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Lors de la 7ème session de l'IPBES, 150 experts en sciences naturelles et sociales, issus de 50 pays, ont élaboré une synthèse mondiale sur l'état de la biodiversité. Le rapport analyse les causes et les conséquences pour les populations de l'érosion de la biodiversité, ainsi que les dangers menaçant l'écosystème. Il présente également les trajectoires pour les 30 prochaines années, selon six scénarios, en cas de stabilité de la situation actuelle. Les 1'600 pages ont été approuvées par 130 gouvernements à la fin de la session.
Le WWF a présenté un guide à l'attention des Etats et des entreprises pour freiner l'érosion de la biodiversité. Le rapport de l'IPBES servira de base pour les discussions du sommet du G7. Les Etats devront s'accorder sur les contributions financières pour sauver la biodiversité, lors de la COP15 sur la biodiversité en 2020. S'agissant de la Suisse, plusieurs experts estiment que la Suisse a encore des progrès à faire en matière de sauvegarder de la biodiversité.

Rapport mondial sur la biodiveristé

Le conseiller fédéral Flavio Cotti a participé, début octobre, au lancement d'une campagne de sensibilisation d'envergure mondiale menée par le WWF. Lors d'un discours retransmis par satellite dans une trentaine de pays, le chef du DFAE a rappelé l'attachement que porte la Suisse au principe de développement durable. Parrainée par le prince Philipp et le vice-président américain Al Gore, l'action du WWF intitulée «Planète vivante» a pour objectif d'enrayer la logique purement économique induite par la mondialisation en appelant les milieux économiques internationaux à contribuer à la préservation de l'ensemble de l'écosystème.

WWF "Planète vivante"

Anlässlich der Konferenz der Unterzeichnerstaaten der Konvention über den Schutz der biologischen Vielfalt forderten der WWF, SWISSAID und die Westschweizer Bauernorganisation Union des Producteurs Suisses (UPS) die rasche Ratifizierung der Artenschutzkonvention durch die Schweiz. Die an der Konferenz von Rio 1992 beschlossene Konvention sieht unter anderem die gerechte Entschädigung für Patente genetischer Ressourcen aus Entwicklungsländern vor. Die Industrieländer hatten sich jedoch im Gefolge der Konferenz nicht bereit gezeigt, die Artenschutzkonvention in der beschlossenen Form zu akzeptieren. Es waren vor allem Länder der Dritten Welt, welche die Konvention bisher ratifizierten.

Ratifizierung der Artenschutzkonvention

A l'occasion de diverses manifestations et assemblées, on a également débattu les obstacles qui empêchent de faire face aux problèmes écologiques sur les plans national et international. On a alors remarqué qu'il fallait particulièrement se méfier des conventions faibles, car elles renforcent l'illusion que l'on aborde les problèmes d'environnement, alors qu'il ne se passe rien en réalité. Le président du World Wildlife Fund suisse, Hans Hüssy, a souligné le fait qu'il existe justement en Suisse un espace béant entre le oui théorique à la protection de l'environnement et la pratique. Il s'exprimait ainsi à l'occasion de la présentation par les organisations pour la protection de l'environnement de la «stratégie mondiale de la conservation des ressources vivantes». Ainsi toutes les votations qui auraient pu réellement contribuer à l'amélioration de la qualité de la vie auraient échoué devant des intérêts particuliers massivement soutenus financièrement et qui agiraient souvent frauduleusement. Malgré cela, l'indépendant st-gallois Franz Jaeger espère beaucoup que l'on pourra mener une politique économique respectant l'espace vital, en renforçant les bases plébiscitaires au moyen de l'initiative législative.

Débattes on les obstacles qui empêchent de faire face aux problèmes écologiques sur les plans national et international