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Bei den Gesamterneuerungswahlen des Regierungsrates im Kanton Aargau 2020 stellten sich vier der fünf Regierungsmitglieder erneut zur Wahl: Markus Dieth (cvp), Stephan Attiger (fdp), Alex Hürzeler (svp) und Jean-Pierre Gallati (svp). Einzig der amtierende Vorsteher des Volkswirtschaftsdepartements, Urs Hofmann (sp), trat nach fast zwölf Jahren in der Kantonsregierung nicht mehr zur Wiederwahl an. Bei den Sozialdemokraten sorgte die interne Nominierung für die Nachfolge von Hofmann für hitzige Diskussionen, hauptsächlich weil die SP noch nie eine Frau in der Aargauer Regierung gestellt hatte. Auch diesmal setzte sich ein Mann durch. Der Co-Fraktionspräsident der Sozialdemokraten im Aargauer Grossen Rat, Dieter Egli, vermochte am meisten Delegierte zu überzeugen. Er erhielt bereits im ersten parteiinternen Wahlgang deutlich mehr Stimmen als die anderen beiden Kandidierenden, Franziska Graf und Marco Hardmeier, woraufhin sich diese zurückzogen. Aus Empörung darüber, dass eine Mehrheit der SP-Delegierten damit weitere vier Jahre eine rein männliche Regierung in Kauf nahm, lancierten die Juso drei Kandidaturen von Frauen aus ihren Reihen (Patricia Hegglin, Zoe Sutter und Cybel Dickson). Die Grünen hofften, vier Jahre nachdem sie den freigewordenen Sitz von Susanne Hochuli an die SVP verloren hatten, wieder in die Regierung einziehen zu können. Sie nominierten dafür die Zofinger Stadträtin Christiane Guyer, die sich aufgrund des Zoffs um die Geschlechterfrage in der SP Hoffnungen auf einige Proteststimmen von linken Frauen machen konnte. So rief etwa «Frauenaargau» dazu auf, nur Guyer zu wählen. Egli und Guyer unterstützten sich hingegen im Wahlkampf gegenseitig und visierten den gemeinsamen Einzug in die Regierung an.

Am Wahlsonntag schafften die vier bisherigen bürgerlichen Regierungsräte ungefährdet die Wiederwahl. Markus Dieth erzielte das beste Ergebnis (95’611 Stimmen), gefolgt von Stephan Attiger (95’404), Alex Hürzeler (87’413) und Jean-Pierre Gallati (74’492). Dieter Egli entschied das Rennen im linken Lager mit 69’747 Stimmen für sich. Da die fünf bestplatzierten Kandidaten alle das absolute Mehr von 57’198 Stimmen übertrafen, war kein zweiter Wahlgang nötig. Zwar übertraf auch Christiane Guyer (60’103 Stimmen) das absolute Mehr; zu mehr als einem Achtungserfolg reichte es allerdings nicht. Die restlichen Kandidierenden blieben wie erwartet chancenlos. Die Stimmbeteiligung betrug 32.4 Prozent. Wie zuvor blieb die Aargauer Kantonsregierung somit auch weiterhin in reiner Männerhand.

Regierungsratswahlen Aargau 2020
Dossier: Kantonale Wahlen - Aargau
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2020

Le gouvernement argovien a été renouvelé selon le mode de scrutin majoritaire. Les membres sortants Alex Hürzeler (udc), Stephan Attiger (plr) et Urs Hofmann (ps) convoitaient un mandat supplémentaire. Susanne Hochuli (verts) et Roland Brogli (pdc) ne se représentaient pas. Outre ces trois candidatures, onze autres personnes se sont lancées pour le premier tour. Pour le PS, Yvonne Feri figurait aux côtés d'Urs Hofmann. Les jeunes socialistes ont également proposé des candidats: Mia Gujer, Mia Jenni et Ariane Müller. Concernant l'UDC, Franziska Roth était en lice. Maya Bally Frehner était l'unique candidate du PBD, tout comme Markus Dieth pour le PDC. Les Verts, en vue de conserver le siège laissé vacant par Susanne Hochuli, proposèrent Robert Obrist. Les Vert'libéraux ont présenté Ruth Jo. Scheier. Finalement, deux autres personnes se sont portées candidates, à savoir Jil Lüscher (sans parti) et Pius Lischer (sans parti).
L'UDC, profitant que des membres sortants ne se représentent pas, souhaitait occuper un deuxième siège à l'exécutif cantonal avec sa candidate Franziska Roth, peu connue dans la sphère politique argovienne. La difficulté pour ce parti, pour cette élection, était de trouver des candidats avec des bons profils pour être présentés. Une alliance entre l'UDC et le PLR a dans un premier temps été envisagée. Finalement, le PLR n'en a pas voulu, car notamment opposé à la candidature de Franziska Roth. Le PBD pensait proposer un candidat afin d'empêcher l'élection de la candidate UDC au premier tour, cette dernière n'étant, aux yeux des bourgeois démocrates, pas éligible à cause de sa vision de l'école. Elle souhai¨tait un retour aux grandes classes dans les écoles comme il y a une trentaine d'années. Le PBD désirait une alternative bourgeoise plus modérée. Il présenta finalement Maya Bally Frehner. Conscient qu'il ne pourrait siéger à l'exécutif cantonal, le PBD espérait alors que les voix obtenues par sa candidate contribueraient à diminuer le soutien accordé à la deuxième candidate de l'UDC. Le PS, ne désirant également pas que l'UDC acquière un deuxième siège, présenta Yvonne Feri, plus connue que la candidate bourgeoise. Il espérait défendre ainsi les deux sièges de la gauche. Le PDC décida de ne proposer qu'une candidature, afin de maintenir le siège laissé vacant par Roland Brogli. Il se mobilisa pour la sécurité des places de travail, de bonnes conditions générales pour l'économie, une politique migratoire humaine ainsi qu'une politique familiale et générationnelle efficace. Occuper le siège de Susanne Hochuli, anciennement à la tête du département de la santé et du social, va de paire avec la reprise de plusieurs gros dossiers thématisés durant la campagne. En 2017, de nombreux petits logements d'asile devront être réadaptés. Dans les domaines de la santé et du social, il faudra assurer la rentabilité de l'hôpital cantonal dont le gouvernement est le propriétaire et, de plus, faire face à l'augmentation des frais d'aide sociale ainsi que de ceux liés aux soins.
Quatre candidats, dont trois sortants, ont été élus dès le premier tour. La majorité absolue était fixée à 56'687 voix. Urs Hofmann est arrivé en tête, avec un score de 94'407 voix, suivi par Stephan Attiger, avec 88'788 voix. Alex Hürzeler a obtenu la troisième place, avec 82'703 voix. Le PDC Markus Dieth siégera également avec un total de 61'890 voix. Ainsi, le PDC a-t-il assuré son siège au pouvoir exécutif. Concernant le résultat des autres candidats: Franziska Roth a obtenu 47'791 voix, Yvonne Feri 47'320 voix, Maya Bally Frehner 37'826 voix, Robert Obrist 32'946 voix, Ruth Jo. Scheier 17'964 voix, Jil Lüscher 12'922 voix, Mia Gujer 9'320 voix, Mia Jenni 8'292 voix, Ariane Müller 6'819 voix et Pius Lischer 4'798 voix.
Au deuxième tour, le 27 novembre 2016, seules cinq candidatures ont été présentées: Franziska Roth, Jil Lüscher, Pius Lischer, Yvonne Feri et Maya Bally Frehner. Le PLR recommandait la candidate de l'UDC, car bourgeoise. Avec l'élection de Franziska Roth, qui a obtenu 61'160 voix, l'UDC dispose donc d'un deuxième élu au gouvernement, au détriment des Verts, qui ont perdu leur siège. En deuxième position, Yvonne Feri comptabilisait 51'344 voix, suivie par Maya Bally Frehner avec 39'788 voix, Jil Lüscher avec 5'800 voix et Pius Lischer avec 1'383 voix.

Election gouvernement argovien 2016
Dossier: Kantonale Wahlen - Aargau
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2016

En 2016, plusieurs cantons (UR, SZ, FR, BS, SH, SG, AG, TG) ont renouvelé leurs autorités cantonales. La composition partisane des exécutifs est restée inchangée dans les cantons de Schwytz, Fribourg, Bâle-Ville, Schaffhouse, Saint-Gall et Thurgovie. Excepté Bâle-Ville, elle reflète des majorités bourgeoises ou de centre-droite. En Argovie, les Verts ont perdu un siège au profit de l'UDC, renforçant ainsi la majorité de centre-droit. Dans le canton d'Uri, l’UDC a été congédiée après six ans au Conseil d’Etat. A présent, le PLR possède autant de sièges que le PDC. Le canton d'Obwald a connu deux élections complémentaires au cours de l’année. Le PDC a pu maintenir son siège, tout comme dans le canton de Zoug. Le siège PLR a été obtenu par un citoyen sans couleur politique. Egalement à Nidwald, le PLR n’a pas réussi à garder son siège. L’accès de l’UDC au gouvernement bernois a permis de renverser la majorité rouge-verte en place depuis 2006.
Figurent parmi les perdants, le PS, le PLR et les Verts avec la perte de chacun un siège. Ils ont été récupérés par l’UDC, le PDC et un Indépendant. Le PDC reste le parti avec le plus de représentantes et représentants dans les exécutifs cantonaux, avec 40 fauteuils. Il est suivi par le PLR (39 sièges) et le PS (28 sièges).

S’agissant des parlements cantonaux, le parlement de Schwytz expérimentait pour la première fois la répartition des sièges selon le système du double Pukelsheim. Le PLR a progressé avec un gain de 4 sièges dans les cantons de Fribourg et de Saint-Gall, 3 fauteuils à Uri et à Schwytz, et 2 sièges en Thurgovie. L’UDC a également renforcé sa présence grâce à l’obtention de 5 sièges à Saint-Gall et de 3 sièges en Thurgovie. Le PS suit la tendance, avec 5 sièges en Argovie et 3 sièges en Thurgovie. Les Vert'libéraux font une entrée remarquable dans les législatifs de Bâle-Ville et de Schaffhouse avec l'obtention de 4 sièges, tout comme à Schwytz avec 3 sièges. Lors des élections 2016, le PDC s’est affaibli dans tous les législatifs cantonaux. Le PBD n’est plus représenté dans les parlements fribourgeois et st-gallois, le PEV a perdu ses 2 représentants à Saint-Gall.
L’UDC reste en tête, avec ses 590 sièges dans les législatifs cantonaux. Le PLR (544 sièges) arrive derrière l’UDC et est suivi par le PS (459 sièges) et le PDC (435 fauteuils).

Du côté des villes, les citoyennes et citoyens de Bienne, Lucerne, Lugano, Lausanne, Berne et Saint-Gall ont été invités à s’exprimer. Lucerne, Lausanne et Lugano n’ont pas connu de changement concernant la composition de leur exécutif. L’UDC a fait son entrée dans l’exécutif de la ville de Bienne. Le PLR n’est plus présent à Berne. A Saint-Gall, le PLR et le PDC ont chacun perdu un siège. Concernant les législatifs, le PDC, le PST, solidaritéS et les Vert’libéraux siègent maintenant à Lausanne. Les socialistes ont progressé à Lausanne, Lucerne, Berne et Saint-Gall. L’UDC a gagné des sièges à Berne, Bienne et Lugano. Cette année, ce sont le PLR et les Verts qui ont perdu des plumes.

L’année 2016 marquait le 25e anniversaire de la participation des femmes à la Landsgemeinde d'Appenzell Rhodes-Intérieures. L’exécutif du canton de Bâle-Ville compte une femme supplémentaire dans ses rangs. Les villes de Saint-Gall et de Lugano accueillent une femme pour siéger dans l’exécutif, une seconde femme fait son entrée à Lausanne et à Lucerne. Aussi bien dans les principales villes que dans les cantons, la part des femmes lors des dernières élections a augmenté, dans les législatifs, par rapport aux avant-dernières élections. A la fin de l'année 2016, elles représentaient 26.4% dans les parlements cantonaux et 39.6% au niveau communal.

Récapitulatif des élections communales et cantonales 2016
Dossier: Kommunale Wahlen 2016
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2016
Dossier: Übersicht über die Wahlen auf Kantons- und Gemeindeebene

Erstmals fanden im Kanton Aargau die Regierungsratswahlen gleichzeitig mit den Parlamentswahlen statt. Vier der fünf bisherigen Regierungsräte kandidierten wieder: Susanne Hochuli (gp), Roland Brogli (cvp), Urs Hofmann (sp) und Alex Hürzeler (svp). Seinen Rücktritt hatte Peter C. Beyeler (fdp) eingereicht, der seit 2000 im Amt gewesen war. Rasch war klar, dass der Stadtammann von Baden und Grossrat Stephan Attiger den Sitz der Freisinnigen verteidigen sollte. Bereits Anfang 2012 kündigte die SVP an, den Sitz der Grünen angreifen zu wollen und neben dem bisherigen Hürzeler einen weiteren Kandidierenden ins Rennen zu schicken. Sie begründete dies einerseits mit ihrer Stärke im Parlament und andererseits mit der aus ihrer Perspektive zu wenig harten Militär- und Sozialpolitik von Susanne Hochuli. Diese war mit ihrer Unterstützung der bundesrätlichen Pläne, in der Gemeinde Bettwil 140 Asylbewerber unterzubringen, sowie mit ihrer in einer Rede am Eidgenössischen Schützenfest getätigten Werbung für die Waffenschutzinitiative angeeckt. Die SVP tat sich allerdings in der Kandidatensuche sehr schwer. Ende April stellte sich schliesslich der neu gekürte Kantonalparteipräsident Thomas Burgherr zur Verfügung, der mit markigen Worten gegen die Asylpolitik der Regierung punkten wollte. Zuvor hatten nicht weniger als zwölf potenzielle Kandidaten und Kandidatinnen – eigentlich wollte die SVP einen Frauenbonus ausspielen – abgesagt. Als Aussenseiter traten der Kantonalparteipräsident der Schweizer Demokraten und Grossrat René Kunz sowie der Mitbegründer der Sozial-Liberalen Bewegung (SLB) und ehemalige EDU-Politiker Samuel Schmid an. Komplettiert wurde das Karussell durch den parteilosen Pius Lischer, der für straffreien Cannabiskonsum und ein bedingungsloses Grundeinkommen eintreten wollte. Da er in einem Fernsehinterview angab, dass er gelegentlich Cannabis an Jugendliche verkaufe, führte die Polizei kurz vor den Wahlen eine Hausdurchsuchung bei Lischer durch. Laut einer Umfrage der AZ bei den Kandidierenden beliefen sich die Wahlkampfbudgets zwischen CHF 3500 (Schmid) und CHF 220'000 Franken für Hürzeler und Burgherr, wobei die Partei 140'000 CHF und die beiden Kandidierenden selber bzw. durch Spenden jeweils 80'000-90'000 CHF aufbrachten. Umfragen einen Monat vor den Wahlen zeigten Zustimmungsraten von über 50% für die vier Bisherigen; Attiger folgte mit 36% Unterstützung während Burgherr (28%) bereits etwas abgeschlagen war.

Bei den Wahlen vom 21. Oktober wurde dieser in Befragungen ermittelte Trend bestätigt. Die vier Bisherigen und Stephan Attiger erreichten das absolute Mehr (51'409) bereits im ersten Umgang. Am meisten Stimmen erhielt der amtsälteste Roland Brogli (92'645 Stimmen) gefolgt von Alex Hürzeler (88'845 Stimmen) und Urs Hofmann (87'542 Stimmen). Der neu antretende Stephan Attiger (75'336) erhielt gar noch mehr Stimmen als die Bisherige Susanne Hochuli (73'359), die damit aber immer noch fast 25 000 Stimmen vor dem nicht gewählten Thomas Burgherr (49'385 Stimmen) lag. Schmid (15'021 Stimmen), Kunz (12'880 Stimmen) und Lischer (7'465 Stimmen) waren weit abgeschlagen. Die Stimmbürgerschaft – 31.8% nahmen ihr Wahlrecht wahr – sprach sich damit für eine Weiterführung der Fünf-Parteien-Koalition aus. Auch die Departementsverteilung blieb bestehen. Attiger übernahm das Baudepartement von seinem Vorgänger.

Regierungsratswahlen Aargau 2012
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2012
Dossier: Kantonale Wahlen - Aargau

Die Ausgangslage für die Regierungsratswahlen im Kanton Aargau war spannend: Zwei langjährige Regierungsräte, Ernst Hasler (svp) und Kurt Wernli (parteilos) traten nicht mehr an. Wernli war 1998 nach einer erfolgreichen wilden Kandidatur aus der SP ausgeschlossen worden. Für letztere bot sich nun nach fast zehn Jahren die Chance, wieder in die Regierung einzuziehen. Rainer Huber (cvp), Roland Brogli (cvp) und Peter C. Beyeler (fdp) traten erneut an. Die SVP strebte einen zweiten Regierungssitz an. Dies setzte die CVP unter Druck, wobei vor allem Rainer Huber, der als Bildungsdirektor eine unpopuläre Bildungsreform (das „Bildungskleeblatt“) vertrat, als gefährdet galt. Eine Rolle im Wahlkampf spielte die Frage von Frauenkandidaturen. Der Kanton Aargau hatte bisher erst eine weibliche Regierungsrätin gehabt, die Freisinnige Stephanie Mörikofer, die 2000 abgewählt worden war. Die FDP stellte neben Peter C. Beyeler (bisher) Doris Fischer-Taeschler für die Wahlen auf. Die Grünen nominierten mit Susanne Hochuli eine weitere Frau. Die SVP dagegen stellte, nachdem Frauenkandidaturen in Betracht gezogen worden waren, letztlich doch zwei Männer auf: Alex Hürzeler und Luzi Stamm. Die SP nominierte Urs Hofmann. Komplettiert wurde die Auswahl durch die Aussenseiterkandidaten René Bertschinger (Familiä-Partei), Peter Commarmot (fps), Pius Lischer (parteilos) und Pierre Singer (Freiheitliche Arbeiterpartei). Im ersten Wahlgang wurden die Bisherigen Brogli (cvp) und Beyeler mit Spitzenresultaten wieder gewählt. Ebenfalls gewählt wurde der Sozialdemokrat Urs Hofmann. Überraschenderweise schaffte auch die Grüne Susanne Hochuli den Einzug in die Regierung. Die anderen Kandidatinnen und Kandidaten erreichten das absolute Mehr nicht: Hürzeler (svp), der die Wahl nur knapp verpasste, befand sich auf dem fünften Platz, dicht gefolgt von Fischer (fdp) und Stamm (svp). Nur den achten Platz erreichte der Bisherige Rainer Huber (cvp). Die SVP entschied sich, zum zweiten Wahlgang mit Hürzeler anzutreten und forderte CVP und FDP auf, ihre Kandidaturen zurückzuziehen. Da diese darauf nicht eingingen, kam es im zweiten Wahlgang (7.2.2009) zu einem Dreikampf von CVP, FDP und SVP. In diesem schaffte Alex Hürzeler (svp) die Wahl mit einem Vorsprung von über 24 000 Stimmen auf Huber (cvp), der damit abgewählt wurde. Fischer-Taeschler (fdp) erhielt weniger als halb so viele Stimmen wie im ersten Wahlgang. Die Aargauer Exekutive setzt sich neu folgendermassen zusammen: 1 SVP, 1 SP, 1 GP, 1 CVP und 1 FDP. Die gleichzeitige Wahl von Hofmann und Hochuli bedeutet einen Linksrutsch der Regierung.

Regierungsratswahlen Aargau 2008
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2008
Dossier: Kantonale Wahlen - Aargau

Ende November bestätigten Aargauerinnen und Aargauer nach einem lauen Wahlkampf ihre Regierung im Amt. Baudirektor Peter Beyeler (fdp) erzielte das beste Resultat, gefolgt vom Vorsteher des Departements des Innern, Kurt Wernli (parteilos), Finanzdirektor Roland Brogli und Bildungsdirektor Rainer Huber (beide cvp); Gesundheitsdirektor Ernst Hasler (svp) erreichte das absolute Mehr knapp. Weder die SP noch die SVP erreichten ihre Wahlziele: Der SP, die seit 1998 nicht mehr in der Exekutive vertreten ist, gelang es auch im dritten Anlauf nicht, mit Grossrätin Barbara Roth den Sitz zurückzugewinnen; Roth hatte sich im Nominationsverfahren mit lediglich einer Stimme Vorsprung gegen einen parteiinternen Konkurrenten durchzusetzen vermocht und verpasste das absolute Mehr deutlich. Die SVP, als wählerstärkste Partei mit nur einem Mitglied in der Regierung untervertreten, schaffte es nicht, ihren zweiten Kandidaten Alex Hürzeler, der Nationalrat Luzi Stamm ausgestochen hatte, so zu positionieren, dass er ein eigenständiges Profil bekam, ohne den angeschlagenen Gesundheitsdirektor Ernst Hasler allzu sehr zu gefährden. Die Kandidaten der EVP und der Grünen blieben trotz beherztem Wahlkampf chancenlos. Klare Siegerin der Wahlen war die CVP, die mit knapp 15% Wähleranteil zwei Regierungsräte stellt.

Regierungsratswahlen Aargau 2004
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2004
Dossier: Kantonale Wahlen - Aargau

Ein halbes Jahr nach den Ersatzwahlen für Regierungsrat Thomas Pfisterer (fdp) wurden im Aargau Gesamterneuerungswahlen durchgeführt. Nach einer Revision des Wahlverfahrens wurden erstmals die leeren Stimmen nicht mehr zur Berechnung des absoluten Mehrs herangezogen. Von den fünf Regierungsrätinnen und Regierungsräten traten vier die Wiederwahl an. Erziehungsdirektor Peter Wertli (cvp) verzichtete nach drei Amtszeiten. Für grosse Spannung sorgte eine wilde Kandidatur aus den Reihen der CVP. Die Delegierten hatten den Rheinfelder Stadtschreiber und Fraktionspräsidenten im Grossen Rat, Roland Brogli, zu ihrem offiziellen Kandidaten gekürt. Unternehmensberater und Gemeindeammann Rainer Huber wiedersetzte sich diesem Entscheid und kandidierte auf eigene Faust. Die SP trat erneut mit Grossrätin Barbara Roth an, die bei der Ersatzwahl vom März bereits gut abgeschnitten hatte. Der vierte Neue unter den Kandidierenden war Grossrat Geri Müller von den Grünen. Wegen der geringen Hausmacht der Grünen wurden ihm geringe Chancen gegeben.

Der Wahlausgang brachte gleich zwei Überraschungen. Einmal ist die CVP, die im Grossrat nur vierstärkste Fraktion, in der neuen Legislatur gleich mit zwei Regierungsräten vertreten. Sowohl der Offizielle Brogli als auch der Wilde Huber schafften den Sprung. Andererseits wurde die freisinnige Finanzministerin Stéphanie Mörikofer abgewählt. Die übrigen Bisherigen wurden im Amt bestätigt: Mit dem besten Resultat schnitt der aus der SP ausgetretene Direktor des Innern, Kurt Wernli, ab, gefolgt von Baudirektor Peter Beyeler (fdp), der erst seit Mai im Amt stand sowie Gesundheitsdirektor Ernst Hasler (svp). Die Plätze vier und fünf wurden von den Neuen Brogli und Huber eingenommen. Erneut verpassten die Sozialdemokraten den Wiedereinzug in die Aargauer Regierung.

Regierungsratswahlen Aargau 2000
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2000
Dossier: Kantonale Wahlen - Aargau

Insgesamt ergaben sich bei den Wahlen für kantonale Regierungen keine Veränderungen der parteipolitischen Zusammensetzung. Die Frauen befanden sich im Vormarsch und konnten erstmals in den Kantonen Basel-Stadt, Aargau und Obwalden in die Regierung einziehen. Damit besetzen in neun Kantonen (AG, BE, BS, FR, LU, OW, SO, SZ, ZH) Frauen je einen Regierungssitz.

Kantonale Regierungswahlen 1992

Bei der Gesamterneuerungswahl der fünfköpfigen Aargauer Regierung, welche seit 1988 nicht mehr im selben Jahr wie die Parlamentswahlen stattfindet, kämpften sieben Kandidaten und eine Kandidatin um die Wählergunst. Die frei werdenden Sitze der zwei zurücktretenden Regierungsräte, Rickenbach (fdp) und Schmid (sp), liessen eine Konkurrenzsituation innerhalb der bürgerlichen Parteien entstehen, da die SVP einen zweiten Sitz forderte. Ausserdem stellte die Auto-Partei, welche über 13,2% Wähleranteil verfügt, National- und Grossrat Moser als Kampfkandidat gegen den sozialdemokratischen Bewerber auf, der den seit 1985 einzig verbliebenenen Sitz seiner Partei verteidigte. Im ersten Wahlgang schafften die drei Bisherigen Wertli (cvp), Siegrist (svp), Pfisterer (fdp) sowie Nationalrat Silvio Bircher (sp), Nachfolger für den bisherigen Erziehungsdirektor Schmid, das absolute Mehr. (Für Bircher rückte der 1991 abgewählte Zbinden in den Nationalrat nach.) Die hohe Stimmbeteiligung von 59,9% war unter anderem darauf zurückzuführen, dass die Wahlen gleichzeitig mit der Abstimmung über den Beitritt zum EWR stattfanden. Im zweiten Wahlgang gelang es der freisinnigen Kandidatin Stéphanie Mörikofer, den zweiten Sitz der FDP gegen die Bewerber der SVP und EVP sowie gegen den wild kandididierenden und von der Auto-Partei unterstützten Luzi Stamm (fdp) zu verteidigen. Die als erste Frau in die Aargauer Regierung gewählte Kandidatin distanzierte ihren Herausforderer aus der SVP mit über 14'000 Stimmen klar. Wie üblich in zweiten Wahlgängen fiel die Stimmbeteiligung mit 22% sehr gering aus.

Regierungsratswahlen Aargau 1992
Dossier: Kantonale Wahlen - Aargau
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 1992

Da der Termin der Gesamterneuerungswahlen für die Exekutive vorverlegt worden war, fanden im Dezember erneut Regierungsratswahlen statt. Die bisherigen Regierungsräte stellten sich zur Wiederwahl und wurden - nachdem die SP darauf verzichtet hatte, den 1985 an die FDP verlorenen zweiten Sitz zurückzuerobern - auf einer gemeinsamen Liste der vier Regierungsparteien bestätigt.

Regierungsratswahlen Aargau 1988
Dossier: Kantonale Wahlen - Aargau
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 1988

Im Kanton Aargau wurden die Ersatzwahlen für den zurückgetretenen CVP-Regierungsrat Hans Jörg Huber, der 1987 in den Ständerat gewählt worden war, zur Zerreissprobe für die CVP. Nachdem die Delegiertenversammlung eine Zweierkandidatur knapp abgelehnt und Nationalrat Anton Keller nominiert hatte, widersetzten sich CVP-interne Opponenten diesem als «Ämterverteilspiel» kritisierten Entscheid und warben mit organisierten persönlichen Briefen für die parteiintern unterlegenen Kandidaten Josef Rennhard und Peter Wertli. Während sich Wertli von dieser Aktion distanzierte, appellierte Rennhard an das demokratische Recht der freien Wahl und unternahm nichts, um die parteiintern hochgehenden Wogen zu glätten. Im ersten Wahlgang erreichte keiner der Anwärter das absolute Mehr. Obwohl der offizielle CVP-Kandidat die Unterstützung der bürgerlichen Schwesterparteien und die Billigung der SP genoss, wurde er von Rennhard überflügelt. Als er sich darauf zurückzog, beschloss die CVP, den Wählerinnen und Wählern einen Zweiervorschlag zu unterbreiten, und sie nominierte Rennhard und Wertli. Im zweiten Wahlgang wurde Wertli mit klarem Vorsprung gewählt. Ein parteiloser Alternativkandidat hatte keine Chance.

Die Stimmbeteiligung erreichte im 1. Wahlgang mit 16.3 Prozent ein Rekordtief (2. Wahlgang: 22.0%).

Ersatzwahl Regierungsrat Aargau 1988
Dossier: Kantonale Wahlen - Aargau
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 1988

Im Kanton Aargau wurde zuerst die Regierung gewählt. Nach dem Rücktritt des beim linken SP-Flügel umstrittenen Sozialdemokraten Louis Lang kam die seit 1973 anerkannte «Zauberformel» (2 SP, 1 FDP, 1 CVP, 1 SVP) ins Wanken: Die FDP meldete ihren Anspruch auf den 1965 verlorenen zweiten Regierungssitz an und portierte den Badener Stadtammann und Grossratspräsidenten Victor Rickenbach. Darauf schickten auch die CVP und der Landesring einen Kandidaten ins Rennen, während die SP versuchte, mit der engagierten Umweltschützerin und AKW-Gegnerin Ursula Mauch ihren zweiten Regierungssitz zu verteidigen. Im ersten Wahlgang wurden die vier bisherigen Regierungsräte wiedergewählt, wobei Rickenbach das absolute Mehr nur sehr knapp verfehlte. Er wurde in der zweiten Runde mit fast doppelt so vielen Stimmen wie Mauch gewählt. Die Wahlniederlage der Sozialdemokraten wiederholte sich bei den zwei Wochen später stattfindenden Grossratswahlen: Die SP büsste 7 Mandate ein und fiel auch wähleranteilmässig hinter die FDP und die CVP zurück. Erstmals seit 60 Jahren rückte dagegen die FDP wieder zur stärksten Grossratsfraktion auf, während die übrigen bisher im Grossen Rat vertretenen Parteien (CVP, SVP, EVP und LdU) geringe Verluste hinnehmen mussten. Einen überraschenden Erfolg erzielten die erstmals kandidierenden alternativen Grünen, die mit 5 Mandaten gleich Fraktionsstärke erreichten. In Baden eroberte die «Alternative Liste für Umweltschutz und Arbeitsplätze», welche der Sozialistischen Arbeiterpartei (SAP) nahesteht, ein Mandat; dagegen ging die nur im Fricktal kandidierende POCH leer aus. Die Nationale Aktion/Republikanische Bewegung kehrte nach dem Wahldebakel von 1981, als ihre zehnköpfige Fraktion abgewählt worden war, wieder mit 3 Abgeordneten ins Kantonsparlament zurück. Der Anteil der gewählten Frauen stieg von 14% (1981) auf 16%.

Kantonale Wahlen Aargau 1985
Dossier: Kantonale Wahlen - Aargau
Dossier: Kantonale Wahlen 1985

Dans le canton d'Argovie, le PDC a progressé en pourcentage, redevenant ainsi électoralement le parti le plus fort. Comme dans les cantons qui avaient renouvelé ces dernières années leurs autorités, l'Alliance des indépendants a à nouveau reculé. Cependant, les grands perdants ont été les partis qui luttent contre l'emprise étrangère. Ils n'ont pu maintenir aucun de leurs dix sièges et ont été contraints de quitter la scène politique. Alors que tous les partis bourgeois ont profité de cet effondrement, le PS a pour sa part stagné. Le renouvellement de l'exécutif ne correspondait qu'à une élection fictive, puisque seuls les cinq conseillers d'Etat sortants se représentaient. Celle-ci a été à l'origine d'une baisse de la participation et d'un grand nombre de bulletins nuls (la participation n'a été que de 17,3%).

Elections cantonales Argovie 1981
Dossier: Kantonale Wahlen - Aargau
Dossier: Kantonale Wahlen 1981