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Zusammenfassung
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Volksinitiative «Für die Zukunft unserer Natur und Landschaft (Biodiversitätsinitiative)» (BRG 22.025)


Die im März 2019 von Pro Natura, Birdlife und anderen (Naturschutz-)Organisationen lancierte Volksinitiative beabsichtigte, den generellen Schutz der Artenvielfalt in der Verfassung zu verankern. Dazu forderte das Initiativkomitee mehr Flächen und mehr finanzielle Mittel für den Erhalt und die Förderung der Biodiversität. Dem Bundesrat ging die Initiative zu weit, schlug aber in einem indirekten Gegenvorschlag die Anpassung des Natur- und Heimatschutzgesetzes (NHG) vor. Mit dieser Anpassung wollte der Bundesrat festlegen, dass 17 Prozent der Schweizer Fläche zu Kerngebieten für die Biodiversität werden, zudem sollte der Begriff der ökologischen Infrastruktur in das NHG eingeführt werden. Weiter sah der Bundesrat vor, die nationalen Schutzgebiete wo nötig zu sanieren. Darüber hinaus sollte die Biodiversität allen voran im Siedlungsgebiet und in den Agglomerationsräumen gefördert werden. Während der Nationalrat sich auf den indirekten Gegenvorschlag einlassen wollte, vertrat der Ständerat wiederholt die Ansicht, dass die derzeitigen rechtlichen Grundlagen genügten und dementsprechend Initiative und Gegenvorschlag nicht notwendig seien. In der Folge trat das Parlament nicht auf den Gegenvorschlag ein und beantragte der Stimmbevölkerung die Ablehnung der Initiative. Im September 2024 gelangt die Initiative zur Abstimmung.

Chronologie
Einreichung der Initiative
Zustandekommen
Botschaft des Bundesrates zur Initiative sowie zum indirekten Gegenvorschlag
Beratungen im Nationalrat
Ständerat stellt sich gegen den Gegenvorschlag
Nationalrat hält an Gegenvorschlag fest
Ständerat bodigt den Gegenvorschlag; auch die Initiative erhält keine Zustimmung
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Résumé
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Initiative populaire «Pour l’avenir de notre nature et de notre paysage (Initiative biodiversité)» (MCF 22.025)
(Traduction: Chloé Magnin)

L'initiative populaire lancée en mars 2019 par Pro Natura, Birdlife et d'autres organisations (de protection de la nature) a pour but d'ancrer la protection générale de la biodiversité dans la Constitution. Pour ce faire, le comité d'initiative a demandé davantage de surfaces et de moyens financiers pour la préservation et la promotion de la biodiversité. Pour le Conseil fédéral, l'initiative allait trop loin, mais il a proposé dans un contre-projet indirect d'adapter la loi sur la protection de la nature et du paysage (LPN). Avec cette adaptation, le Conseil fédéral a souhaité stipuler que 17 pour cent de la surface suisse deviendrait des zones centrales pour la biodiversité, de plus la notion d'infrastructure écologique devrait être introduite dans la LPN. Le Conseil fédéral a également prévu d'assainir les zones nationales protégées là où cela s'avère nécessaire. En outre, la biodiversité devrait être encouragée en premier lieu dans les zones bâties et dans les agglomérations. Alors que le Conseil national a voulu entrer en matière sur le contre-projet indirect, le Conseil des Etats a défendu à plusieurs reprises l'idée que les bases légales actuelles sont suffisantes et que, par conséquent, l'initiative et le contre-projet ne sont pas nécessaires. Par la suite, le Parlement n'est pas entré en matière sur le contre-projet et a proposé au peuple de rejeter l'initiative. L'initiative sera soumise au vote en septembre 2024.

Chronologie
Dépôt de l'initiative
Aboutissement
Message du Conseil fédéral sur l'initiative comme sur le contre-projet indirect
Consultation au Conseil national
Le Conseil des Etats se positionne contre le contre-projet
Le Conseil national campe sur le contre-projet
Le Conseil des Etats n'entre pas en matière sur le contre-projet ; l'initiative n'a pas approuvée
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Biodiversitätsinitiative (BRG 22.025)

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Zusammenfassung
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BVG-Reform (BVG 21; BRG 20.089)

Im Anschluss an die Ablehnung der Altersvorsorge 2020 an der Urne beauftragte der Bundesrat die Sozialpartner mit der Ausarbeitung einer neuen Pensionskassenreform. Im Juli 2019 präsentierten der Arbeitgeberverband, Travail.Suisse und der Gewerkschaftsbund ihren Vorschlag, der unter anderem eine Reduktion des Umwandlungssatzes von 6.8 Prozent auf 6 Prozent, im Umlageverfahren finanzierte Rentenzuschläge für die am stärksten betroffenen Jahrgänge sowie eine Halbierung des Koordinationsabzugs enthielt. Der Bundesrat nahm an diesem Entwurf keine Änderungen mehr vor, er traf jedoch nur in linken Kreisen auf Zustimmung, während bürgerliche Kreise breite Kritik übten und verschiedene Alternativvorschläge präsentierten. Das Parlament nahm in der Folge zahlreiche Änderungen am Entwurf vor, obwohl der Bundesrat davor warnte, dass die Reform dadurch bei einer allfälligen Referendumsabstimmung einen schweren Stand haben werde. So sollte der Koordinationsabzug neu nicht mehr als Fixbetrag, sondern prozentual als 20 Prozent des versicherten Lohns festgelegt werden. Die Eintrittsschwelle wurde gesenkt, zudem sollen zukünftig nur noch zwei statt wie bisher vier verschiedene, altersabhängige Beitragssätze für die berufliche Vorsorge existieren. Insgesamt sollte so mehr individuelles Pensionskassenvermögen angespart werden, um die Senkung des Umwandlungssatzes auf 6 Prozent auszugleichen. Für ungefähr die Hälfte der Versicherten der ersten 15 Jahrgänge nach Inkrafttreten der Änderung wurde ein lebenslanger Rentenzuschlag geschaffen, der teilweise über den Sicherheitsfonds, teilweise durch die Vorsorgeeinrichtungen finanziert wird. Die links-grünen Parteien und die Gewerkschaften ergriffen das fakultative Referendum, da sie befürchteten, dass zukünftig trotz höherer Beiträge tiefere Renten anfallen, und da sie weiterhin die Frauenrenten als zu gering und die Verwaltungskosten der Pensionskassen als zu hoch erachteten. Somit wird nach der AHV-Revision 2022 im Jahr 2024 auch über die Pensionskassenreform abgestimmt werden.


Chronologie
Diskussionen über eine neue Reform
Reformvorschlag der Asip
Reformvorschlag der Sozialpartner
Kritik am Vorschlag der Sozialpartner
Vernehmlassung zum Vorschlag der Sozialpartner
Weiterer Alternativvorschlag
Botschaft zum BVG 21
Behandlung durch den Nationalrat
Rückweisung an die Kommission durch den Ständerat
Behandlung durch den Ständerat
Differenzbereinigungsverfahren, Einigungskonferenz und Schlussabstimmungen
Zustandekommen des fakultativen Referendums
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Résumé
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Réforme de la prévoyance professionnelle (LPP 21; MCF 20.089)
(Traduction: Chloé Magnin)

Suite au rejet dans les urnes de la prévoyance vieillesse 2020, le Conseil fédéral a chargé les partenaires sociaux d'élaborer une nouvelle réforme des caisses de pension. En juillet 2019, l'Union patronale suisse, Travail.Suisse et l'Union syndicale suisse ont présenté leur proposition, qui comprend notamment une réduction du taux de conversion de 6.8 pour cent à 6 pour cent, des suppléments de rente financés par répartition pour les classes d'âge les plus touchées et une réduction de moitié de la déduction de coordination. Le Conseil fédéral n'a pas apporté de modifications à ce projet, mais seuls les milieux de gauche l'ont approuvé, alors que les milieux bourgeois ont émis de fortes critiques et présenté diverses alternatives. Par la suite, le Parlement a apporté de nombreuses modifications au projet, bien que le Conseil fédéral ait averti que la réforme aurait ainsi du mal à convaincre lors d'un éventuel référendum. Ainsi, la déduction de coordination ne doit plus être définie comme un montant fixe, mais comme un pourcentage de 20 pour cent du salaire assuré. Le seuil d'entrée a été abaissé, et il n'y aurait à l'avenir que deux taux de cotisation différents pour la prévoyance professionnelle en fonction de l'âge, au lieu de quatre actuellement. Au total, cela devrait permettre d'accumuler davantage de fonds de pension individuels afin de compenser la baisse du taux de conversion à 6 pour cent. Pour environ la moitié des assurés des 15 premières années suivant l'entrée en vigueur de la modification, un supplément de rente à vie serait créé, financé en partie par le fonds de garantie et en partie par les institutions de prévoyance. Les partis gauche-verts et les syndicats ont saisi le référendum facultatif, craignant qu'à l'avenir, les rentes soient moins élevées, malgré des cotisations plus importantes. Aussi, ils continuent de considérer les rentes des femmes comme trop faibles et les frais administratifs des caisses de pension comme trop élevés. Ainsi, après la révision de l'AVS en 2022, la réforme des caisses de pension sera également soumise au vote en 2024.

Chronologie
Discussions pour une nouvelle réforme
Proposition de réforme par l'Asip
Proposition de réforme des partenaires sociaux
Critique à la proposition des partenaires sociaux
Consultation de la proposition des partenaires sociaux
D'autres alternatives
Message sur la LPP 21
Traitement par le Conseil national
Renvoi à la commission du Conseil des Etats
Traitement par le Conseil des Etats
Procédure d'élimination des divergences, Conférence de conciliation et votes finaux
Aboutissement du référendum facultatif
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Reform der Beruflichen Vorsorge (BVG 21; BRG 20.089)

Die Krankenkassenprämien des Jahres 2025 dürfen nicht höher sein als die des Jahres 2024. Das forderte Céline Amaudruz (svp, GE) mit einer im September 2023 eingereichten parlamentarischen Initiative. Die aktuelle Situation im Gesundheitswesen drücke stark auf die Kaufkraft der Prämienzahlenden, was in einem Vertrauensverlust und einer Zahlungsnot bei den Schweizer Haushalten resultiere. Die Prämien müssten eingefroren werden, wobei die finanziellen Ausfälle durch die Reserven der Kassen getragen werden könnten.
Die SGK-NR sprach sich mit 15 zu 8 Stimmen (1 Enthaltung) dafür aus, der parlamentarischen Initiative keine Folge zu geben. Als Begründung nannte sie – analog zur parallel diskutierten Initiative von Sophie Michaud Gigon (gp, VD; Pa.Iv. 23.466) –, dass sie sich zwar der Problematik bewusst sei, ein Moratorium aber nur «künstlich» wirke und nichts an den eigentlichen Gründen des Prämienanstiegs ändere.

Die Kaufkraft der Bevölkerung erhalten mit einem Krankenkassenprämien-Moratorium (Pa.Iv. 23.459)