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  • Reichmuth, Xaver (cvp/pdc, SZ) SR/CE

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Das Resultat für die Wahlen von 37 der 46 Ständeratssitze war von der Niederlage der SP und dem schlechten Abschneiden der Frauen gekennzeichnet. In den Kantonen Freiburg und Tessin erreichte im ersten Wahlgang überhaupt kein Kandidat das absolute Mehr. Nach Durchführung eines zweiten Wahlganges in sieben Kantonen (AG, BE, BS, FR, TG, TI, VS) stand der Sieg der Freisinnigen fest: Die FDP erlangte neu 18 Mandate (+4) und erreichte damit wieder das Niveau von 1931; die CVP verlor drei (neu: 16) und der SP verblieben nur noch drei (-2) Sitze. Überraschend gewann die Lega dei Ticinesi einen Sitz. Bei den übrigen im Ständerat vertretenen Parteien (SVP, LP, LdU) ergaben sich keine Verschiebungen. Vierzehn Sitze der kleinen Kammer wurden erneuert (37,8%), wovon neun auf Rücktritte, einer auf die nachträgliche Besetzung des Sitzes des im Frühjahr verstorbenen Max Affolter (fdp, SO) und vier auf Abwahlen entfielen. Unter den Neugewählten waren auch sechs ehemalige Nationalräte (Willy Loretan (fdp, AG), Gilles Petitpierre (fdp, GE), Gilbert Coutau (lp, GE), Kurt Schäle (fdp, SH), Sergio Salvioni (fdp, TI) und Rolf Büttiker (fdp, SO)). Im Kanton Zürich konnte Monika Weber (ldu) ihr Resultat von 1987 noch verbessern und plazierte sich mit über 195'000 Stimmen zum zweiten Mal an erster Stelle, währenddem es dem SP-Kandidaten Elmar Ledergerber nicht gelang, Werner Vetterli (svp) trotz dessen relativ niedriger Stimmenzahl vom dritten Platz zu verdrängen. In Bern verfehlte die auf Arthur Hänsenberger nachfolgende Kandidatin der FDP, Christine Beerli, das absolute Mehr um 2000 Stimmen und trat im zweiten Wahlgang mit Erfolg gegen Leni Robert (gp) an. Überraschend war die Abwahl des CVP-Vertreters Xaver Reichmuth (seit 1983) in Schwyz. Die übrigen nicht Wiedergewählten waren Yvette Jaggi (sp, VD) und die beiden Tessiner Camillo Jelmini (cvp), der seinen Sitz an die Lega verlor, sowie Franco Masoni (fdp). Der Frauenanteil verschlechterte sich mit nur noch vier Gewählten auf 8,7% (1987: 10,9%).

Eidgenössische Wahlen 1991: Ständeratswahlen
Dossier: Eidgenössische Wahlen 1991

Im Ständerat, der sich in der Herbstsession mit dem Reformpaket befasste, waren Befürchtungen nicht zu überhören, dass damit das Milizsystem mit seinen nebenamtlichen Politikern begraben werde. Zwar wurde kein Nichteintretensantrag gestellt, aber bei den bewilligten Mitteln kam es zu weiteren Kürzungen. Die Bezahlung einer Übergangsentschädigung an zurücktretende oder nicht wiedergewählte Parlamentarier wurde sogar ganz gestrichen. Besonders umstritten war der Grundsatz einer Entschädigung für persönliche Mitarbeiter. Nachdem ein Streichungsantrag Reichmuth (cvp, SZ) mit 19 zu 10 unterlegen war, halbierte der Rat den vom Nationalrat bewilligten Betrag auf 20 000 Fr. In der Frage der Vereinfachung der Parlamentsarbeit beschloss der Ständerat die Beibehaltung des dreistufigen Differenzbereinigungsverfahrens. Bei der Revision ihres eigenen Geschäftsreglements beschloss die kleine Kammer, für Ständeräte eine Amtszeitbeschränkung von sechs Jahren für den Einsitz in die ständigen Kommissionen festzulegen.

Parlamentsreform 1992 (BRG 90.229)
Dossier: Parlamentsreform 1992

Par ailleurs, le Conseil des Etats a transmis le postulat Reichmuth (pdc, SZ) qui prône, dans le but de rendre l'agriculture plus concurrentielle, des mesures visant à réduire les coûts de production agricoles, à faciliter le désendettement ainsi qu'à supprimer les dispositions qui entravent la coopération entre les entreprises ou qui renchérissent les équipements techniques.

Postulat pour plus de libéralisme et une meilleure productivité du secteur agricole

Dans le canton de Schwytz, le PRD a subi les pertes les plus importantes, le PDC ayant défendu avec succès sa position majoritaire traditionnelle. Il a même augmenté son nombre de sièges, malgré la perte de quelques voix. Pour ce qui est du nombre des électeurs, le «Kritisches Forum», petite formation alternative, qui avait par ailleurs déjà obtenu un siège au parlement en 1980, a enregistré la plus forte progression. Comme chacune des 30 communes schwytzoises constitue un cercle électoral et comme le quorum est relativement élevé, la progression du nombre de ses sièges reste toutefois modeste.

Cette formation a également participé à l'élection du gouvernement qui s'est déroulée le même jour. Lors de sa campagne, elle prit pour cible le conseiller d'Etat démocrate-chrétien P. Brandenberg, chef du Département militaire, en raison de ses affinités avec le projet de la place d'armes de Rothenthurm. Ce magistrat fut certes réélu, mais il fit de loin le plus mauvais résultat de la liste commune des partis gouvernementaux. Sur celle-ci, le jeune président cantonal du PDC, F. Marty, remplaçait X. Reichmuth qui s'était retiré de l'exécutif schwytzois après son élection au Conseil des Etats.

Elections cantonales Schwyz 1984
Dossier: Kantonale Wahlen - Schwyz
Dossier: Kantonale Wahlen 1984

Les résultats de l'élection au Conseil des Etats, dont le renouvellement a lieu en même temps dans la plupart des cantons, correspondent aux déplacements de sièges au Conseil national, mais non point aux rapports de force au sein du dit Conseil. Dans trois arrondissements électoraux, les radicaux sont parvenus à ravir un siège aux socialistes. Ceux-ci ne détiennent plus que six mandats et ont donc perdu le terrain conquis en 1979. Avec ses 14 sièges, le PRD s'approche à nouveau du PDC prédominant avec 18 mandats. L'UDC et les libéraux conservent leurs positions avec respectivement 5 et 3 sièges. Les mandats les plus convoités furent certainement celui du canton du Jura et celui du canton de Zurich dont les titulaires ne se représentaient plus. Venues d'horizons politiques très divers; cinq personnalités dans le premier canton et quatre dans le second se sont disputées la succession des socialistes Pierre Gassmann (JU) et Emilie Lieberherr (ZH). Celle-ci avait renoncé à solliciter sa réélection à la suite de divergences avec son parti. Toutefois, dans les deux cas, les candidats choisis par les socialistes ne sont pas parvenus à obtenir le siège, car ils ont été supplantés par les radicaux Gaston Brahier (JU) et Rico Jagmetti(ZH). Plus spectaculaire encore fut l'issue 'du scrutin à Genève où Robert Ducret (prd) évinça le conseiller aux Etats sortant Willy Donzé. Les autres élections de l'automne n'ont pas provoqué d'autres changements. Au printemps déjà, l'élection complémentaire consécutive à l'arrivée d'Alphons Egli (pdc, LU) au Conseil fédéral n'avait pas apporté de changement d'appartenance politique. Dans les 20 cantons où les élections au Conseil des Etats eurent lieu en automne, 74 candidats se présentèrent. Dans quatre arrondissements électoraux seulement, le nombre des candidats ne dépassait pas celui des sièges à repourvoir. L'avantage dont jouissent les conseillers aux Etats sortants s'est manifesté dans les cantons de Fribourg, du Valais, de Neuchâtel et du Tessin mais, bien qu'étant favoris, ils n'ont pas atteint la majorité absolue au premier tour. Or, dans ces cantons, tous les «challengers» malheureux ont retiré leur candidature entre les deux tours, à l'exception de Gabrielle Nanchen, ancienne conseillère nationale socialiste, qui a tenté, sans succès, de faire échouer l'entente interne du PDC en Valais.

Autres nouveaux élus: Josi Meier (pdc, LU), élue au remplacement de A. Egli au printemps; Camillo Jelmini (pdc, TI), Daniel Lauber (pdc, VS), Franco Masoni (prd, TI), Heinz Moll (prd, TG), Xaver Reichmuth (pdc, SZ) et Otto Schoch (prd, AR).

Elections au Conseil des Etats 1983
Dossier: Eidgenössische Wahlen 1983 - Überblick