Le gouvernement, son opinion confortée par cette consultation, resta intraitable sur la limite des 28 tonnes. Il motiva son refus en soulignant que la N2 supportait déjà une grande partie du trafic de transit franchissant l'arc alpin, que la dégradation de la qualité de l'air à ses abords atteindrait des degrés insupportables et, enfin, que toutes les possibilités du trafic combiné n'étaient pas épuisées. A. Ogi, afin de faire un geste à l'endroit de la CE, a cependant déclaré examiner les possibilités d'augmentation rapide des capacités suisses de ferroutage.
Le Conseil fédéral mit en consultation le projet d'ouvrir la N2 entre Bâle et Chiasso au 40 tonnes- Schlagworte
- Datum
- 6. September 1990
- Prozesstyp
- Gesellschaftliche Debatte
- Akteure
- Quellen
-
anzeigen
- Presse des 14.8., 29.8., 30.8. et 31.8.90; JdG. 25.8.90; TA, 31.8.90; DP, 1006, 6.9.90.
von Serge Terribilini
Aktualisiert am 01.05.2018
Aktualisiert am 01.05.2018