L'USP a confirmé le virage entamé en 1990 en prenant position en faveur d'une telle extension des paiements directs mais a cependant considéré que la modification législative n'était pas une alternative valable à son initiative, et a regretté que les paiements directs prévus soient introduits aussi tardivement. Si les représentants de la centrale paysanne sont heureux que ceux-ci aient pour mission d'encourager une production respectueuse de l'environnement, ils désirent qu'ils stimulent également l'esprit d'entreprise et compensent l'inévitable diminution des protections douanières. L'octroi de ces paiements directs devrait se faire, selon eux, en fonction de la surface (ce qui tient compte de la diversité en besoin de main d'oeuvre), mais aussi du degré de difficulté de l'exploitation due aux conditions de production. L'USP a précisé que les paiements directs ne doivent pas porter atteinte au revenu paysan et doivent être accompagnés d'autres mesures permettant à la paysannerie de faire face aux bouleversements à venir.
Position de l'USP sur la politique agricole- Schlagworte
- Datum
- 13. September 1991
- Prozesstyp
- Positionspapier und Parolen
- Quellen
-
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- LID-Pressedienst, 1697, 19.4.91.
- Presse du 26.4.91; Bund et NZZ, 6.9.91; BZ, 13.9.91
von Serge Terribilini
Aktualisiert am 06.09.2018
Aktualisiert am 06.09.2018