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Sur les cinq membres du Conseil administratif de la ville de Genève, seul le socialiste Sami Kanaan se représentait pour un mandat supplémentaire lors de l'élection communale. Outre sa candidature, 7 intéressées et 8 intéressés étaient en lice, répartis sur dix listes – «Verts-socialistes», PLR Ville de Genève, Ensemble à gauche, PDC, Parti du travail, UDC Genève, MCG, Vert’libéraux, PPGE et «Egalité et Equité». Pour la succession de Sandrine Salerno, le PS a présenté Christina Kitsos. Les Verts n'entendaient pas seulement défendre le siège d'Esther Alder, mais aussi renforcer leur présence dans l'exécutif. Espérant profiter de la poussée écologiste lors des élections fédérales, ils ont nommé Frédérique Perler et Alfonso Gomez. Les deux partis de gauche ont conjointement milité notamment pour «une transition écologique forte en ville et le maintien de prestations de qualité pour la population». Les Vert'libéraux misaient également sur leur succès au niveau national pour faire leur entrée au Conseil administratif, avec Susanne Amsler. Tout à gauche, Maria Perez (pdt) et Pierre Bayenet (EàG) convoitaient la place de Rémy Pagani (EàG). En conflit, les anciens alliés d'Ensemble à gauche ont fait listes distinctes. Au centre, le PDC a lancé Marie Barbey-Chappuis et Alia Chaker Mangeat. L’ancien conseiller d’Etat PDC Luc Barthassat concourait pour le MCG, aux côté de Daniel Sormanni. Le fauteuil de Guillaume Barazzone (pdc) suscitait aussi l'intérêt de Simon Brandt (plr). Contrairement à l’élection de 2015, le PDC et le PLR n’ont pas fait liste commune. Souhaité par le PLR, le PDC a refusé, faute de programme commun, de s’allier au MCG et à l’UDC pour contrer la gauche. L’UDC a proposé un double ticket porté par Christo Ivanov et Pascal Altenbach. Le fondateur du Parti populaire genevois (PPGE), Pascal Spuhler briguait aussi un fauteuil; tout comme Sanja Duvnjak (sans parti), dont le nom paraissait sur la liste «Egalité et Equité».
Durant la campagne, différents sujets ont été abordés comme par exemple l'armement de la police municipale et les mesures pour lutter contre le réchauffement climatique. Deux candidats ont particulièrement fait parler d’eux dans la presse: Simon Brandt avec sa mise en prévention pour double violation du secret de fonction et Pierre Bayenet concernant son lieu de domicile et ses contrats de bail en ville de Genève.

Lors du premier tour, avec une participation de 32.4%, personne n'a atteint la majorité absolue fixée à 19'736 voix. Est arrivé en tête le sortant Sami Kanaan (18'238 suffrages), suivi par ses colistières et colistiers Christina Kitsos (16'798), Frédérique Perler (15'140) et Alfonso Gomez (14'304). Simon Brandt (10'932) s'est placé en cinquième position. Viennent ensuite Marie Barbey-Chappuis (10'407), Susanne Amsler (9'746), Maria Perez (9'492), Pierre Bayenet (9'328), Alia Chaker Mangeat (7'546), Luc Barthassat (7'317), Daniel Sormanni (6'915), Christo Ivanov (6’565), Pascal Altenbach (5'927), Sanja Duvnjak (2'387) et enfin Pascal Spuhler (2'150).

Le second tour a été maintenu, malgré la crise sanitaire due au Covid-19 et les restrictions de rassemblement. La campagne s'est alors déroulée principalement sur internet et via les médias traditionnels. Les Vert’libéraux ont décidé d’abandonner la course. Alia Chaker Mangeat, Pascal Altenbach, Pascal Spuhler n’étaient également plus en lice. Avec une participation de 27.9%, l’ensemble des membres de la liste Verts-socialistes ont été élus. Sami Kanaan a récolté 18'054 suffrages, Christina Kitsos 17'438, Frédérique Perler 15'872 et Alfonso Gomez 14'694. Le fauteuil de Rémy Pagani passe donc en mains vertes et Marie Barbey-Chappuis assure le siège PDC. S'agissant des autres, Simon Brandt a obtenu un score de 11'725 voix, Maria Perez 10'397, Pierre Bayenet 8'802, Luc Barthassat 7'723, Christo Ivanov 7'335, Daniel Sormanni 7'121 et Sanja Duvnjak 2'827.

Le Conseil municipal a également été renouvelé lors du premier tour. 279 personnes briguaient l'un des 80 sièges. Dix listes ont été déposées: Socialistes, PLR Ville de Genève, Ensemble à gauche, PDC, Les Vert.e.s, UDC, Parti du Travail, Vert’libéraux-alliés, MCG et PPGE. Les Verts, avec un gain de 10 sièges par rapport à 2015, deviennent la seconde force au législatif communal (18 sièges; 19.8% des suffrages), derrière les socialistes (19; 21.3%). L'UDC figure aussi parmi les gagnants, avec un septième représentant (8.7%). Le MCG perd 4 sièges (7 ;7.7%); le PDC 3 sièges (8 ; 8.7%) comme Ensemble à gauche (7; 7.8%); et le PLR son quinzième fauteuil (16%).

Election ville de Genève 2020
Dossier: Elections communales 2020

La population citadine genevoise a réélu les membres du Conseil administratif dans son intégralité pour la législature 2015-2020. Lors du premier tour, aux côtés des ministres sortants Sandrine Salerno (ps), Sami Kanaan (ps), Esther Alder (verts), Rémy Pagani (EàG) et Guillaume Barazzone (pdc) figuraient Pierre Conne (plr), Adrien Genecand (plr), Natacha Desfayes (plr), Daniel Sormanni (mcg), Carlos Saraiva Medeiros (mcg), Vera Figurek (EàG), Hélène Ecuyer (EàG), Thomas Bläsi (udc) et Sue Putallaz (vert'libéraux) dans la course à l’exécutif. Les 14 intéressées et intéressés étaient répartis sur six listes, à savoir celle de «l'Entente genevoise PLR-PDC», de l'UDC, du MCG, des Vert'libéraux, de «L'Alternative Les Verts Parti socialiste» et d'«Ensemble à Gauche». Personne n'a effleuré la majorité absolue fixée à 19'694 voix. La participation était de 34.7%. Sami Kanaan a totalisé 14'209 suffrages, Guillaume Barazzone 14'154, Esther Alder 13'523, Sandrine Salerno 13'030, Pierre Conne 11'839, Adrien Genecand 11'776, Natacha Desfayes 11'410, Rémy Pagani 6'727, Daniel Sormanni 5'662, Carlos Saraiva Medeiros 5'379, Vera Figurek 5'275, Hélène Ecuyer 4'408, Thomas Bläsi 3'397 et Sue Putallaz 2'491.
Pour le second tour, le PDC s'est allié avec le PLR, sous la bannière de l'«Entente genevoise». L'objectif était d'occuper un siège supplémentaire au Conseil administratif. Le programme de Pierre Conne et de Guillaume Barazzone s'articulait autour de la sécurité et de l'environnement, avec des mesures comme le renforcement du nombre d'agents municipaux, l'élaboration d'un «plan lumière» pour l'éclairage de la ville, quatre nouvelles zones piétonnes ou la création de 800 nouveaux logements. Face à eux, l'alliance MCG-UDC, intitulée «Nouvelle force», espérait obtenir un mandat à l'exécutif de la ville. Les deux partis se sont regroupés après avoir chacun essuyé un refus de l'Entente pour s'associer. Leurs thèmes s'axaient autour de la rigueur dans la gestion des finances publiques et la frontière. Alors que la droite partait divisée, la gauche était unie avec le couple PS-Verts et Ensemble à Gauche. Avec une participation de 31%, Sami Kanaan est arrivé à nouveau en tête avec 17'862 voix. Esther Alder le suivait avec 17'357 suffrages. Elle précédait Sandrine Salerno (16'495 voix), Rémy Pagani (15'672), Guillaume Barazzone (15'642), Pierre Conne (13'988), Thomas Bläsi (6'097) et Daniel Sormanni (5'893). Carlos Saraiva Medeiros, avec 5'510 voix, fermait la marche. L'union de la gauche a donc fonctionné. L'Entente PLR-PDC n'est pas parvenue à la fissurer. L'ensemble du collège sortant a donc été réélu.

Pour le législatif communal, 225 candidates et candidats visaient les 80 sièges. Le PDC et les socialistes sont ressortis gagnants, avec un gain de 4 et 3 sièges. Les Verts en ont perdu 3, l'UDC et Ensemble à gauche chacun 2. Ainsi, les socialistes occupent 19 sièges (22.7% des suffrages; +4 points de pourcentage par rapport à 2011), les libéraux-radicaux 15 (18.3%; +0.6), le PDC 11 (13.6%; +4.3), le MCG 11 (13.4%; +0.3); Ensemble à Gauche 10 (11.8%; -2.8), les Verts 8 (9.5%; -3.4) et l'UDC 6 (7.5%; -2.7). Les Vert'libéraux ont récolté 2.7% des suffrages (+0.11) et le PBD 0.58%.

Wahlen in der Stadt Genf

Die Wahlen für den Conseil administratif (Exekutivwahlen) fanden rund einen Monat nach den kommunalen Parlamentswahlen statt. Deren Ausgang hatte beim MCG die Hoffnung geweckt, auch in die Stadtregierung einziehen und so die links-grüne Mehrheit (2 SP, 1 GP, 1 FDP und 1 Ensemble à Gauche) knacken zu können. Der MCG trat denn auch gleich mit zwei Kandidierenden an: Soli Pardo und Carlos Medeiros wurden aber nur geringe Chancen attestiert. Die Grünen hingegen präsentierten ob ihrer Niederlage nicht wie angekündigt zwei, sondern nur eine Kandidatin, nämlich Esther Alder, die den Sitz des zurückgetretenen Patrice Mugny verteidigen wollte. Die SP trat mit der amtierenden Bürgermeisterin Sandrine Salerno und neu mit Sami Kanaan an, der den nicht mehr kandidierenden Manuel Tornare (sp) ersetzen sollte. Der bisherige Rémy Pagani von Ensemble à Gauche (EaG) wollte seinen Sitz ebenfalls verteidigen. Die FDP, welche mit dem bisherigen Pierre Maudet antrat, spannte mit der CVP zusammen, die Michel Chevrolet als Anwärter für einen Sitz im Conseil administratif präsentierte. Die SVP wollte mit Eric Bertinat in die Regierung einziehen. Viel Wirbel verursachte das Zusammengehen der LP mit der SVP: Zum ersten Mal in der Geschichte der Genfer Kommunalwahlen kam es zu einer Verbindung einer Entente-Partei (FDP, LP, CVP) mit der SVP. Die Liberalen, die Florence Kraft-Babel als Kandidatin präsentierten, waren überzeugt, dass der bürgerliche Sitz in der Regierung gegen die links-grüne Mehrheit nur mit Hilfe einer Verbindung mit Rechts verteidigt werden könne. Die CVP und auch die FDP, mit der die LP auch in Genf noch im Mai des Berichtjahrs fusionieren wollte, lehnten den Zusammengang mit der SVP ab und sahen darin die Gefährdung des Sitzes der FDP. Der Spagat („le grand écart“) der LP, die ja gleichzeitig auch zusammen mit der Entente antrat, zahlte sich allerdings weder für sie noch für die SVP aus. Die Sitzverteilung blieb nämlich unverändert und sowohl Kraft-Babel (11'496 Stimmen) als auch Bertinat (4'352 Stimmen) verpassten den Einzug in den Genfer Stadtrat. Im ersten Wahlgang gewählt – in Genf brauchen Anwärter für die kommunale Exekutive lediglich 30% der Stimmen, um gewählt zu werden – waren Kanaan (sp), der am meisten Stimmen erhielt (19'513 Stimmen), Salerno (sp, 19'288 Stimmen), Alder (gp, 19'196 Stimmen) und Pagani (EaG, 18'987 Stimmen) von links-grüner Seite. Erst auf Rang fünf folgte Maudet (fdp, 15'418 Stimmen). Keine Chancen hatten Chevrolet (cvp, 9'392 Stimmen), Medeiros (mcg, 7'768 Stimmen) und Pardo (mcg, 7'626 Stimmen). Die Linke konnte mit Hilfe der Majorzwahlen den Einzug des MCG in die Genfer Stadtregierung also verhindern. Trösten konnte sich der MCG mit dem Einzug seines Präsidenten in die Stadtregierung von Onex. Die Wahlbeteiligung war rund 1,4 Prozentpunkte tiefer als noch 2007 und lag bei 36,5%. Mit der Wiederwahl von Salerno und der Neuwahl von Alder sassen neu zwei Frauen in der Genfer Stadtregierung.

Kommunale Wahlen Genf 2011
Dossier: Elections communales 2011

Bei den kommunalen Wahlen vom 13. März wurden die Parlamente und Regierungen der 45 Genfer Gemeinden neu bestellt. In der Stadt ging es dabei um 80 Legislativmandate, um die sich 264 Kandidierende auf neun Listen stritten. Im Vorfeld der Wahlen gaben die Parteien ihre Wahlkampfbudgets bekannt, die in Anbetracht der anstehenden nationalen Wahlen im Herbst erstaunlich hoch waren. Die SP und die FDP gaben an, jeweils etwa 350'000 CHF ausgeben zu wollen, gefolgt von der CVP (330'000 CHF) und den Grünen (180'000 CHF). Das Linksaussen-Bündnis „Ensemble à Gauche" als Nachfolger der Bewegung „A Gauche toute!“ (80'000 CHF), der Mouvement Citoyens Genevois (MCG; 80'000 CHF) und die SVP (50'000 CHF) schienen über vergleichsweise geringere Mittel zu verfügen. Der erstmalige Antritt der Grünliberalen und die Fusion zwischen der FDP und der LP aber auch der Antritt des MCG, der 2009 bei den kantonalen Wahlen für Furore gesorgt hatte und bisher in drei Gemeindeparlamenten vertreten war (Lancy, Onex, Vernier) machten die Ausgangslage spannend. Tatsächlich konnte der MCG in 14 zusätzlichen Gemeinden Sitze gewinnen. In der Stadt Genf holte sich die rechtspopulistische Partei auf Anhieb elf der 80 Sitze. Weil Links-Grün insgesamt Sitze einbüsste – Ensemble à Gauche gewann zwar zwei Sitze (neu: 12 Sitze), aber die SP (-1 Sitz, neu: 16 Sitze) und die Grünen (-4 Sitze, neu: 11 Sitze) mussten Mandate abgeben – kam es zu einem leichten Rechtsrutsch im Genfer Stadtparlament. Auch die bürgerlichen Parteien mussten allerdings Sitze abgeben: die fusionierte FDP-LP kam noch auf 15 Sitze, was einem Verlust von total fünf Sitzen gleichkam. Die CVP verlor 2 Sitze (neu 7 Mandate) und die SVP einen Sitz (8 Mandate). Mit den total 39 Sitzen verlor die Linke damit ihre 20 Jahre anhaltende Mehrheit im Stadtgenfer Parlament. Der MCG wollte in der Folge eine stärkere Zusammenarbeit mit der SVP auf kommunaler Ebene anstreben und sein Präsident – Eric Stauffer – kündigte seine Kandidatur für die Nationalratswahlen an. Der Erfolg des MCG wurde mit dessen ausländer- und grenzarbeiterfeindlichen Politik erklärt. Die etablierten Parteien hätten die Ängste der Bevölkerung hingegen zu wenig ernst genommen Die Stimmbeteiligung lag mit 35,7% leicht höher als noch 2007 (32,4%). Der Frauenanteil im Parlament betrug neu 37,5%.

Kommunale Wahlen Genf 2011
Dossier: Elections communales 2011

Nur zwei Mitglieder der Stadtgenfer Regierung, Patrice Mugny (gp) und Manuel Tornare (sp), traten nach einer chaotischen Legislatur mit verschiedenen Affären noch einmal an. Damit waren 3 von 5 Sitzen neu zu besetzen. Die Regierung setzte sich vor der Wahl aus je einem Vertreter von SP, Grünen und Liberalen zusammen, während die äussere Linke zwei Sitze hielt. Die linken Parteien (SP, Grüne und „A gauche toute“), hatten eine Absprache getroffen, wonach die Wähleranteile bei der Parlamentswahl im März entscheidend dafür sein sollten, welche Partei wie viele Kandidaten für die Regierung aufstellen durfte. Demzufolge gab es für die Wahlen im April eine linke Viererliste mit Sandrine Salerno (sp), Manuel Tornare (sp), Patrice Mugny (Grüne) und Rémy Pagany („A gauche toute“). Die bürgerliche Entente (FDP, LP und CVP) mit ihren Kandidaten Pierre Maudet (fdp), Anne Marie von Arx-Vernon (cvp) und Nathalie Fontanet (lp) befand sich in einem Konflikt mit der SVP, da sie deren Kandidaten Yves Nidegger nicht auf ihre Liste aufnehmen wollte, eine Einzelkandidatur der SVP aber die Chancen auf einen zweiten bürgerlichen Sitz in der Regierung erheblich schmälerte. Nach einem längeren Hin und Her und Diskussionen über programmatische Anpassungen, welche die SVP zur Bedingung eines Rückzugs ihrer Kandidatur machte, weigerte sich die CVP schliesslich, der SVP Konzessionen zu machen und letztere trat allein an. Bei den Wahlen im April wurden alle Kandidaten der Linken gewählt. Die SP-Kandidaten Tornare und Salerno erzielten die besten Resultate. Salerno (sp) wurde als einzige Frau in die Regierung gewählt. Von den bürgerlichen Kandidaten schaffte nur der populäre Maudet (fdp), mit geringem Abstand vor von Arx-Vernon (cvp), die Wahl. Die Kandidatin der Liberalen Fontanet lag hinter Maudet und von Arx-Vernon. Die Liberalen verloren damit ihren traditionellen Sitz in der Regierung. Nach diesem Ergebnis wurde über die Zukunft der bürgerlichen Entente diskutiert, insbesondere, da wahrscheinlich sogar ein fünfter linker Kandidat die Wahl auch noch geschafft hätte, wäre einer aufgestellt worden. In der Presse wurde spekuliert, dass sich LP und FDP wohl in Zukunft vermehrt mit der SVP und weniger mit der CVP zusammentun würden. Dies auch im Zusammenhang damit, dass die CVP, welche die Zusammenarbeit mit der SVP abgelehnt hatte, von der Entente profitierte und gleichzeitig Stimmen von links holen konnte, so dass ihre Kandidatin von Arx-Vernon fast auf Kosten von Maudet (fdp) gewählt worden wäre.

Kommunale Wahlen Genf 2007
Dossier: Elections communales 2007

Vor den Wahlen hielt Rot-Grün die absolute Mehrheit im 80-köpfigen Stadtgenfer Parlament. Die Linke (SP, Grüne und „A gauche toute“) tat sich, um ihre Mehrheit zu verteidigen, zu einem Wahlbündnis zusammen. Die Rechte dagegen war zersplittert. SP, Grünen und „A gauche toute“ gelang es, bei den Wahlen im März ihre absolute Mehrheit zu verteidigen, sie erreichten zusammen 42 von 80 Sitzen. Gewinnerinnen der Wahlen waren die CVP (+3 Sitze), die FDP (+3), die Grünen (+2) sowie die SP (+1). Verliererinnen waren die LP (-4 Sitze) und das Linksaussen-Bündnis „A gauche toute“. Die zu diesem Bündnis gehörenden Parteien verloren insgesamt 5 Sitze. Das Parlament rückte etwas mehr ins Zentrum. Ein historisches Ergebnis gab es für die Frauen: Diese errangen mit 56% die Mehrheit der Sitze im Genfer Parlament. Eine Besonderheit der Wahlen war, dass Ausländer erstmals das Wahlrecht hatten und von den Parteien entsprechend umworben wurden.

Kommunale Wahlen Genf 2007
Dossier: Elections communales 2007

In der 5-köpfigen Stadtgenfer Regierung behielt die links-grüne Allianz, die gemeinsam in den Wahlkampf gestiegen war, bei den Wahlen im Mai die Mehrheit. Das beste Resultat erzielte Manuel Tornare (sp). Patrice Mugny, Nationalrat und Ko-Präsident der Grünen Schweiz, verteidigte den Sitz seiner Partei nach dem Rücktritt von Alain Vaissade; er erreichte den zweiten Platz. Auf ihn folgten Christian Ferrazino von der Alliance de gauche und der Vertreter der PdA, Stadtpräsident André Hédiger. Dieser war nach sechzehn Amtsjahren nochmals angetreten, obschon er heftig kritisiert worden war, weil das Genfer Casino, dessen Betriebsgesellschaft er als Präsident vorstand, schliessen musste, nachdem es vom Bund keine Lizenz mehr erhalten hatte. Der einzige Vertreter der Bürgerlichen in der Regierung, Pierre Muller (lp), musste eine Zeit lang um seine Wahl zittern, da ihm der Bewerber der Freisinnigen, Bernard Lescaze, bedrohlich nahe kam – Liberale und Freisinnige waren gemeinsam angetreten. Die separat kandidierenden Vertreter von CVP und SVP bleiben chancenlos.

Kommunale Wahlen Genf 2003
Dossier: Elections communales 2003

Bei den Wahlen in das 80-köpfige Parlament der Stadt Genf im März konnte die Linke ihre Mehrheit von 44 Sitzen verteidigen, doch kam es zu Verschiebungen von der extremen Linken (PdA: 6 Sitze, -4; Alliance de gauche: 9 Sitze, -3) zu den Sozialdemokraten (16 Sitze, +4) und zu den Grünen (13 Sitze, +3). Die bürgerliche „Entente“ aus Liberalen (15 Sitze, -4), Freisinnigen (6 Sitze, -2) und Christlichdemokraten (6 Sitze, -3) musste insgesamt neun Mandate an die SVP (9 Sitze) abgeben, welche auf Anhieb die zweitgrösste bürgerliche Fraktion stellt. Dabei profitierte die SVP von ihrem Zugpferd Eric Ischi, einem früheren Chefbeamten, der auch für die Stadtregierung kandidierte, gemässigt auftrat und kantonsweit bekannt ist. Der SP hingegen kam laut Vermutungen in der Presse der „Calmy-Rey-Effekt“ und die Wahl des neuen Staatsrates Charles Beer zugute, den Grünen ihr Aushängeschild Patrice Mugny. Bei den kleinsten Fraktionen erreichten sowohl CVP als auch PdA mit 7,9% resp. 7,3% der Wählerstimmen das Quorum von 7% nur knapp. Die Frauen konnten ihren Anteil auf 36,3% (29 Sitze) steigern.

Kommunale Wahlen Genf 2003
Dossier: Elections communales 2003

Nachdem bereits im Stadtparlament die rot-grüne Mehrheit bestätigt worden war, konnte die Linke auch die fünf Wochen später stattfindende Wahl der Stadtregierung – überaus deutlich – für sich entscheiden. Nur sieben Kandidatinnen und Kandidaten standen für die fünf Sitze zur Wahl; vier von den links-grünen Parteien und drei von den Bürgerlichen. Zu ersetzen war die zurücktretende Jacqueline Burnand (sp). Gewählt wurden der Bisherige André Hediger (pda), der Sozialdemokrat Manuel Tornare, sowie Christian Ferrazino von Solidarités und Alain Vaissade von den Grünen. Auf dem fünften Rang klassierte sich Pierre Muller von den Liberalen, der zusammen mit zwei weiteren bürgerlichen Kandidaten (Marie-Therese Engelberts, cvp, und Bernard Lescaze, fdp) angetreten war. Somit mussten die Bürgerlichen sogar einen ihrer bisherigen zwei Sitze an ihre Gegner abgeben. Die Genfer Regierung ist damit ein reines Männergremium.

Kommunale Wahlen Genf 1999
Dossier: Elections communales 1999

1995 hatte die Linke gemeinsam mit den Grünen erstmals seit dem zweiten Weltkrieg die Mehrheit im Genfer Stadtparlament erobert. Dabei herrschte innerhalb der Linken zwischen Linker Allianz (PdA, Solidarités und Unabhängige Sozialisten) und SP heftige Konkurrenz. Vor den diesjährigen Wahlen wankte zudem der Zusammenhalt innerhalb der Linken Allianz selbst, weil Solidarités und die Unabhängigen Sozialisten die nochmalige Kandidatur des PdA-Stadtrates André Hediger, der in ihren Augen allzu kompromissfreudig politisiere, nicht akzeptieren wollten. Ob der linken Zerstrittenheit witterte die bürgerliche Entente eine Chance, bei den Gemeindewahlen im März einen Mehrheitswechsel herbeizuführen. Der Wahlkampf wurde wie üblich als flau bezeichnet. Das geringe Interesse der Öffentlichkeit an den Gemeindewahlen wurde von Wahlbeobachtern auf eine gewisse Unmut darüber zurückgeführt, dass die Gemeinden im Kanton Genf zu wenig Kompetenzen hätten. Am Wahlsonntag wurde die Linke Allianz für ihren inneren Zwist nicht bestraft. PdA und Solidarités legten auf Kosten der SP insgesamt um vier Sitze zu. Auch die Grünen konnten der SP zwei Sitze wegschnappen. Die rot-grüne Mehrheit blieb mit 44 Sitzen gegenüber den 36 Sitzen der Entente gewahrt. Innerhalb dieser Mehrheit verschob sich das Gewicht jedoch stärker nach links. Die PdA sitzt neu mit 10 Mandaten im Stadtrat, zwölf fallen auf Solidarités und die unabhängigen Sozialisten und 10 auf die Grünen. Die SP verlor sechs Sitze und kam neu auf zwölf Mandate. Im bürgerlichen Lager blieben die Liberalen unverändert bei 19 Sitzen; sie blieben damit stärkste Partei. Die CVP (9) nahm der FDP (8) ein Mandat ab.

Kommunale Wahlen Genf 1999
Dossier: Elections communales 1999

Die Gesamterneuerungswahl in die Genfer Stadtexekutive (Conseil administratif), welche einen Monat nach der Parlamentswahl erfolgte, verlief spannend, weil entweder eine Frauenmehrheit oder eine links-grüne Mehrheit im Stadtrat erwartet wurde. Das Volk entschied sich für eine links-grüne Mehrheit. Alle vier wieder antretenden Bisherigen schafften die Wiederwahl. Zum Nachfolger für den zurückgetretenen René Emmenegger (cvp) wurde der Grüne Alain Vaissade mit einem hauchdünnen Vorsprung vor Hélène Braun-Roth (cvp) gewählt. Damit wurde die seit 1970 gültige parteipolitische Zusammensetzung (je ein FDP, LP, CVP, SP, PdA) der Exekutive zulasten der Bürgerlichen erstmals verändert. Zwei Aussenseiterkandidaten blieben chancenlos und Francesco Torti von der Vigilance hatte seine Kandidatur vorzeitig zurückgezogen. Das beste Resultat erzielte André Hediger (PdA), der turnusgemäss auch die Stadtpräsidentschaft übernahm. Nur 22,5% der Stimmberechtigten — die bisher tiefste Beteiligung bei Gesamterneuerungswahlen — gingen an die Urne.

Wahlen Stadtregierung Genf 1991
Dossier: Elections communales 1991

Nachdem die rechtsnationalistische Vigilance schon im Jahre 1990 bei den Genfer Grossratswahlen mehr als die Hälfte ihrer Sitze und Wähleranteile eingebüsst hatte, fiel sie nun bei den Stadtparlamentswahlen unter das Quorum von 7% und verlor demzufolge sämtliche neun Sitze. Auf gesamter Kantonsebene gelang es den Vigilants nur in Lancy, zwei Gemeindeparlamentssitze zu verteidigen. Geschwächt wurde die Vigilance unter anderem durch die 1990 erfolgte Abwanderung eines Teils ihrer Vertreter in das "Mouvement patriotique genevois (MPG)". Von den neun Verlusten konnten sowohl das bürgerliche als auch das rot-grüne Lager profitieren, welche neu beide 40 Sitze im 80köpfigen Stadtparlament einnehmen. Im bürgerlichen Bündnis der "Entente" (FDP, LP, CVP) gewannen die Liberalen vier zusätzliche Mandate, während die CVP einen Sitz zulegte, die FDP dagegen einen verlor. Im rot-grünen Lager, der "Alternative 91" (SP, PdA, GP), profitierte vor allem die PdA, welche vier Sitze zulegen konnte und in der Wählergunst die FDP vom dritten Rang (hinter LP und SP) verdrängte. Die Sozialdemokraten gewannen ein Mandat während die Grünen stagnierten. Nach den internen Querelen bei den Vigilants hatte auch die AP einige Überläufer gewinnen können und kandidierte unter der Listenbezeichnung "Union pour la défense des libertés (UDL)", erzielte mit 1,7% Wähleranteil jedoch ein unerwartet schlechtes Resultat. In der Patt-Situation von 40 bürgerlichen gegen 40 rot-grüne Vertreter im Stadtparlament dürfte der christlichsoziale Flügel der CVP in bestimmten Sachvorlagen jeweils das Zünglein an der Waage spielen. Die Stimmbeteiligung erreichte mit 24,5% ein neues Rekordtief. Die Frauenvertretung stieg weiter auf 28 an und übertrifft mit 35% jene der in dieser Beziehung bisher führenden Stadt Zürich (32%).

Wahlen Stadtparlament Genf 1991
Dossier: Elections communales 1991

Bei den Gemeindewahlen in der Stadt Genf eroberte die Grüne Partei 11 von 80 Sitzen und zog damit gleich als drittgrösste Fraktion neu ins Parlament ein. Der grüne Schub führte zu Einbussen aller übrigen Parteien. Markant fielen die Vigilants zurück, die in den Grossratswahlen vom Herbst 1985 noch einen erdrutschartigen Sieg verbucht hatten. Zwar waren sie in einigen Agglomerationsgemeinden noch im Aufwind, doch in der Hauptstadt scheinen sie ihren Zenit überschritten zu haben. Ebenfalls grössere Verluste verzeichnete die SP, während die PdA überraschend gut abschnitt. Die Frauen erreichten mit 19 Gewählten einen Anteil von 23,8 Prozent der Abgeordneten.

Nach ihrem Wahlsieg rechneten sich die Grünen gute Chancen aus, einen Sitz in der Stadtgenfer Exekutivbehörde zu erobern. Dabei genoss ihr Kandidat die Unterstützung der bürgerlichen Entente genevoise, die - nach dem Verzicht der Liberalen auf eine Kampfkandidatur um den PdA-Sitz - auf diesem Wege die Kommunisten aus der Regierung zu verdrängen hoffte. Gefährdet war auch die Vertretung der Sozialisten, da der bisherige SP-Administrativrat Claude Ketterer aus der Partei ausgetreten war, nachdem ihn diese nicht mehr portieren wollte, und seinen Sitz mit einer eigenen Liste verteidigte. Obwohl die Wahlen schliesslich nichts an der parteipolitischen Zusammensetzung der Genfer Regierung änderten, brachten sie mehrere Uberraschungen: Der PdA gelang es auch nach dem Rücktritt des populären Roger Daflon, ihren Sitz zu verteidigen, und der Kandidat der Grünen blieb auf der Strecke. Nicht mehr gewählt wurde der amtierende Stadtpräsident Ketterer (ex-sp); dagegen zog - nach der Freisinnigen Lise Girardin - mit der Sozialistin Jacqueline Burnand zum zweiten Mal eine Frau in die Stadtgenfer Exekutive ein.

Kommunale Wahlen Genf 1987
Dossier: Elections communales 1987

A Genève, les tendances xénophobes consécutives à la persistance de la pénurie du logement se sont sensiblement renforcées. Le mouvement nationaliste Vigilance a su tirer parti de cette insatisfaction pour augmenter notablement sa part des suffrages. Les écologistes ont aussi connu un certain essor; ils ont toutefois manqué de peu le quorum indispensable à l'obtention d'un siège. Le très fort recul du PdT a surpris puisque ce parti, traditionnellement bien implanté à Genève, a passé en huit ans de la position de tête à un rang beaucoup plus modeste sur le plan communal. D'autres déplacements de voix ont touché les libéraux et les socialistes. Les formations genevoises prépondérantes ont subi des pertes. Les nouveaux rapports de force dans la cité du bout du lac présageaient un glissement à droite lors des prochaines élections à l'exécutif de la ville de Genève. La tentative de Vigilance, visant à faire valoir son influence accrue au sein de ce collège également, a sans conteste échoué. En outre, une autre candidature, indépendante et féminine, contre la xénophobie, a encore eu moins de succès. Les anciens conseillers administratifs qui se représentaient ainsi que le successeur officiel d'un libéral ont été élus avec des écarts de voix minimes. Le radical G.-O. Segond a été proclamé maire de la ville de Genève pour un an.

Elections communales Genève 1983
Dossier: Elections communales 1983