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Pour l'élection du Conseil d'Etat tessinois, 52 personnes, réparties sur treize listes, se sont lancées dans la course. Les listes de la Lega (en tandem avec l'UDC), de la «Lega Verde», du PLR, du PPD, du PS, du «Movimento per il socialismo - Partito Operaio Popolare - Indipendenti», des Vert'libéraux, des Verts, du Parti communiste et Indépendants proposaient chacune cinq prétendantes et prétendants. La liste «Più Donne» présentait quatre candidates. Un seul aspirant figurait sur les listes du mouvement «MontagnaViva», «Per un Cantone rispettoso dei (suoi) minori» et «Bello Sognare».
La Lega a focalisé sa campagne sur la visibilité et la popularité de ses membres sortants, Norman Gobbi et Claudio Zali. Le PS souhaitait un deuxième représentant, aux côtés de Manuele Bertoli, afin de renforcer sa présence à l'exécutif cantonal. Le PLR visait, outre le siège de Christian Vitta, également un siège supplémentaire.
Christian Vitta a été au centre de l'attention des médias, lors de la campagne, pour avoir accordé des avantages fiscaux à un ancien dirigeant d'un groupe de luxe. Le candidat sortant PPD Paolo Beltraminelli a également été sous les projecteurs en raison de l'affaire Argo 1, du nom de la société chargée de la gestion d'un centre de requérants d'asile. Mandatée sans mise au concours préalable, Argo 1 a fini dans le collimateur du Ministère public de la Confédération et du ministère public de Lugano. Un de ses employés a été condamné pour recrutement de membres destinés à rejoindre les organisations islamistes et le directeur pour maltraitance d'un requérant d'asile. En février, la commission d'enquête parlementaire instaurée suite à l'affaire Argo 1 a présenté ses conclusions. Elle a accusé le gouvernement, et plus particulièrement le conseiller d'Etat en charge du département de la santé publique, d'avoir commis des lacunes. Les accusations contre le fonctionnaire ont été abandonnées par le procureur chargé de l'enquête. Outre ces affaires, un sondage réalisé pour le quotidien «Corriere del Ticino» annonçait un cumul de 33.7% des préférences pour la droite Lega-UDC, 25.4% pour le PLR, 15.7% pour le PPD et 14.7% pour le PS.

Avec une participation de 59.7% (62.2% en 2015), l'ensemble des conseillers d'Etat tessinois sortants ont été élus pour un mandat supplémentaire, sauf le PPD Paolo Beltraminelli. Norman Gobbi est arrivé en tête avec 71'312 voix, suivi par Christian Vitta avec 66'819 voix, Claudio Zali avec 66'689 suffrages, Raffaele De Rosa (ppd) avec 44'648 et Manuele Bertoli 42'070 voix. Ainsi, la liste Lega-UDC a récolté 27.9% des suffrages (-4.2 points de pourcentage par rapport à 2015), celle du PLR 24.5% (-1.8), le PPD 18.2% (-0.7) et le PS 17.1% (+2.3). Les projections du sondage n'étaient pas si éloignées des forces résultantes pour le PLR, le PPD et le PS. Pour les autres listes, celle des Verts a récolté 4.3% (-2.3 points de pourcentage par rapport à 2015); du «Movimento per il socialismo - Partito Operaio Popolare» 2.1% (+1.1), de «Più Donne» 1.9%, des Vert'libéraux 1% (+0.7), du Parti communiste 1%, de la Lega Verde 0.9%, de «MontagnaViva» 0.8% (+0.7), de «Bello Sognare» 0.4% et «Per un Cantone rispettoso dei (suoi) minori» 0.1%. Paolo Beltraminelli, avec 33'838 voix, est arrivé en septième position. Son faible score s’expliquerait par les lacunes commises par son département dans l'affaire Argo 1. Remplacé par Raffaele De Rosa, le gouvernement cantonal reste exclusivement masculin. Il devra composé avec un parlement majoritairement composé de représentantes et représentants du PLR, de la Lega et du PPD.

Election gouvernement Tessin 2019
Dossier: Kantonale Wahlen - Tessin
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2019

Pour le renouvellement du gouvernement tessinois, à la proportionnelle, 41 personnes étaient candidates en vue d'occuper l'un des cinq sièges. La ministre sortante Laura Sadis (plr) ne briguait pas de mandat supplémentaire. Le PLR misait sur Christian Vitta, chef du groupe parlementaire au Grand conseil, ainsi que sur quatre jeunes pour conserver son siège vacant et récupérer celui perdu en 2011 au profit de la Lega. Première élection depuis la mort de son fondateur, Giuliano Bignasca, la Lega entendait conforter son assise. En 2013, Marco Borradori avait donné sa démission. Il a été finalement remplacé par Claudio Zali, après le décès de son successeur, Michele Barra. Aux côtés de ses représentants sortants, Norman Gobbi et Claudio Zali, elle présentait trois autres personnes. Le PDD et le PS ont également présenté une liste à cinq. Le PDD misait sur son conseiller d'Etat sortant Paolo Beltraminelli et espèrait voir le conseiller national Fabio Regazzi également siéger avec lui. Le PS espérait maintenir son unique mandat, exercé actuellement par Manuele Bertoli. La liste intitulée «La Destra» regroupait cinq représentantes et représentants de l'UDC, de l'UDF et de AL, comme la liste des Verts et la liste «Movimento per il socialismo-Parti communista». Les Vert'libéraux se présentaient pour la première fois avec deux candidats. La Lega Sud, mouvement proche de la ligue du nord italienne et favorable à l'indépendance du Tessin entrait en course avec un candidat, la formation MontagnaViva avait trois candidats.
Avec une participation de 62.3%, la Lega reste la principale force au gouvernement. La liste a récolté 27.6% des suffrages (-2.2 points de pourcentage par rapport à 2011). Claudio Zali entre au gouvernement avec un score de 83'307 voix. Norman Gobbi en obtient 73'540. Christian Vitta, avec 62'641 suffrages, occupera le siège de sa copartisane (liste PLR: 26.3% des voix; +1.3 point de pourcentage par rapport à 2011). Les membres sortants PPD et PS repartent pour un mandat, avec 45'597 et 43'694 voix (liste PPD: 17.5%; -2.4/liste PS: 14.8%; -1.5). Ainsi, la composition partisane reste inchangée, l'exécutif est désormais entièrement masculin. La liste Movimento per il socialismo - Partito Operaio Popolare totalise 1% (+0.2), celle des Vert'libéraux 0.3% (+0.3), des Verts 6.6% (+0.5), la Destra 4.5%, les listes Montagna Viva, Lega Sud et Movimento Socialisme chacune 0.1%.

Tessin - Staatsratswahlen 2015
Dossier: Kantonale Wahlen - Tessin
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2015

36 Kandidierende auf acht Listen kämpften um die fünf Sitze im Tessiner Staatsrat, die im Proporzverfahren vergeben werden. Gleich drei Sitze waren vakant. Zurückgetreten waren Gabriele Gendotti (fdp), der seit dem Jahr 2000 als Regierungsmitglied amtete. Nach insgesamt 12-jähriger Amtszeit traten auch Patrizia Pesenti (sp) und Luigi Pedrazzini (cvp) nicht mehr an. Die seit 2007 amtierende Laura Sadis (fdp) und der bereits seit vier Legislaturperioden als Staatsrat amtierende Marco Borradori (lega) kandidierten hingegen erneut. Die Vakanzen führten zu einem mit harten Bandagen geführten Wahlkampf und auch zu heftigen innerparteilichen Auseinandersetzungen. Insbesondere in der FDP brachen bei der Kür der Kandidierenden alte Gräben zwischen dem linken und dem wirtschaftsliberalen Flügel wieder auf. Als potentielle Nachfolger Gendottis wurden Christian Vitta, Matteo Quadranti und Sergio Morisoli bestimmt. Vitta und Quadranti – dem radikalen Flügel angehörend – warfen dem eher wirtschaftsliberalen Morisoli dessen Nähe zu einer katholischen Bewegung vor. Neben der bisherigen Sadis kandidierte Giacomo Garzoli als fünfter auf der freisinnigen Liste. Die FDP musste insbesondere die Konkurrenz der Lega fürchten: Umfragen vor den Wahlen zeigten, dass der Gewinn eines zweiten Sitzes für die mit rechtspopulistisch aufbereiteten Themen wie Sicherheit, Grenzgänger und Bernfeindlichkeit argumentierende Regionalpartei im Bereich des Möglichen lag. Die Lega trat neben dem Bisherigen Borradori mit Parteichef Giuliano Bignasca und Nationalrat Norman Gobbi an. Komplettiert wurde die Liste mit Michele Barra und Lorenzo Quadri. Die Lega wurde von der SVP unterstützt, die im Gegensatz zu 2007 selber nicht antrat. Der aussichtsreichste Kandidat der SP war ihr Präsident Manuele Bertoli, dem die Verteidigung des Sitzes zugetraut wurde. Auch Mario Branda galt auf der SP-Liste als potentieller Nachfolger. Die CVP versuchte ebenfalls mit ihrem Parteipräsidenten Giovanni Jelmini sowie mit Paolo Beltraminelli ihren vakanten Sitz zu verteidigen. Ferner fanden Franco Denti, Nadia Ghisolfi und Marco Passalia von der Generazione Giovani Platz auf der CVP-Liste. Die aussichtsreichsten Kandidaten auf der Liste der Grünen waren Sergio Savoia und Greta Gysin. Zudem trat Mattei Germano von Montagna Viva mit einer eigenen Liste an. Ihm wie auch den Kandidierenden der kommunistischen Partei und der Forza Civica wurden allerdings kaum Chancen eingeräumt.

Bei den Wahlen Mitte April nutzte die Lega die historische Chance, die ehemalige Hochburg der FDP zu schleifen. Obwohl eigentlich erwartet, war die Stärke der Unterstützung für die Lega dann allerdings doch überraschend, erhielt doch ihre Liste fast 30% der Stimmen (29,8%). Marco Borradori (lega, 81'754 Stimmen) und Norman Gobbi (lega, 61'712 Stimmen) erhielten von allen Kandidierenden die meisten Stimmen. Eine historische Niederlage musste die FDP einstecken, die damit nicht mehr stärkste Partei im Tessiner Staatsrat war. Sie kam als Partei auf noch 25% der Stimmen, was allerdings nur noch für einen Sitz reichte: Mit den drittmeisten Stimmen (59'915) wurde Laura Sadis (fdp) bestätigt. Den CVP-Sitz (19,9%) verteidigen konnte Paulo Beltraminelli (cvp, 44'270 Stimmen) und für die SP (16,3%) zog neu Manuele Bertoli (sp, 41'313 Stimmen) in die Exekutive ein. Mit ihm ist erstmals ein Sehbehinderter in einer kantonalen Regierung vertreten. Die Grünen (6,1%), Forza Civica (1,3%), Montagnga Viva (1%) und die Kommunisten (0,8%) hatten wie erwartet keine Chance auf einen Regierungssitz. Die Wahlbeteiligung war mit 58,5% im schweizerischen Vergleich relativ hoch, aber im Vergleich zu den letzten Gesamterneuerungswahlen leicht rückgängig (2007: 59,4%). Auch der Frauenanteil nahm ab: Mit Laura Sadis (fdp) sass nur noch eine Frau im Staatsrat. Der Sieg der Lega wurde unterschiedlich kommentiert. Während ihr Parteipräsident ankündigte, dass ab dem nächsten Tag seine Partei kommandieren würde, erklärte die FDP ihre Niederlage mit der momentan schwierigen Situation im Tessin, von der die Lega profitiert habe. In der Südschweizer Presse wurde die Doppelnatur der Lega hervorgehoben: Auf der einen Seite sei der sympathische Politiker Borradori die politische Treibkraft, und auf der anderen Seite mobilisiere der Extremist Bignasca. Die stärkere Einbindung der Lega in die Regierungsverantwortung könne allerdings durchaus auch der Zähmung der extremistischen Seite dienen.

Staatsratswahlen Tessin 2011
Dossier: Kantonale Wahlen - Tessin
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2011

Im Kanton Tessin war die FDP-Finanzdirektorin Marina Masoni wegen einer Affäre um das kantonale Steueramt, in deren Folge ihr die Aufsicht über dasselbe entzogen wurde, und wegen einer steuerlich günstigen Familienstiftung ihrer Eltern im Kanton Schwyz, unter Druck geraten. Sie betrieb deshalb einen äusserst intensiven Wahlkampf. Die zwei FDP-Sitze in der Tessiner Regierung waren trotz des ‚Falles Masoni’ und abnehmender Wähleranteile der FDP nicht in Gefahr, eher denkbar war der Ersatz Masonis durch eine andere FDP-Kandidatur. Nominiert wurde als Alternative Laura Sadis (fdp), die zum stärker auf sozialen Ausgleich ausgerichteten Flügel des Tessiner Freisinns gehört. In der Folge wurde der Wahlkampf dominiert vom innerfreisinnigen Duell zwischen Masoni und Sadis und damit verbundenen starken Flügelkämpfen innerhalb der Partei. Der zweite FDP-Staatsrat, Gabriele Gendotti, war unbestritten. Neben Masoni (fdp) schien vor allem Lega-Regierungsrat Marco Borradori gefährdet, weil der Tessiner Staatsrat nach Proporzwahlrecht gewählt wird und die Wähleranteile der Lega in den letzten Jahren gesunken waren. Das Ziel der CVP war, die alte Tessiner Zauberformel (2 FDP, 2 CVP, 1 SP) wiederherzustellen, also der Lega deren Sitz abzujagen. Auch die SP setzte sich den Erwerb des Lega-Sitzes und damit einen zweiten Sitz zum Ziel. Ihre einzige bisherige Staatsrätin Patrizia Pesenti war ungefährdet und konnte ruhig in den Wahlkampf gehen. Für den Staatsrat gab es 10 Listen mit insgesamt 42 Kandidaten. Erstmals hatten die Wähler die Möglichkeit, ohne Angabe einer Parteiliste zu wählen und damit nur Stimmen an die Kandidatinnen und Kandidaten zu verteilen. Bei den Staatsratswahlen im April wurden alle Bisherigen ausser Marina Masoni (fdp) wiedergewählt. Masoni verlor ihren Sitz an ihre Parteikollegin Laura Sadis. Glänzend gewählt wurde wider Erwarten Marco Borradori (Lega). Dessen Name wurde von 45% aller Wählerinnen und Wähler auf den Wahlzettel geschrieben. SP und CVP verfehlten damit beide den erhofften Sitzgewinn. Die Freisinnigen blieben die wählerstärkste Partei. Schlecht schnitten die SVP und die Grünen ab, die beide allein für die Staatsratswahlen angetreten waren.

Staatsratswahlen Tessin 2007
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2007
Dossier: Kantonale Wahlen - Tessin

Erstmals seit 1951 bestätigten die Tessiner Stimmberechtigten ihre bisherige Regierung (2 FDP, 1 CVP, 1 Lega, 1 SP); die Wahlbeteiligung betrug für Tessiner Verhältnisse niedrige 59,5%. Zur Wahl der fünf Regierungsräte nach dem Proporzverfahren hatten sich 40 Kandidatinnen und Kandidaten auf acht Listen aufstellen lassen; zum ersten Mal wurde auch eine Kaution von 2000 Fr. verlangt, welche bei weniger als 2% erhaltener Wahlzettel verfiel. Da alle bisherigen Staatsräte wieder kandidierten, verlief der Wahlkampf abgesehen von einem Zwischenfall, bei dem der führende SVP-Politiker einen Kollegen anschoss, ruhig. Im Zentrum stand die Frage, wie weit die SVP der Lega das Wasser abgraben konnte, deren Galionsfiguren Giuliano Bignasca und Flavio Maspoli mit Gerichtsverfahren von sich Reden gemacht hatten. Allerdings verfügte die Lega mit ihrem Staatsrat Marco Borradori über ein gutes Zugpferd – Borradori hatte in den letzten Wahlen am meisten Stimmen aller Kandidierenden erhalten und wollte von einem angebotenen Wechsel zur SVP nichts wissen. Bei den Wahlen im April konnten FDP (32,1%, +1,3%), SP (20,4%, +2,8%), SVP (4,6%, +2,6%) und Grüne (2,0%, +1,1%) ihre Wähleranteile erhöhen, während die CVP (24,4%, -0,5%) leichte Einbussen hinnehmen musste. Die Lega (15,1%, -6,0%) verlor einen Viertel ihrer Gefolgschaft, die SP wurde wieder zur drittstärksten Kraft. Das beste Resultat erzielte Gabriele Gendotti (fdp), der Nachfolger des 2000 im Amt verstorbenen Giuseppe Buffi, gefolgt von seiner Parteikollegin Marina Masoni, dem Christlichdemokraten Luigi Pedrazzini, Marco Borradori von der Lega und der Sozialdemokratin Patrizia Pesenti. Alle fünf wieder kandidierenden Staatsräte distanzierten die Nichtgewählten ihrer Listen deutlich.

Staatsratswahlen Tessin 2003
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 2003
Dossier: Kantonale Wahlen - Tessin

Die Tessiner Stimmberechtigten wählten im April eine neue Regierung. Zur Wahl der fünf Regierungsräte nach dem Proporzsystem liessen sich 40 Kandidatinnen und Kandidaten auf zwölf Listen aufstellen. Mindestens zwei der fünf Sitze mussten durch die Wahlen neu besetzt werden. Alex Pedrazzini (cvp) wollte sich beruflich neu orientieren und gab seinen Rücktritt bekannt. An seiner Stelle kandidierte CVP-Präsident Luigi Pedrazzini, der sich laut Wahlbeobachtern ohne nennenswerte Konkurrenz auf sicherem Pfad befand. Die CVP konzentrierte sich denn auch auf den Erhalt ihres bisherigen Sitzes. Weniger klar war die Nachfolge von Pietro Martinelli (sp), der sich auf Wunsch seiner Partei nach zwölf Jahren nicht mehr zur Wahl stellte. Die beiden Vertreter der FDP, die Finanzdirektorin Marina Masoni und Erziehungsdirektor Giuseppe Buffi schienen ungefährdet, obwohl man letzterem nach 13 Jahren Amtszeit verschiedene Male den Rücktritt nahe gelegt hatte. Die Lega stützte sich im Wahlkampf ganz auf die Popularität ihres Baudirektors Marco Borradori. Das sozialistische Lager schwächen und damit dem bürgerlichen Lager zu besseren Wahlchancen verhelfen konnte letztlich noch die durch den ehemaligen SP-Parteipräsidenten und Regierungsrat Rossano Bervini neugegründete Liberal-sozialistische Partei. Die SP hatte ausserdem Listenverbindungen mit der PdA oder den Grünen abgelehnt, währenddem die Lega mit der neugegründeten SVP eine solche eingegangen war.

Die Wahlen bestätigten die parteipolitische Zusammensetzung der Regierung. Mit der Wahl der Sozialdemokratin Patrizia Pesenti verdoppelte sich die Frauenvertretung in der Exekutive. Dabei galt die Locarneser Jugendrichterin Pesenti als Aussenseiterin auf der SP-Liste. Sie wird dem liberalen Flügel der SP zugerechnet. Der als Favorit gehandelte Noseda vertrat dagegen den von den Tessiner Sozialdemokraten angestrebten linken Kurs. Ein wider Erwarten gutes Ergebnis erzielte die Lega, die durch verschiedene hängige Strafverfahren angekratzt schien. Stimmenverluste verzeichnete hingegen die CVP, die damit den Krebsgang von 1995 fortsetzte. Sie blieb jedoch zweitstärkste Partei und konnte Alex Pedrazzini durch Luigi Pedrazzini ersetzen. Keine Chance hatte die SVP, die auf einen Stimmenanteil von 2% kam. Gescheitert ist auch das Comeback von Rossano Bervini. Der frühere SP-Staatsrat erreichte mit seiner neu gegründeten Liberal-sozialistischen Partei nicht einmal den Wähleranteil der SVP.

Staatsratswahlen Tessin 1999
Dossier: Kantonale Wahlen - Tessin
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 1999

Bei der Wahl in die Tessiner Kantonsregierung, welche nach dem Proporzsystem durchgeführt wird, fand zwar keine erdrutschartige Verschiebung wie bei den Grossratswahlen statt, aber die Sozialdemokraten mussten ihren seit 69 Jahren gehaltenen Sitz an die CVP abtreten, welche ihrerseits durch den bisherigen Renzo Respini und den neuen Alex Pedrazzini wieder mit zwei Räten vertreten ist. Die parteipolitische Konstellation der seit 1922 geltenden Zauberformel (2 FDP, 2 CVP, 1 SP), welche 1987 durch den PSU durchbrochen wurde, ist damit wiederhergestellt, mit dem Unterschied, dass die sozialdemokratische Abspaltung mit dem 1987 gewählten Pietro Martinelli und nicht die SP selbst den Regierungssitz inne hat. Im Gegensatz zu den letzten Wahlen erhielt die SP mit ihrem bisherigen Regierungsrat Rossano Bervini diesmal keine Unterstützung von den bürgerlichen Parteien.

Bei den letzten Regierungswahlen hatte unter anderem auch das Wahlgesetz den Christlichdemokraten ein Bein gestellt: Um den ersten Sitz zu bekommen, mussten damals 20% der Stimmen erreicht werden, für den zweiten wurden die besten Restresultate gezählt; mit dem Restresultat von 10% blieb die CVP damals für die Zuteilung ihres zweiten Sitzes knapp hinter PST und PSU zurück. In der vergangenen Legislaturperiode war dann auf Initiative der CVP das Wahlgesetz zugunsten der grossen Parteien geändert worden.

Staatsratswahlen Tessin 1991
Dossier: Kantonale Wahlen - Tessin
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 1991

Mit einer grossen Überraschung endeten die Gesamterneuerungswahlen im Tessin. Die Spitzenkandidaten der beiden zerstrittenen sozialistischen Lager, die sich den fünften Regierungssitz streitig gemacht hatten, der Sozialdemokrat Rossano Bervini und der autonome Sozialist Pietro Martinelli (psa), wurden beide in die Regierung gewählt. Dafür musste der amtierende CVP-Staatsrat Fulvio Caccia, der bisher stets mit dem besten Resultat im Amte bestätigt worden war, über die Klinge springen. Für diesen Wahlausgang, der die seit 1922 gültige Regierungs-«Zauberformel» (2 FDP, 2 CVP, 1 SP) umstiess und allgemein Konsternierung auslöste, ist einerseits das Tessiner Wahlsystem (Proporzwahl), andererseits das massive Eingreifen der bürgerlichen Parteien in die Auseinandersetzungen der Linken verantwortlich. Der Wahlkampf hatte ganz im Zeichen der sozialistischen Flügelkämpfe gestanden. Niemand zweifelte an der Wiederwahl der bisherigen FDP- und CVP-Staatsräte, doch rechnete man damit, dass der Sozialdemokrat Bervini durch den PSA-Kandidaten Martinelli verdrängt werden könnte. Da die rechten Flügel von FDP und CVP bei einem PSA-Sieg die Regierungsfähigkeit des Kantons in Gefahr sahen, machten sie sich für die Sicherung des SP-Sitzes stark, wodurch die bürgerlichen Parteien in hohem Ausmass Panaschierstimmen an die Linke verloren.

Kantonale Regierungswahl Tessin 1987
Dossier: Kantonale Wahlen - Tessin
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 1987

Im Tessin, wo die Exekutive nach Proporzsystem gewählt wird, rückte der Freisinnige Giuseppe Buffi für seinen zurückgetretenen Parteikollegen Carlo Speziali nach.

Staatsratswahlen Tessin 1986
Dossier: Kantonale Wahlen - Tessin
Dossier: Kantonale Wahlen 1986

Le Tessin connaît un système électoral tout à fait particulier. Les sièges de l'exécutif y sont attribués selon une forme de représentation proportionnelle différenciée. En outre, les grands partis présentent chacun une liste complète. Cette fois, la composition en place depuis 60 ans (PRD, PDC et PS) a été sérieusement menacée par le Parti socialiste autonome dont le candidat principal, Pietro Martinelli, a même obtenu un nombre de voix plus élevé que Rossano Bervini, nouveau leader socialiste. Martinelli n'a pourtant pas fait son entrée au gouvernement à cause de la participation électorale de son parti demeurée insuffisante pour obtenir un siège lors de la répartition. Outre Bervini, Claudio Generali (prd) et Renzo Respini (pdc) ont été élus pour la première fois au Conseil d'Etat tessinois.

Elections cantonales du Conseil d'Etat tessinois 1983
Dossier: Kantonale Wahlen - Tessin
Dossier: Kantonale Regierungswahlen 1983