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Nachdem der alt-Bundesrat im vorangehenden Jahr 2012 bereits Immobilien der „Basler Zeitung“ erworben hatte, erstand Christoph Blochers Firma Robinvest Mitte Jahr 20% des Aktienkapitals der BaZ Holding AG. Weiter erhielt der ehemalige Bundesrat Einsitz in den Verwaltungsrat der Gesellschaft und Robinvest übernahm ein Darlehen an die „Basler Zeitung“ (BaZ) in der Höhe von CHF 40 Mio., was gut der Hälfte der bei Besitzübernahme an Tito Tettamanti gewährten Anleihe entspricht. Mit der Einbindung von Blocher versprach sich Tettamanti die erfolgreiche Aufrechterhaltung der BaZ als bedeutende, eigenständige und liberale Zeitung. Trotzdem wurde die Zusammenarbeit der BaZ mit der Mediengruppe Tamedia im Berichtsjahr verstärkt. Neu druckt Tamedia die BaZ, dafür verbreitet diese neben dem „Magazin“ erstmals auch die „Sonntags-Zeitung“ des Verlagsriesen.

Besitzerwechsel bei der BaZ

Im Zusammenhang mit der umstrittenen BaZ-Übernahme durch Tito Tettamanti kam es im Raum Basel zu Sabotageaktionen gegen das Verteilsystem der BaZ. In einem gemeinsamen Communiqué warnten Comedia und SSM vor einem Eingriff rechtsbürgerlicher Kreise in das Schweizer Medienwesen.

Besitzerwechsel bei der BaZ

La Swissfirst Bank a repris la maison d’édition Jean Frey AG, propriété du Basler Mediengruppe. Le groupe Ringier s’est senti trahi car un précontrat relatif à la vente avait été signé avec les Bâlois en 2001. L’institut financier a repris Jean Frey AG, pour ensuite vendre la société à un groupe d’investisseurs privés et institutionnels. Aussi bien l’organisation faîtière des éditeurs Presse suisse, que la rédaction de la « Weltwoche », ont demandé aux nouveaux maîtres de maison de jouer carte sur table. L’annonce de la composition du nouvel actionnariat a confirmé sa proximité présumée avec des milieux bourgeois. Principal repreneur à hauteur de 25% environ, le financier tessinois et ancien politicien démocrate-chrétien Tito Tettamanti était notamment accompagné d’un certain nombre de politiciens bourgeois. Parmi les nombreux actionnaires détenant moins de 5%, se trouvaient Hans Kaufmann (CN, udc, ZH), Peter Weigelt (CN, prd, SG) ou encore Jörg Rappold (anc. membre du Conseil cantonal, prd, ZH). Une part d’ombre est demeurée dans la mesure où les détenteurs de 20% du capital n’ont pas dévoilé leur identité. La direction du groupe a été confiée à Filippo Leutenegger, ancien présentateur d’une émission politique de la télévision alémanique (ARENA). La fédération suisse des journalistes a réagi en exprimant sa crainte de voir les titres du groupe perdre leur indépendance. Le syndicat des médias Comedia a manifesté son inquiétude que le groupe devienne un objet de spéculation. L’identité des repreneurs a provoqué de vives réactions au sein de la rédaction du Beobacher, véritable institution se définissant comme le porte-parole des plus faibles et qui dispense de nombreux conseil pratiques à ses lecteurs. Le rédacteur en chef Ivo Bachmann et le chef du centre de conseil Philippe Ruedin, qui s’étaient exprimés ouvertement en faveur d’un reprise du titre par le groupe Ringier, plus à même selon eux à garantir l’indépendance du titre, ont démissionné une fois les noms des nouveaux propriétaires rendus publics.

Verkauf des Zürcher Verlagshauses Jean Frey AG an Ringier