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Die Erneuerung der beiden Kammern betrug mit 80 Neugewählten (unter Einbezug der sechs Übertritte aus dem National- in den Ständerat) 32,5%. Mit den neuen Nationalratsmitgliedern ergab sich bei den Freisinnigen und der SVP eine Verschiebung nach rechts. Sowohl im Kanton Zürich, wo die zwei neuen freisinnigen Ratsmitglieder Rolf Hegetschweiler und Oskar Fritschi gewählt wurden, als auch im Kanton Baselland — mit Christian Miesch — hatten die Kandidaten des konservativen Parteiflügels Erfolg. Ein Gegengewicht dazu bilden allerdings in der FDP die ebenfalls neu gewählten Peter Tschopp (GE), Marc Suter (BE) sowie der bisherige Walliser Regierungsrat Bernard Comby. Innerhalb der SVP konnte die zum rechten Parteiflügel zählende Zürcher Delegation zahlenmässig zur bisher dominierenden, als gemässigter geltenden Berner Vertretung aufschliessen.

Eidgenössische Wahlen 1991: Das neue Parlament
Dossier: Eidgenössische Wahlen 1991

Bei den eidgenössischen Wahlen hat die Partei ihr Ziel nur teilweise erreicht: Sie konnte zwar den Wähleranteil von 11 auf knapp 12% erhöhen, gewann aber keinen zusätzlichen Sitz und verharrte auf 25 resp. vier Mandaten im National- und Ständerat. Die SVP ist damit die einzige Regierungspartei, deren Wähleranteil heute höher ist als zum Zeitpunkt der Schaffung der «Zauberformel»; die übrigen Regierungsparteien haben seit 1959 zwischen 2,8 und 7,4 Prozentpunkte verloren.

Wahlresultate der SVP 1991
Dossier: Wahlresultate der SVP, 1990-1999

L'apparition des femmes sur l'avant-scène électorale a généralement pris des allures d'indépendance. Quantitativement, la quote-part de leur présence moyenne sur l'ensemble des listes s'est de nouveau accrue pour atteindre un quart des candidatures (1979: 18.4%). Les POCH furent la seule formation qui a adopté un équilibre entre les deux sexes dans ses candidatures sur le plan national. Les candidatures féminines des trois partis bourgeois et gouvernementaux ont été relativement rares. - A l'exception de Neuchâtel, où le PDC n'a présenté aucun candidat, les grands partis ont établi une liste dans tous les cantons connaissant l'élection au système proportionnel, tandis que l'UDC, l'AdI et l'extrême droite ont tenté leur chance dans environ la moitié de ces cantons.

Candidat.e.s aux élections fédérales 1983
Dossier: Eidgenössische Wahlen 1983 - Überblick

Les partis gouvernementaux ont avant tout mis l'accent sur leurs choix fondamentaux: dans leurs publications, les radicaux ont fait l'apologie de l'épargne et de la responsabilité individuelle au sein de l'Etat social, largement développé; ils ont aussi engagé une polémique contre la gauche revendicatrice. De leur côté, les socialistes ont dénoncé, derrière la formule radicale, la volonté de réduire les prestations sociales et ils ont engagé la controverse sur la nécessité de maintenir l'influence de l'Etat; ils ont, de surcroît, diagnostiqué d'autres problèmes d'actualité: la sécurité de l'emploi dans un environnement favorable a dominé le programme des objectifs à la fois rouges et verts. En insistant sur la famille, le PDC a prôné le maintien des valeurs traditionnelles et s'est déclaré partisan d'une péréquation entre les extrêmes. Enfin, l'UDC a demandé au gouvernement d'agir concrètement plutôt que de se perdre dans des théories complexes. Dans les groupements d'opposition, on a remarqué des développements classiques et d'autres plus inédits. En effet, la droite nationaliste mit une fois de plus l'accent sur son combat contre la politique gouvernementale à l'égard des étrangers et des réfugiés, tandis que l'AdI a dénoncé, par la voix de ses ténors, l'arbitraire de certaines grandes structures. Chez les partis verts, les idées non conformistes ont prévalu dans maints domaines, alors que les POCH ont tenté de jouer un rôle de leader parmi les mouvements alternatifs avec une initiative visant à suspendre la construction des autoroutes.

La campagne électorale aux élections fédérales 1983
Dossier: Eidgenössische Wahlen 1983 - Überblick

Les modifications des rapports de force ont toutefois été différentes d'un canton à l'autre. Dans certains d'entre eux, tant le groupe des partis bourgeois que celui des partis de gauche ont considérablement augmenté leurs proportions respectives d'électeurs. Ce furent surtout les cantons dans lesquels le PRD et le PS se sont disputés un siège au Conseil des Etats. Dans d'autres cantons, le déplacement eut lieu unilatéralement de gauche à droite. Ainsi, à Berne, le PS a perdu, au profit de l'UDC, le premier rang parmi les partis, alors qu'il l'avait occupé quatre décennies durant. Dans le canton de Vaud, les socialistes ont aussi cédé leur uremière place aux radicaux aui retrouvent ainsi - après l'éclipse d'une législature - leur suprématie. Toutefois, des déplacements d'importance relative ont été enregistrés entre partis cantonaux proches: aux Grisons, le PRD l'a emporté sur l'UDC (ancien Parti démocratique) et à Bâle-Ville, ce même parti a repris la tête des partis bourgeois. En revanche, à Genève et à Neuchâtel, il a cédé la place aux libéraux.

Résultats des élections au Conseil national 1979
Dossier: Eidgenössische Wahlen 1979 - Überblick

La campagne électorale n'a reflété que dans une certaine mesure les tensions politiques profondes. Certes, les partis, pour augmenter leur impact, ont publié des programmes d'action, sur lesquels nous reviendrons. Parmi les quatre partis gouvernementaux, les socialistes ont adopté le ton le plus agressif. Ils se faisaient forts de proposer la solution de rechange convenant à un monde en pleine mutation et reprochaient au «bloc bourgeois» de rejeter toute innovation. A l'opposé, le PRD mettait l'accent, pour maîtriser les tâches, sur les libertés et les responsabilités individuelles. Il va sans dire que cela signifiait: moins d'Etat. Il mettait aussi en garde contre la menace que représente une «gauche doctrinaire». Le PDC constatait, de son côté, l'ampleur des mutations sociales et se distançait tant du collectivisme que du vieux libéralisme. L'UDC occupait enfin une position médiane, insistant sur le lien entre progrès et tradition.

La campagne électorale aux élections fédérales 1979
Dossier: Eidgenössische Wahlen 1979 - Überblick