichen Beziehungen auf und schickten als Kampfkandidaten den Gewerkschaftssekretär Toni Falk ins Rennen. Nach einer Kontroverse wegen seiner Unterschrift unter die Initiative «Schweiz ohne Armee» zog Vetterli seine Kandidatur zurück, worauf die SP kurz vor den Wahlen ihren Parteipräsidenten Walter Ammann portierte. Während die FDP den Gewerkschaftskandidaten unterstützte, forderten CVP wie Landesring schliesslich dazu auf, keinen der beiden Kandidaten zu wählen, sondern einen dritten Namen auf den Wahlzettel zu schreiben, um einen zweiten Wahlgang zu erreichen. So blieben sowohl Falk wie Ammann weit unter dem absoluten Mehr. Nachdem Einigungsgespräche mit den Gewerkschaften gescheitert waren, nominierte die SP für den zweiten Wahlgang den Buchser Gemeindepräsidenten und Nationalrat Hans Rohrer. Da dieser von den übrigen Parteien unterstützt wurde, zog sich Falk zurück, und die Wahl Rohrers wurde zur reinen Formsache.

1. Wahlgang: Die Stimmbeteiligung betrug nur 15%. Im 2. Wahlgang wurde Rohrer gewählt, wobei nur noch 9% der Stimmberechtigten mobilisiert werden konnten.

Ersatzwahl Regierungsrat St. Gallen 1985
Dossier: Kantonale Wahlen - St. Gallen
Dossier: Kantonale Wahlen 1985