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Den spektakulärsten Vormarsch - allerdings bei einer Beteiligung von nur wenig mehr als einem Drittel der Wähler - vermochten die bürgerlichen Parteien im Kanton Waadt zu erzielen. Der «Rechtsrutsch» bei den Parlamentswahlen ging namentlich auf das Konto der Liberalen, die einen für dortige Verhältnisse enormen Sprung nach vorn gemacht haben und nun nicht mehr weit von der Stärke der zweitgrössten Fraktion, den Sozialdemokraten, entfernt sind. Im Zuge des Aufwindes für den Bürgerblock vermochten auch die Freisinnigen und die SVP je ein zusätzliches Mandat zu erobern, während die aus der Entente vaudoise ausgescherten Christlichdemokraten auf die kleinste Abordnung seit ihrer Gründung im Waadtland zusammenschrumpften. Obschon sich die Liberalen nicht zuletzt durch ihren Kampf gegen die Aktivitäten des Umweltschützers Franz Weber profiliert hatten, erzielten ebenfalls die «Grünen» Gewinne und erreichten erstmals Fraktionsstärke. Sozusagen eine Wende bedeutete der Wahlausgang für die Sozialdemokraten. Statt ihren stetigen Vormarsch fortsetzen und sich als stärkste Partei etablieren zu können, fielen sie seit dem Zweiten Weltkrieg erstmals wieder und zwar deutlich zurück. Weniger überraschend kam der weitere Rückgang der Kommunisten. Dass sie fortan nur noch zu den Randgruppen zählen, wurde in der bürgerlichen Presse nicht zuletzt mit den Ereignissen in Polen in Verbindung gebracht. Das hervortretende Merkmal bei der Neuwahl der siebenköpfigen Exekutive war demgegenüber die Stabilität. Einmal mehr erwies sich das Bündnis der Bürgerlichen als stark genug, um das Ziel bereits im ersten Wahlgang zu erreichen. Wie erwartet, wurden allerdings die beiden bestplatzierten Sozialdemokraten in stiller Wahl dann ebenfalls bestätigt.

Kantonale Wahlen Waadt 1982
Dossier: Elections cantonales 1982
Dossier: Elections cantonales - Vaud

Mit dem Übergang von der flexiblen Mitgliederzahl zum festen «Rat der Achtzig» waren im Kanton Glarus drei Vertreter mehr ins Rathaus abzuordnen als vier Jahre zuvor, was allerdings weder ein eigentliches Wahlfieber noch grundlegende Veränderungen der politischen Machtstruktur verursachte. FDP und SVP vermochten ihre Stellung als stärkste Gruppen noch auszubauen. Die Mandatszahl der Christlichdemokraten blieb unverändert; die SP verlor einen Sitz. Noch einen niedrigeren Wellengang als die Parlamentswahlen zeitigte die Bestellung der Exekutive, konnten sich doch die sieben amtierenden Regierungsräte unbestritten zur Wiederwahl stellen.

Kantonale Wahlen Glarus 1982
Dossier: Elections cantonales 1982
Dossier: Elections cantonales - Glaris

Les élections cantonales de 1981, au milieu de la législature fédérale de 1979-1983, n'ont pas apporté de tendances aussi marquées que celles des années précédentes. Mis à part le renouvellement des autorités dans quelques cantons de montagne avec leurs conditions particulières, l'essentiel des scrutins ont eu lieu en Suisse romande. Dans ces élections, les libéraux ont continué à accentuer leurs positions ce qui, cependant, n'a pas suffi partout à accroître la force du camp bourgeois. A gauche, le déclin du PdT s'est poursuivi. Toutefois, le PS a enregistré des gains importants dans plusieurs cantons ce qui a valu à la gauche - en partie grâce au succès modeste remporté par le petit Parti socialiste ouvrier (ancienne Ligue marxiste révolutionnaire) - de se maintenir, voire même de progresser. Dans le peu de scrutins à la proportionnelle qui se sont déroulés en Suisse alémanique, le centre de gravité s'est déplacé encore davantage vers la droite. Quant à la participation électorale, elle a à nouveau diminué de quelques pour-cent.

Tendances élections cantonales 1981
Dossier: Elections cantonales 1981

Le changement le plus important a été enregistré dans le canton de Fribourg. Le PS a fait une remarquable percée au détriment avant tout des démocrates-chrétiens. Après avoir perdu la majorité au Grand Conseil en 1966 déjà, le PDC a vu sa base électorale se rétrécir progressivement depuis lors. Néanmoins, il a réussi à conserver jusqu'aux dernières élections de novembre 1981 la majorité à l'exécutif. A la suite de la démission des deux magistrats démo-chrétiens, P. Dreyer et A. Waeber, une formule magique plus équilibrée s'est également imposée au sein du Conseil d'Etat fribourgeois où siègent désormais, à côté de trois PDC, deux socialistes, F. Morelet D. Clerc. Dans la mesure où le PRD a réussi à conserver ses deux sièges, le représentant UDC, J. Cottet, a été contraint de passer la main. Un remaniement semblable dans le rapport des forces s'est opéré à l'occasion du renouvellement du parlement. Le PDC a reculé et le PS progressé. Ce dernier est même devenu la seconde force politique du canton, devançant ainsi les radicaux.

Elections cantonales Fribourg 1981
Dossier: Elections cantonales - Fribourg
Dossier: Elections cantonales 1981

Si le PS a progressé en sièges à Genève lors de l'élection du parlement cantonal en octobre, en revanche, l'ensemble de la gauche n'a visiblement pas bénéficié de l'«effet Mitterrand». Les communistes ont subi une nette défaite, ramenant leur nombre de sièges de 16 à 10. L'entente genevoise, qui regroupe les partis bourgeois, est sortie renforcée de ces élections. Les radicaux ont, pour la première fois depuis longtemps, enregistré des gains. Les véritables vainqueurs ont toutefois été les libéraux qui ont gagné encore cinq sièges. Pour leur part, les démocrates-chrétiens ont continué de décliner. Lors du renouvellement du Conseil d'Etat, en novembre, le PS a tenté avec succès de reconquérir le siège perdu en décembre 1980, à la suite de l'élection du candidat hors parti A. Werner, professeur de médecine. Soutenu par les partis bourgeois, celui-ci a été une nouvelle fois opposé au socialiste Ch. Grobet et le duel a tourné cette fois à l'avantage du second.

Elections cantonales Genève 1981
Dossier: Elections cantonales - Genève
Dossier: Elections cantonales 1981

La composition politique du parlement cantonal des Grisons s'est révélée assez stable. Les députés sont élus en partie dans les assemblées des cercles, en partie au scrutin secret selon le système majoritaire. La forte position de l'UDC s'est quelque peu effritée, tandis que le PS a gagné un siège. Pourtant, le système majoritaire a empêché des changements plus importants.

Elections cantonales Grisons 1981
Dossier: Elections cantonales - Grisons
Dossier: Elections cantonales 1981

A Soleure, le PDC a légèrement renforcé ses positions, et ce au détriment du PS. Le seul mandat détenu jusqu'ici par les Organisations progressistes a été conquis de justesse, après vérification, par le PRD. L'attribution de deux mandats a suscité des controverses; d'une part entre le PS et le PDC, d'autre part entre le PS et le PRD. Les socialistes ont, en définitive, été contraints de céder ces deux sièges, l'un en raison du résultat consécutif à un second comptage des voix et l'autre par tirage au sort. Le recours de droit public déposé par les socialistes auprès du Tribunal fédéral contre ce procédé a été refusé au printemps 1982. Quant au renouvellement du gouvernement, la coalition figurant sur une liste commune a été reconduite (le radical F. Schneider a succédé au démissionnaire H. Erzer).

Elections cantonales Soleure 1981
Dossier: Elections cantonales - Soleure
Dossier: Elections cantonales 1981

Pour la première fois, une enquête privée a tenté d'établir l'appartenance à un parti des parlementaires d'Appenzell Rhodes-Extérieures. Elle a confirmé le fait que la grande majorité d'entre eux sont radicaux. En effet, lors des élections législatives, le choix se porte davantage sur des personnalités représentant des localités que sur celles défendant les intérêts des partis. Etant donné que la plupart des communes n'ont droit qu'à un ou deux représentants, une élection au système proportionnel n'aurait donc de sens que dans quelques communes seulement. La réduction du nombre des mandats parlementaires de 61 à 58 n'a pas fait perdre de siège au PS ni au PDC qui sont des partis minoritaires.

La Landsgemeinde a élu H. Höhener, âgé de 34 ans seulement, comme nouveau membre du gouvernement. R. Reutlinger a été désigné comme Landammann.

Elections cantonales Appenzell Rhodes-Extérieures 1981
Dossier: Elections cantonales - Appenzell Rhodes-Extérieures
Dossier: Elections cantonales 1981

Dans le canton de Neuchâtel, le PS a également obtenu un succès lors de l'élection du Grand Conseil. Il a bénéficié, entre autres, d'une participation électorale à nouveau élevée et consolidé ainsi sa position de premier groupe parlementaire. Le PRD a malgré tout bien résisté à cette percée du PS et pu se maintenir, tandis que la liste commune aux libéraux et aux progressistes nationaux n'a pas réussi à comptabiliser autant de points que les deux formations avaient obtenus séparément quatre années auparavant. Quant aux communistes, ils ont subi à nouveau un revers en perdant deux sièges. Lors du premier tour de l'élection du gouvernement, duquel s'étaient retirés F. Jeanneret (pl) et R.Schläppy (ps), seul un candidat a obtenu la majorité absolue. Grâce au retrait du candidat popiste (PdT), le Conseil d'Etat a été renouvelé tacitement, sans qu'il y ait eu de modification dans sa composition. Comme les nouveaux élus, le libéral J. Cavadini et le socialiste R. Felber, appartenaient tous deux au Conseil national, un problème d'incompatibilité des mandats s'est posé. La loi neuchâteloise prescrit en effet qu'un seul membre du Conseil d'Etat a le droit de siéger aux Chambres fédérales. C'est R. Felber qui a cédé sa place en raison du meilleur score obtenu lors du premier tour par J. Cavadini.

Elections cantonales Neuchâtel 1981
Dossier: Elections cantonales - Neuchâtel
Dossier: Elections cantonales 1981

Dans le canton de Vaud, les libéraux ont lancé une offensive pour l'obtention d'un second siège au Conseil d'Etat à l'occasion des élections complémentaires consécutives aux retraits anticipés de E. Debétaz (prd) et A. Gavillet (ps). Après un premier tour qui avait placé le radical R. Liron en troisième position derrière le socialiste D. Schmutz et le candidat libéral J.-F. Baehler, sans que personne atteigne pour autant la majorité absolue, l'ancienne formule de la composition gouvernementale a, toutefois, été confirmée. Inquiets de l'offensive politique des libéraux, les radicaux ont, en effet, retiré leur candidat pour le remplacer, au second tour, par la forte personnalité que représente le conseiller national J.-P. Delamuraz, syndic de Lausanne. Ils ont ainsi conservé leur troisième siège.

Elections complémentaires Conseil d'Etat vaudois 1981
Dossier: Elections cantonales 1981
Dossier: Elections cantonales - Vaud

Dans le canton d'Argovie, le PDC a progressé en pourcentage, redevenant ainsi électoralement le parti le plus fort. Comme dans les cantons qui avaient renouvelé ces dernières années leurs autorités, l'Alliance des indépendants a à nouveau reculé. Cependant, les grands perdants ont été les partis qui luttent contre l'emprise étrangère. Ils n'ont pu maintenir aucun de leurs dix sièges et ont été contraints de quitter la scène politique. Alors que tous les partis bourgeois ont profité de cet effondrement, le PS a pour sa part stagné. Le renouvellement de l'exécutif ne correspondait qu'à une élection fictive, puisque seuls les cinq conseillers d'Etat sortants se représentaient. Celle-ci a été à l'origine d'une baisse de la participation et d'un grand nombre de bulletins nuls (la participation n'a été que de 17,3%).

Elections cantonales Argovie 1981
Dossier: Elections cantonales - Argovie
Dossier: Elections cantonales 1981

En Valais, les élections au Grand Conseil ont révélé une situation relativement stable. Elles ont été marquées principalement par l'avance des radicaux dans le Bas-Valais et celle du nouveau PRD, fondé en 1979, dans le Haut-Valais. Les perdants ont été les démocrates-chrétiens, constituant l'ancien parti dominant, et les formations de gauche. Le renforcement des radicaux et l'avènement d'une opposition haut-valaisanne au sein du PDC sont les signes d'une lente ouverture vers un pluralisme politique plus affirmé. Pour ce qui est de l'élection du gouvernement, les retombées de l'affaire Savro étaient encore perceptibles. En effet, le député du Haut-Valais P. Schmidhalter, porte-parole de l'opposition au sein du PDC, s'est présenté contre le démocrate-chrétien F. Steiner, chef du Département des travaux publics, qui était mêlé à l'affaire Savro. F. Steiner, originaire lui-aussi du Haut-Valais, a été en définitive réélu grâce au soutien du Bas-Valais. L'opposition combinée de la majorité du Haut-Valais et la minorité du Valais romand n'est donc pas parvenue à modifier la composition du Conseil d'Etat, tant et si bien que la revendication en faveur d'un nouveau mode d'élection du gouvernement est toujours d'actualité.

Elections cantonales Valais 1981
Dossier: Elections cantonales - Valais
Dossier: Elections cantonales 1981

Lors des élections complémentaires au gouvernement de différents cantons, le seul changement de composition politique a eu lieu à Genève. Là, le conseiller d'Etat et conseiller aux Etats socialiste Willy Donzé, chef du Département de la prévoyance sociale et de la santé publique, quittait, pour raisons de santé, le gouvernement une année avant les élections générales. Pour lui succéder, le PS a choisi comme candidat C. Grobet, dont le profil d'intellectuel de gauche est bien marqué. Cela suscita une contre-candidature des milieux bourgeois. A. Werner, professeur de médecine, n'appartient à aucun parti et n'a été officiellement soutenu par aucun d'eux. Cependant, un comité de personnalités bourgeoises connues a mené une coûteuse campagne en sa faveur. Grobet qui avait aussi l'appui du PdT fut battu de façon surprenante, tandis qu'un candidat de Vigilance est arrivé très loin derrière. Le PS, et par conséquent toute la gauche, ne dispose plus maintenant à Genève que d'un seul représentant au gouvernement, malgré son nombre relativement élevé d'électeurs, cas analogue à celui existant à Zurich depuis longtemps. La même situation de départ s'est présentée à Neuchâtel où le socialiste de droite R. Meylan, lui aussi conseiller aux Etats, a quitté le gouvernement. Le PS a également choisi comme candidat un représentant de son aile gauche, P. Dubois, mais cette candidature n'a été contestée par personne. Les sièges radicaux à repourvoir dans les gouvernements bernois et uranais n'ont pas été menacés.

Elections cantonales complémentaires Genève et Neuchâtel 1980
Dossier: Elections cantonales - Genève
Dossier: Elections cantonales - Neuchâtel
Dossier: Elections cantonales 1980

A Schaffhouse, la réélection des cinq membres du gouvernement n'a pas posé de problèmes; en effet, les candidats du POCH et de la LMR ne représentaient pas une concurrence sérieuse. Les résultats obtenus par les conseillers d'Etat sortants furent même sensiblement meilleurs qu'en 1976.

Le renouvellement du Grand Conseil qui, là également, a eu lieu un peu plus tard, n'a pas apporté de grands changements, mais toujours est-il qu'on discerne une tendance d'abandon des petits partis au profit des grands. Une campagne des organisations de protection de l'environnement soutenait 15 candidats de différents partis et 10 d'entre eux furent élus.

Elections cantonales à Schaffhouse 1980
Dossier: Elections cantonales - Schaffhouse
Dossier: Elections cantonales 1980

Bei der äussersten Linken konnte man trotz engerer Zusammenarbeit der Hauptgruppen gewisse Verlagerungen feststellen, die von weltpolitischen Ereignissen wie auch von der Jugendrebellion mitbedingt waren. Im Aufwind befanden sich weiterhin die Progressiven Organisationen (POCH), die sich infolge des Gewinns neuer parlamentarischer Positionen (1979 in Zürich, Basel-Land, Luzern und Tessin; Gemeindewahlresultaten in Luzern) zur Verstärkung ihrer Zentralorgane veranlasst sahen.
Einer ihrer führenden Vertreter (Daniel Vischer; ZH, poch) betonte in einem Rückblick auf die Entwicklung der Partei ein Abrücken vom zeitweiligen kommunistischen Selbstverständnis und eine gewisse Rückkehr zu 1968. Von Selbstbewusstsein zeugte der Vorwurf an die Bundesgenossen, sie hätten durch mangelhaften Einsatz das Misslingen der Initiative für Arbeitsplatzsicherung verschuldet.

Die äusserste Linke 1980

A Schwyz et Uri, le PDC détient traditionnellement la majorité absolue parmi les autorités cantonales. Des sept conseillers d'Etat schwyzois, trois ne se représentaient plus, mais les trois grands partis tombèrent d'accord, comme d'habitude, pour présenter une liste commune ne modifiant pas la répartition des sièges. Cette manière de procéder amena un groupe d'opposants à lancer une initiative pour l'introduction de la proportionnelle dans l'élection du gouvernement. En revanche, une liste «sauvage» comprenant des noms connus, mais dont ceux qui les portaient se distancèrent de cette «candidature», n'a pas obtenu de succès. Les élections parlementaires ont légèrement renforcé le parti dominant, tandis que, cette fois, le PS a surtout reculé.

Les sept membres de l'exécutif uranais se représentaient tous sur une liste commune, qui l'emporta faute de concurrence. L'élection du législatif n'a donné lieu qu'à des changements mineurs en ce qui concerne les partis politiques.

Elections cantonales Schwyz et Uri 1980
Dossier: Elections cantonales - Schwytz
Dossier: Elections cantonales - Uri
Dossier: Elections cantonales 1980

En Thurgovie l'élection du gouvernement fut disputée et elle donna lieu à des tensions au sein du PS. Pour succéder à A. Abegg, son représentant, le parti désigna son président U. Schmidli. Cette solution de compromis déplut aux milieux syndicaux, qui présentèrent un contre-candidat. Bien que celui-ci se pliât à la discipline du parti, le PRD refusa de soutenir Schmidli, ce qui ne l'empêcha pourtant pas d'être élu.

Les élections parlementaires, qui eurent lieu trois semaines plus tard, reflétèrent la tendance à la polarisation puisque tant les radicaux que les socialistes ont légèrement amélioré leurs positions face aux deux groupes les plus forts du canton, à savoir les paysans et les démocrates-chrétiens.

Elections cantonales en Thurgovie 1980
Dossier: Elections cantonales - Thurgovie
Dossier: Elections cantonales 1980

Les élections les plus disputées ont eu lieu à Bâle-Ville où le renouvellement du mandat des sept membres du gouvernement fut le centre d'intérêt. Les socialistes ont tenté de reconquérir leur troisième siège perdu en 1976 à cause du dissident H. Schmid. Lors du choix des candidats, c'est F. Mattmüller de l'aile gauche du parti qui s'imposa. En 1972, il avait déjà été un candidat dissident. Outre le PS, l'Alliance des indépendants et les partis de l'extrême-gauche ont cherché à modifier la répartition des sièges. Tandis que les socialistes refusèrent de présenter, conjointement avec le POCH, une liste de quatre candidats, les radicaux, les libéraux et les démocrates-chrétiens se sont unis pour défendre la majorité bourgeoise, au sein de laquelle le représentant du Parti libéral L. Burckhardt se fit remplacer. Au premier tour, quatre anciens seulement ont atteint la majorité absolue. Au second tour, furent élus Schmid, soutenu par un comité largement bourgeois, et le socialiste K. Schnyder, chef du département de police, attaqué dans son propre parti pour sa ligne plutôt dure; il en fut de même pour le nouveau candidat libéral P. Facklam, qui distança nettement le troisième candidat socialiste. Ainsi la composition politique de l'exécutif n'a pas été modifiée.

Pour le renouvellement du Grand Conseil, qui eut lieu en même temps, les changements les plus marquants furent, d'une part les gains du POCH, qui est devenu le plus important des partis non gouvernementaux, et d'autre part la défaite de l'Action nationale, qui a perdu plus de la moitié de ses sièges. Dans le camp bourgeois, le PRD a reconquis la première place qu'il avait perdue en 1968 et a ainsi relégué les libéraux au second rang. Les socialistes ont perdu une partie de leur avance de 1976.

Elections cantonales à Bâle-Ville 1980
Dossier: Elections cantonales - Bâle-Ville
Dossier: Elections cantonales 1980

Un renforcement des grands partis est apparu à St-Gall où il est de tradition d'élire d'abord le parlement puis le gouvernement. Le PDC qui avait obtenu en 1972 la majorité absolue au Grand Conseil est parvenu à la renforcer et atteindre quasiment le seuil de 50 pourcent avec le nombre de ses électeurs.

Pour l'exécutif, les trois partis gouvernementaux avaient établi une liste commune, qui confirmait les rapports de force existants; ainsi, les démocrates-chrétiens continuaient à reconnaître la parité avec les radicaux. Pour remplacer G. Hoby, démissionnaire, ils ont désigné K. Mätzler comme candidat. Aucune candidature supplémentaire n'a empêché le succès de l'entente.

Elections cantonales à St-Gall en 1980
Dossier: Elections cantonales - Saint-Gall
Dossier: Elections cantonales 1980

Nachdem in der Westschweiz Umweltschutzparteien bereits einige lokale Wahlerfolge verzeichnet hatten, erfolgte nun auch in der deutschen Schweiz der Versuch, sogenannte «Grüne Parteien» ins Leben zu rufen. Da sich aber die traditionellen Umweltschutzorganisationen mehr davon versprechen, ihren Einfluss bei der Kandidatenauswahl der etablierten Parteien geltend zu machen, sehen die Entwicklungschancen dieser Parteineulinge nicht allzu gut aus. Erschwerend für ihren Erfolg dürfte sich zudem auch auswirken, dass unser politisches System den Umweltschutzverbänden breite ausserparlamentarische Mitbestimmungsmöglichkeiten (Initiative, Referendum, Vernehmlassungsverfahren, Expertenkommissionen) einräumt und sie deshalb nicht unbedingt auf die Vertretung ihrer Anliegen durch spezielle politische Parteien angewiesen sind.

Entwicklung Grüner Parteien

Aux Grisons les cinq sièges du Conseil d'Etat ont été renouvelés en avril. Il a fallu deux tours de scrutin pour élire les cinq candidats bourgeois opposés à un candidat socialiste (le PS cherchait à récupérer son mandat perdu en 1971). C'est sans surprise que les partis bourgeois l'ont finalement emporté.

Elections cantonales du Conseil d'Etat des Grisons 1978
Dossier: Elections cantonales - Grisons

Dass der Umweltschutz eine grenzüberschreitende Aufgabe darstellt, ist eine unbestrittene Tatsache. Relativ ungewohnt ist aber die Rolle, die nach Ansicht des Direktors des Eidg. Amtes für Umweltschutz, R. Pedroli, der Schweiz im Rahmen dieses internationalen Tätigkeitsbereichs zukommen soll. Entsprechend ihrer wirtschaftlichen Spitzenposition müsse sie auch bei der Vertretung der Belange des Umweltschutzes eine führende Stelle einnehmen. Als eines der reichsten Länder dürfe sie sich nicht mit einer Anpassung an den Standard von ökonomisch bedeutend weniger leistungsfähigen Nationen begnügen. Allerdings zeigen die politischen Realitäten der Schweiz immer wieder – und dies nicht nur beim Umweltschutz –, dass sich derartige lobenswerte Vorsätze nur äusserst mühsam in die Wirklichkeit umsetzen lassen. Die Arbeiten an der zweiten Auflage eines Umweltschutzgesetzes nahmen ihren Fortgang, jedoch keineswegs in dem von Umweltschutzkreisen geforderten Tempo. Entgegen ersten Verlautbarungen gelang es nicht mehr, den Entwurf noch vor Jahresende in die Vernehmlassung zu geben, woran nach Ansicht der Behörden die juristische Kompliziertheit der Materie schuld war. Demgegenüber übte die Schweizerische Gesellschaft für Umweltschutz (SGU) heftige Kritik am zuständigen Departementsvorsteher Bundesrat Hürlimann: seit seinem Amtsantritt seien kaum Fortschritte erzielt worden und der Umweltschutz sei zu einer Nebenaufgabe der Politik herabgesunken. Der Eindruck, dass sich die traditionellen politischen Parteien zuwenig für die Erhaltung der Umwelt einsetzten, führte in der Westschweiz zur Teilnahme von spezifischen Umweltschutzparteien an den Wahlen.

Bundesgesetz über den Umweltschutz (USG; BRG 79.072)
Dossier: Loi sur la protection de l'environnement

Le poids des facteurs régionaux rend difficile une analyse d'ensemble des élections cantonales. On constate cependant une confirmation partielle des deux tendances apparues lors des élections fédérales de l'année précédente, le renforcement des partis gouvernementaux et la progression de la gauche. Relevons en outre que l'affaiblissement conséquent des petits partis a principalement concerné les groupements de la nouvelle droite.

Lors des élections cantonales, on constate une confirmation partielle des résultats des élections fédérales 1975

Stabilité des districts ruraux et non-conformisme du chef-lieu caractérisent les élections au Grand Conseil de Schaffhouse. C'est en effet les votes urbains qui ont permis, à fin octobre, à trois petits partis de gagner des sièges, à savoir l'Adl, les évangéliques et les POCH, dont c'était la première entrée en lice. Parallèlement, deux autres petites formations, l'AN et les libéraux-socialistes, perdent leur représentation cantonale. Le PS voit sa députation diminuer de deux unités.

Election du parlement cantonal Schaffhouse 1976
Dossier: Elections cantonales - Schaffhouse

Les élections à l'exécutif acquièrent, selon les situations régionales, des significations différentes. De la simple confirmation à l'épreuve de force, en passant par les rivalités personnelles, le registre des possibilités est étendu.

Plusieurs cantons n'ont fait que reconduire leur gouvernement; ce fut le cas de Saint-Gall et de la Thurgovie. Il en alla de même, malgré la présence de candidats d'opposition, d'ailleurs peu soutenus, dans les cantons de Schaffhouse et de Schwyz.

Elections cantonales à l'exécutif Saint-Gall Thurgovie Schaffhouse Schwyz 1976
Dossier: Elections cantonales - Saint-Gall
Dossier: Elections cantonales - Schwytz
Dossier: Elections cantonales - Thurgovie
Dossier: Elections cantonales - Schaffhouse