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A la suite de cette publication, Ueli Maurer a présenté un mandat d’économie pour le chef de l’armée proposant de réduire d’un quart le personnel du DDPS, de supprimer un tiers des places d’armes, de réduire le nombre de chars d’assaut et de pièces d’artillerie blindée et de supprimer l’artillerie de forteresse.

A la suite de cette publication, Ueli Maurer a présenté un mandat d’économie pour le chef de l’armée proposant de réduire d’un quart le personnel du DDPS, de supprimer un tiers des places d’armes, de réduire le nombre de chars d’assaut et de pièces d’artillerie blindée et de supprimer l’artillerie de forteresse. [15]

Au mois de juillet, le DDPS a approuvé le nouveau concept de stationnement de l’armée. Il a en outre déclaré être d’accord pour apporter des aménagements à celui-ci, en tenant compte des revendications des cantons de Suisse centrale et de Zurich. Une large consultation aura lieu au début de l’année 2006, avant que le Conseil fédéral ne se prononce définitivement. Samuel Schmid a cependant précisé que le nombre de suppressions d’emplois ne diminuerait pas, et que les postes épargnés à certains endroits seraient compensés ailleurs.

Licenciements et nouveau concept de «stationnement de l’armée» suite aux restrictions budgétaires imposées dans le cadre de la réforme Armée XXI
Dossier: Armee XXI

Le budget initial de CHF 4.3 milliards prévu pour le lancement d’ « Armée XXI » étant passé finalement en dessous de la barre des 4 milliards, le DDPS a confirmé en début d’année sa décision de réduire drastiquement les effectifs du personnel dans plusieurs domaines d’activités de l’armée. Ces mesures concernent environ 2500 postes du domaine de la défense d’ici à 2010. La réduction du personnel concerne trois niveaux : l’infrastructure de l’instruction (lieux de recrutement, occupation et utilisation de places d’armes et de tir, emplacements de commandements), l’infrastructure de l’engagement (exploitation d’aérodromes, installations de conduite et de transmission en surface ou souterraines) et l’infrastructure de la logistique (arsenaux, PAA, magasins de matériel, installations de la logistique souterraines, hôpitaux militaires). Le 6 décembre, le DDPS a présenté son concept de « stationnement de l’armée », qui prévoit un plan de réduction drastique de l’infrastructure militaire, et notamment d’aérodromes, d’arsenaux et de places de tir. Les fermetures et les licenciements consécutifs de personnel permettront ainsi, selon les estimations du département, de réduire annuellement les dépenses en matière de personnel d’au moins CHF 100 millions d’ici à fin 2007 et d’environ 240 millions d’ici à fin 2010. Si les cantons touchés par ces mesures ont la possibilité de prendre position par écrit jusqu’à début février 2005, leur marge de manœuvre reste cependant très étroite. Le DDPS communiquera ensuite, vers le milieu de l’année 2005, sa décision définitive aux cantons et la procédure du plan sectoriel sera alors engagée. L’approbation définitive de ce plan sectoriel militaire par le Conseil fédéral est planifiée pour l’année 2006.

Licenciements et nouveau concept de «stationnement de l’armée» suite aux restrictions budgétaires imposées dans le cadre de la réforme Armée XXI
Dossier: Armee XXI

Le commandant de corps Jacques Dousse a annoncé en juin son départ prématuré du commandement des Forces terrestres pour la fin de l’été de l’année sous revue. Il aurait dû rester en place jusqu’à l’entrée en vigueur de la réforme de l’armée. Il a été remplacé par le divisionnaire Luc Fellay.

Départ prématuré du commandement des Forces terrestres Dousse

Début juin, le DDPS a annoncé que des mesures d’économie l’obligeaient à renoncer à la mise à la retraite anticipée de plus de 100 collaborateurs âgés de 58 et 59 ans. Cette décision touchait le personnel du Corps des gardes-fortifications, des Forces aériennes et de l’Office fédéral des exploitations des Forces terrestres. A la mi-juillet, le département a fait volte-face et a annoncé que 40 collaborateurs âgés de 58 ou 59 ans allaient finalement obtenir leur retraite anticipée. Ces autorisations ont été accordées à titre exceptionnel et pour résoudre des cas difficiles, les autres devant être réexaminés en 2004. Une enquête interne, dirigée par l’ancien chef de l’Etat-major général Arthur Liener, a par ailleurs été chargée de déterminer les causes de ces dysfonctionnements. Le conseiller fédéral Samuel Schmid s’est excusé personnellement auprès des personnes touchées et a déploré que toutes les mises à la retraite annoncées ne puissent finalement pas être accordées. Les conclusions de l’enquête interne ont été livrées à la fin du mois d’août de l’année sous revue. Sur les 132 cas de retraites anticipées, 92 n’étaient pas justifiés. Il ressort de ce document que les changements organisationnels intervenus au début de l’année sous revue, principalement en vue de la mise en œuvre de l’Armée XXI, ont certainement eu une influence néfaste dans le domaine du personnel.

Licenciements et nouveau concept de «stationnement de l’armée» suite aux restrictions budgétaires imposées dans le cadre de la réforme Armée XXI
Dossier: Armee XXI

C’est à la fin du mois de mai, après la votation populaire, que le chef de l’Etat-major Christophe Keckeis a annoncé l’impact des restrictions budgétaires imposées par la Confédération. Cette diminution des moyens, de CHF 4.3 milliards à 4 milliards selon des estimations, allait particulièrement toucher la formation, avec une diminution du nombre des instructeurs professionnels (de 5300 prévus à 4500). Il a également estimé que ces économies ne pourraient se faire sans licenciements, malgré le gel des engagements et de nombreuses mises à la retraite anticipée.

Licenciements et nouveau concept de «stationnement de l’armée» suite aux restrictions budgétaires imposées dans le cadre de la réforme Armée XXI
Dossier: Armee XXI

Le nouveau chef de l’armée a été désigné à la fin du mois d’octobre. Il s’agit du divisionnaire Christophe Keckeis, commandant remplaçant des Forces aériennes. Ce parfait bilingue a été choisi parmi les 12 candidats (sur 18 au total) au terme d’un procédure de sélection que Samuel Schmid a tenu à diriger personnellement. Avant la mise en œuvre intégrale d’Armée XXI, il occupera la tête de l’Etat-major général en remplacement de Hans-Ulrich Scherrer. Cette nouvelle fonction de chef de l’armée n’existera en effet qu’avec la réalisation de la réforme de l’armée. Sa principale tâche sera, dans un premier temps, de veiller à son bon déroulement. Hiérarchiquement, il sera placé juste en-dessous du chef de département et devra notamment faire le lien entre l’armée et la politique, cette dernière ayant le dernier mot. Sous ses ordres se trouveront en revanche les Forces aériennes et terrestres, l’instruction supérieure des cadres, la base logistique de l’armée, l’état-major de planification et celui de conduite.

Nomination de Christophe Keckeis au poste de chef de l’armée
Dossier: Chefs der Armee
Dossier: Armee XXI

Le Genevois Alain Rickenbacher (55 ans) a été nommé commandant de corps par le Conseil fédéral, au terme d’un débat interne fourni. Le nouveau gradé prendra la tête du 1er corps d’armée suisse au 1er janvier 2001, succédant ainsi au Vaudois Jean Abt. Le Conseil fédéral a aussi nommé le divisionnaire bernois Christian Schlapbach au poste d’adjoint du chef des Forces terrestres, ainsi que le colonel d’état-major Rudolf Steiger à la direction de l’Ecole militaire supérieure de Zurich.

Nominations en 2000

Dès le début de l’an 2000, les postes supérieurs de l’armée seront également mis au concours. Ce faisant, le DDPS répond à une recommandation de la commission de gestion du Conseil national qui avait jugé peu transparente la procédure de recrutement. En l’occurrence, il s’agit des postes de secrétaire général, de chef de l’état-major général, des chefs du groupement de l’armement, des forces aériennes, de l’armée de terre et des quatre commandants de corps.

Réforme de la procédure de recrutement des postes supérieurs de l'armée

Le Conseil fédéral a nommé le divisionnaire Hansrudolf Fehrlin comme nouveau chef des Forces aériennes. Officier DCA et non pas pilote, ce dernier est appelé à remplacer le commandant de corps Fernand Carrel à la fin de l’année. Le divisionnaire Beat Fischer devient le nouveau commandant du Corps d’armée de montagne 3. Le colonel Béatrice Magnin-Riedi a pris la tête du Service de la Croix-Rouge (SCR) de l’armée. Elle est la première femme à accéder à cette fonction. Le SCR compte 1400 femmes, dont 900 intégrées dans les hôpitaux et 500 en réserve.

Nominations aux postes de l'armée, 1999

Le divisionnaire Alfred Roulier a été nommé chef de la doctrine. Ce nouveau poste dans l’armée suisse servira notamment à concrétiser les options du rapport Brunner. Il s’agira pour lui de travailler dans la ligne des nouveaux rapport sur la politique de sécurité et plan directeur de l’armée. Un autre divisionnaire, Josef Schärli, commandera lui le Groupe de la promotion de la paix et de la coopération en matière de sécurité (Grppc). Ce nouvel organisme, intégré au sein de l’état-major général, est appelé à coordonner les actions du DDPS en relation avec l’étranger. Par ailleurs, le Conseil national a transmis un postulat de sa commission de gestion (Po. 97.3549) priant le Conseil fédéral d’examiner si en cas de promotions dans l’armée, les candidats doivent fournir un extrait de casier judiciaire.

Nomination du divisionnaire Alfred Roulier pour la position de chef de la doctrine
Dossier: Armee XXI

Le brigadier Doris Portmann-Gilomen a remplacé Eugénie Pollak à la fonction de chef de service des Femmes dans l’armée (FDA) au sein de l’état-major général.

Nomination de Doris Portmann-Gilomen à la tête du service FDA

Le Conseil fédéral a nommé le divisionnaire Hans-Ulrich Scherrer, d'origine saint-galloise et âgé de 55 ans, à la tête de l'état-major général de l'armée. Il succédera à ce poste, en janvier 1998, à Arthur Liener. Ce dernier avait annoncé sa démission en 1996, suite aux critiques dont il avait fait l'objet dans le cadre de l'affaire Nyffenegger.

Nomination de Hans-Ulrich Scherrer à la tête de l'état-major général de l'armée

Désigné tant par l'enquête administrative de René Bacher que par celle parlementaire comme principal responsable des graves défaillances constatées dans l'affaire Nyffenegger, le chef de l'état-major général, Arthur Liener, a annoncé sa démission pour le 31 décembre 1997. Le chef de l'armée a souligné qu'il tenait ainsi à assumer la responsabilité pour les fautes qui lui étaient reprochées. Au sujet de la date relativement éloignée fixée pour son départ, le chef de l'état-major général a par ailleurs affirmé qu'il avait décidé d'occuper son poste encore une année afin de garantir la continuité des mesures de sécurité prises dans le but de limiter les dommages causés lors de la réalisation du CD-Rom. A. Liener a également mentionné que le chef des Forces terrestres était sur le point de prendre sa retraite et qu'un départ conjoint de deux des trois plus hauts gradés de l'armée aurait risqué de compromettre les différentes réformes en cours.

Affaire Nyffenegger

Le Conseil fédéral a nommé l'actuel chancelier du canton d'Argovie, J. F. Gut, pour succéder à Hans-Ulrich Ernst au poste de secrétaire général du DMF. Pour parer au départ à la retraite fin 1996 du commandant de corps J.-R. Christen, il a également promu le brigadier fribourgeois Jacques Dousse à la tête des Forces terrestres. Le nouveau chef de l'armée de terre est le premier officier à passer directement du grade de brigadier à cette fonction sans passer par le rang de divisionnaire. A 48 ans, il est également le plus jeune chef de l'instruction jamais nommé.

Démission de Hans-Ulrich Ernst en tant que secrétaire général du DMF

Le commandant de corps des troupes d'aviation, Fernand Carrel, a annoncé que des femmes pourront à l'avenir piloter des avions à réaction. Leur activité se limitera néanmoins à celle de monitrice de vol, la Constitution fédérale excluant que les femmes soient engagées dans des missions de combat.

Introduction d'écoles de recrues mixtes
Dossier: Militärischer Frauendienst (MFD)

L'entrée en vigueur de la réforme Armée 95 a signifié la fin du SFA en tant qu'entité distincte. Les soldats de sexe féminin sont désormais mélangés à leurs pairs masculins. Certaines différences demeurent néanmoins: les militaires féminins ne sont armés qu'à titre volontaire et, le cas échéant, uniquement d'un pistolet. De plus, seules les missions qui n'impliquent pas une activité de combat s'étendant au-delà de la défense personnelle et de celle de personnes qui leur ont été confiées (par exemple, la défense de patients) leur sont ouvertes. Enfin, il est à noter que cette intégration n'a pas posé de problèmes relatifs au bon déroulement de la vie militaire.

Abolition du Service féminin de l'armée (SFA)
Dossier: Militärischer Frauendienst (MFD)
Dossier: Armee 95

Parallèlement à la réforme de l'armée, le DMF a entrepris une profonde mutation, des sphères dirigeantes aux usines d'armement. L'un des éléments centraux de cette réforme tient dans la réorganisation du commandement même. Deux scénarios opposés avaient été proposés à ce sujet; la réunion sous la seule autorité du chef de l'Etat-major général de la conduite, de l'engagement et de l'instruction, ce qui en aurait fait une sorte de «général en temps de paix», ou la séparation radicale entre conduite et engagement d'une part, et instruction d'autre part, cette dernière se voyant encore étoffée par l'adjonction de la formation en matière d'aviation et de cours de répétition. Le choix d'une de ces options a provoqué d'importants conflits au sein de l'administration et entre les commandants de corps intéressés (A. Liener et J.-R. Christen), chacun défendant la solution la plus favorable pour lui. Le chef du DMF et le Conseil fédéral ont finalement opté pour une troisième voie qui, tout en maintenant une structure bicéphale de commandement, redéfinit de manière conséquente les fonctions et les responsabilités. Ainsi, le chef de l'instruction (désormais «Groupement des forces terrestres») se voit confier la formation dans les écoles et les cours de répétition ainsi que pour l'ensemble des armes, excepté l'aviation. Pour sa part, le chef de l'Etat-major général sera chargé des fonctions de conduite et de contrôle sur l'armée, l'aviation et la logistique («support»). Ce dernier élément comprend le Groupement de l'armement, baptisé Groupement support. Il subira les plus fortes restructurations, par une diminution du personnel et une suppression ou réorganisation de onze offices. En particulier, les entreprises d'armement et d'entretien seront fortement redimensionnées. Dans le domaine des munitions, dès le début de l'année 1995, les usines d'Altdorf (UR), de Thoune (BE), de Wimmis (BE) et d'Aubonne (VD) seront réunies pour former une nouvelle fabrique dont le siège sera à Thoune. Par ailleurs, des entreprises et postes de travail disparaîtront dans les arsenaux, les parcs automobiles et les aérodromes militaires. Au total, le chiffre de 3'000 emplois supprimés annoncé initialement devrait être dépassé.
A la fin de l'année, le DMF avait déjà procédé à 2'377 suppressions de postes sur les 3'000 prévues jusqu'en 2001. Seules 30 personnes ont été congédiées, les autres départs ayant été naturels. Ajoutons que le DMF a mis au point un nouveau plan social prévoyant notamment des possibilités de retraite à 58 ans. La suppression de postes de travail ne va pas sans inquiéter le personnel et les régions concernés. Par exemple, une pétition ayant pour but de maintenir ces places et munie de 5'000 signatures émanant d'un comité trans-partisan de l'Oberland bernois a été envoyée au CF.

Réorganisation 1995 du DMF («DMF 95») (MCF 95.035)
Dossier: Armee 95

La réforme Armée 95 a profondément touché le SFA, en ce sens que ce dernier est aboli en tant qu'entité indépendante; dans un souci d'égalité des sexes, les femmes seront en effet désormais entièrement intégrées dans l'armée. Elles effectueront leur service militaire avec les hommes et appartiendront aux différentes armes, disposant des mêmes droits et obligations que leurs homologues masculins. Par ailleurs, la durée du service sera prolongée, l'école de recrues passant de quatre à huit semaines. Le total de jours obligatoires à effectuer (300) et la durée d'instruction des cadres seront sensiblement identiques à ceux des hommes.

Abolition du Service féminin de l'armée (SFA)
Dossier: Militärischer Frauendienst (MFD)
Dossier: Armee 95

Hormis les changements ordinaires, les réformes en cours ont provoqué plusieurs mutations dans les hautes charges de l'armée, en particulier en raison de la suppression des brigades frontières et de réduit ainsi que des trois divisions mécanisées.

Restructuration des formations militaires (régiments, bataillons et groupes)
Dossier: Armee 95

In Locarno-Magadino (TI) wurden erstmals Frauen zu einer Militärpiloten-RS inklusive Unteroffiziersschule zugelassen. Die Frauen erhielten innerhalb von 18 Wochen die gleiche Fliegerausbildung auf PC-7-Maschinen wie ihre männlichen Kollegen. Nach einer weiteren Ausbildungsphase werden die Frauen vorerst nur Transporthelikopter fliegen, da sie laut Militärgesetz nicht bei Kampfhandlungen eingesetzt werden dürfen.

Introduction d'écoles de recrues mixtes
Dossier: Militärischer Frauendienst (MFD)

Primär aus gesundheitlichen Gründen reichte Divisionär Walter Keller, Waffenchef und Direktor des Bundesamtes für Mechanisierte und Leichte Truppen, seinen vorzeitigen Rücktritt ein. In der Vergangenheit hatte Keller verschiedentlich seine Skepsis gegenüber dem Truppenabbau im Rahmen von Armee 95 ausgedrückt. Der Bundesrat bestimmte Divisionär Claude Weber, bisher Kommandant der Mechanisierten Division 1, zu seinem Nachfolger.

Ernennung von Divisionär Claude Weber zum Waffenchef und Direktor des Bundesamtes für Mechanisierte und Leichte Truppen

Erstmals wurden an verschiedenen Orten in der Schweiz gemischtgeschlechtliche Rekrutenschulen durchgeführt. In Burgdorf (BE) wurden junge Frauen an der Seite ihrer männlichen Kameraden zu Fahrerinnen für leichte Motorfahrzeuge ausgebildet, in Bülach (ZH) rückten weibliche Übermittlungstruppen ein. Zudem können die MFD-Angehörigen seit dem Berichtsjahr das Tragen einer Waffe beantragen. 50% der diensttuenden Frauen und 90% der Rekrutinnen stellten einen entsprechenden Antrag. Ab 1994 sollen auch gemischte Unteroffiziersschulen eingeführt werden.

Introduction d'écoles de recrues mixtes
Dossier: Militärischer Frauendienst (MFD)

Der Bundesrat berief den St. Galler CVP-Ständerat Paul Gemperli zum neuen Präsidenten des Rates für Gesamtverteidigung. Er löste alt Ständerat François Jeanneret (lp, NE) an der Spitze dieses 21-köpfigen Beratungsorgans zu Fragen der Sicherheitspolitik ab.

Ernennung von Paul Gemperli zum Präsidenten des Rates für Gesamtverteidigung