Bildung, Kultur und Medien
Medien
Kritik an der Information über militärische Fragen — Weiterhin harter Existenzkampf in der Presse — Der Journalistenverband bestellt einen Presserat — Bemühungen um einen neuen Medienartikel; der Bundesrat erlässt eine Verordnung über das Kabelfernsehen — Vorschlag für eine Reorganisation der Trägerschaft der elektronischen Medien — Neue politische Kritik an Radio- und Fernsehsendungen.
Politique d'information
Critiquant le flux de l'information que Berne distribue parfois au compte-gouttes, certains commentaires ont ironiquement affirmé que les journalistes du Palais fédéral n'étaient souvent que les diffuseurs de ce que les autorités fédérales veulent bien livrer à l'attention du peuple
[1]. A la demande de la direction des programmes pour la Suisse alémanique et rhétoromane, Oskar Reck a fait une expertise au sujet des informations de politique fédérale présentées à la télévision et à la radio. Il a constaté que la télévision réserve à la politique fédérale une place insatisfaisante; il a par contre apprécié les séquences d'information de la radio
[2]. Le procès Jeanmaire a donné l'occasion à la presse de se plaindre de la
politique d'information pratiquée pour les affaires militaires. Les commentateurs n'ont pu assister que partiellement au déroulement du procès et les informations fournies par l'attaché de presse de l'armée ont été considérées comme très minces
[3]. Le conseiller redirai Gnägi a versé de l'huile sur le feu des critiques dirigées contre la politique d'information du DMF en priant le commandant de corps Bolliger de renoncer a collaborer au «Bund». Le rédacteur en chef de ce journal bernois de tendance bourgeoise a qualifié ce procédé de musellement de la presse
[4].
Presse
La procédure de consultation engagée en 1975 pour la
révision de la loi sur la liberté de la presse et l'introduction d'un article pour le soutien de la presse dans la Constitution fédérale, a apporté des réponses si contradictoires que le DFJP va entamer une autre procédure
[5]. Lors d'une conférence, Heinrich Oswald, le dirigeant de Ringier, s'est exprimé contre les mesures de soutien étatique à la presse. Il estime que la concentration de la presse ne met pas en danger la pluralité des opinions, car celles-ci sont aujourd'hui moins nombreuses que jadis
[6].
Le
mouvement de concentration dans ce secteur n'a plus provoqué d'aussi grandes vagues qu'en 1976. La fusion des deux grands journaux bâlois a assurément entraîné des problèmes au niveau de la rédaction. Oskar Reck, venu des «Basler Nachrichten», a quitté son poste de rédacteur après quelques mois à peine et a accepté un poste de responsable à la direction régionale de la radio et de la télévision. Les «Berner Nachrichten», nées de la deuxième grande fusion de journaux de 1976, ont rempli les colonnes à la «une» lorsqu'elles ont licencié un rédacteur à cause de ses tendances politiques
[7]. Il a été longtemps question que le «St. Galler Tagblatt» reprenne à son compte le «Luzerner Tagblatt», en difficultés financières. A la demande réitérée d'un groupe de personnes influentes du Parti libéral-démocratique de Lucerne (prd), Publicitas a accepté en tant qu'actionnaire majoritaire de revenir, jusqu'à fin 1978, sur sa décision de vente
[8]. Les organes de presse du parti socialiste sont depuis des années dans une situation difficile: trois rédacteurs ont donné leur congé en 1977 à l'«Ostschweizer AZ» parce qu'ils se sont vus dans l'impossibilité de poursuivre la publication d'un journal de gauche de style populaire. Depuis juillet 1977, ce journal reproduit le contenu rédactionnel du «Badener Tagblatt», de tendance bourgeoise, comme le font déjà d'autres journaux socialistes de Suisse orientale
[9]. Le PSS a fondé lui-même son propre service de presse pour assurer l'information sur ses activités, ses intentions et ses prises de positions
[10].
Dans le Bas-Valais, un essai a été entrepris pour briser le quasi-monopole du «Nouvelliste», de droite conservatrice. Le nouveau «Journal du Valais» dont le nom a été, en vain, attaqué en justice par le «Nouvelliste», est sans liens politiques. Les observateurs neutres de la presse valaisanne mettent fortement en doute le succès durable de ce nouveau venu
[11]. Le journal. le plus ancien du canton du Tessin, la «Gazzetta Ticinese», a reçu le soutien de l'éditeur milanais, I. Montanelli. Le capital-actions de la nouvelle société d'édition est resté toutefois majoritairement en mains tessinoises. L'ancien conseiller fédéral N. Celio siège à la tête du conseil d'administration. Cet organe des radicaux veut se muer en journal d'opinion ouvert et ambitionne d'élargir ainsi son cercle de lecteurs
[12].
La lutte que se livrent les produits de la presse pour obtenir les fàveurs du public et se partager la manne publicitaire a éclaté au grand jour sur la place de Zurich: la «Weltwoche» avait sans autre précaution affirmé en 1976 que le nombre des lecteur de la NZZ était en recul, suivant en cela la prétendue statistique des lecteurs établie par la «SA pour l'étude de moyens publicitaires» (AG für Werbemittelforschung). La NZZ a obtenu par un arrêt de tribunal que la «Weltwoche» rétracte une telle affirmation. Jean Frey, l'éditeur de la feuille d'annonces «Züri-Leu», distribuée gratuitement, a fait faire une étude de marché sur l'efficacité des annonces en ville de Zurich. Il en est résulté que le «Züri-Leu» était le meilleur support publicitaire. Le «Tages-Anzeiger» a déposé plainte et le tribunal de première instance a décidé que la publication de cette étude serait provisoirement suspendue
[13]. La «Tat», transformée en feuille de boulevard paraissant en petit format polychrome, s'est efforcée d'attirer plusieurs fois l'attention sur elle: l'imbroglio financier entre la maison Bally et Werner K. Rey, le jeune et puissant actionnaire, a été présenté avec maints détails. A la suite d'une mesure provisionnelle du tribunal de district de Zurich, la «Tat» a dû publier une mise au point de Rey sans y ajouter de commentaires. C'est la première fois que l'on a intimé l'ordre a un organe de presse d'exposer les thèses adverses sans passer par la procédure judiciaire ordinaire. Les rédacteurs du journal ont alors dénoncé les entraves posées à la presse dans l'exercice de ses fonctions
[14].
Lors de son assemblée extraordinaire des délégués, la Fédération suisse des journalistes (FSJ) a procédé aux élections, restées en souffrance depuis longtemps, d'un
Conseil de la presse dont les statuts avaient été votés en 1976. Celui-ci est chargé de faire respecter le code d'honneur de la FSJ. Les éditeurs se sont étonnés d'avoir été ignorés pour la mise sur pied de ce conseil. La FSJ a rétorqué que'la possibilité d'établir une représentation paritaire n'était exclue
[15].
Radio et télévision
Après le rejet populaire en 1976 de l'article sur la radio et la télévision, le DFTCE, considérant toujours qu'il est urgent de fournir une
base constitutionnelle à ces deux médias, en prépare une nouvelle version
[16]. Par leurs interventions parlementaires les adversaires du projet rejeté ont aussi contribué à l'élaboration d'une nouvelle formule. Les motions des socialistes et du conseiller national F. Jaeger (adi, SG), transformées en postulats, revendiquent l'indépendance pour la radio et la télévision, la liberté pour les collaborateurs de ces institutions et l'établissement d'un cahier des charges adéquat. F. Jaeger souhaiterait en outre que l'article 55 sur la presse s'ouvre à une conception générale des médias. Le conseiller fédéral Ritschard a répondu aux interventions des parlementaires en leur rappelant notamment la réglementation pour la télévision par câble, qui est entrée en vigueur le 14e août 1977
[17]. Elle traite principalement du droit de concession pour les programmes locaux de radio et télévision, et en interdit le financement direct par des entreprises à but lucratif ou par la publicité. Cette réglementation repose sur de faibles assises juridiques. Un simple arrêt du Tribunal fédéral pourrait lui enlever force de loi, comme cela s'est passé pour le port obligatoire de la ceinture de sécurité
[18].
Après que la Société suisse de radiodiffusion et télévision (SSR) eut modifié sa commission des programmes, il lui restait à redéfinir ses organes de représentation. Ceux-ci devraient être réorganisés à l'échelon local, régional et national. Le rapport Hayek voulait soustraire la gestion de la SSR au droit de regard de la Confédération et surtout créer des conseils régionaux représentatifs. Le Comité directeur de la SSR s'y est opposé en souhaitant que le Conseil fédéral continue à nommer le président central de la SSR et qu'il puisse déléguer des représentants dans les sociétés régionales. Il s'oppose aussi à la proposition limitant le nombre des parlementaires fédéraux délégués dans les institutions de la SSR. Une assemblée générale extraordinaire doit prendre position, au printemps 1978, sur les nouveaux statuts des organes représentatifs de la SSR
[19]. Pour éviter que les découverts ne se développent, le Comité directeur de la SSR a demandé au Conseil fédéral de pouvoir augmenter les taxes de concession dès 1978. Celles-ci n'avaient pas varié depuis 1973. Le conseiller fédéral Ritschard a déclaré, lors des débats budgétaires au Conseil national à propos de la suppression de la subvention fédérale au Service des ondes courtes, qu'une augmentation des taxes était acceptable. Tant le Conseil des Etats que le Conseil national ont accepté la suppression de cette subvention
[20].
L'Association suisse de télévision et de radio (ASTR) a exigé du Conseil fédéral qu'il ne renouvelle pas la concession de la SSR, qui arrive à échéance à fin 1979, et qu'il loue les studios à des personnes privées. L'ASTR a également attaqué plusieurs émissions de radio en 1977, les considérant comine gauchisantes. Le service de presse de la radio et télévision suisse alémanique a cependant estimé que ces critiques étaient infondées et les a rejetées
[21]. En Suisse romande, les responsables des émissions «En direct avec...» et «Temps présent», qui traita de la liberté d'expression et de ses limites en Suisse, ont dû se justifier devant le comité directeur et la commission des programmes de la Société de radiodiffusion et télévision de la Suisse romande (SRTR). Les deux émissions avaient été fustigées par la droite et le Conseil d'Etat fribourgeois, après l'«En direct avec A. Mirer» (délégué du Conseil d'administration de Nestlé) retransmise depuis l'Université de Fribourg, avait officiellement blâmé les étudiants. Les responsables n'ont toutefois pas été sanctionnés par la SRTR
[22]. Dans l'expertise précitée sur l'information de politique fédérale, O. Reck avait également réclamé une régionalisation du téléjournal, désir exprimé depuis longtemps aussi bien par Genève que Zurich. Le comité directeur de la SSR a fait savoir que l'introduction éventuelle d'une régionalisation, accompagnée de la création d'un office central de coordination, sera décidée en 1978
[23]. Selon une nouvelle conception de la publicité, qui entrera en vigueur en 1980, la Télévision diffusera à 21 heures une série supplémentaire de séquences publicitaires. Les milieux de l'édition, qui s'opposent déjà à la situation actuelle, craignent que le surcroît de revenus ainsi encaissé par la télévision n'entraîne une diminution correspondante pour les journaux. La «guerre des maillots» lors de retransmissions de football s'est terminée, après que la SSR ait partiellement assoupli sa position vis-à-vis de l'Association suisse de football. Un sondage sur la publicité dans les émissions sportives avait auparavant indiqué que seul un cinquième des téléspectateurs s'opposait à la publicité sur les maillots
[24].
Après une décision des PTT, les auditeurs de radio jouirent finalement d'émissions suisses retransmises en stéréophonie. Leur introduction se fera par étapes
[25]. Les PTT ont investi de grands moyens pour faire la
chasse à divers émetteurs clandestins. L'émetteur des adversaires des centrales nucléaires « Radio active —Gösgen libre » s'est montré le plus récalcitrant. Il n'a pas été tout à fait réduit au silence, malgré l'important engagement des forces de police
[26]. La télévision suisse et la télévision italienne ont conclu un accord de collaboration plus étroite. La RAI s'était jusqu'alors toujours refusée à participer à des pourparlers avec la SSR parce que la télévision tessinoise peut être reçue jusqu'en Sicile. Genève a réuni une conférence chargée de répartir des fréquences d'émission pour la retransmission directe par satellite. Ce moyen moderne de télécommunication devrait entrer dans les meurs quotidiennes avant dix ans. La Suisse s'est vu garantir un espace orbital pour un satellite et cinq canaux de retransmission
[27].
[1] TA, 191, 18.8.77; 198, 26.8.77; TLM, 232, 20.8.77; cf. supra, part. I, 2 (Demokratische Mitsprache). Cf. égalemênt «Die Zauberworte Objektivität und Ausgewogenheit», in TA, 18, 22.1.77.
[2] BaZ, 249/250, 12/13.10.77; 284, 16.11.77; JdG, 270, 18.11.77; TA, 90, 19.4.78. Information par la télévision (enquête du PDC): LNN, 85, 13.4.77; Tat, 89, 16.4.77.
[3] Cf. supra, part. I, 3 (Affäre Jeanmaire); TA, 122, 128, 140, 141, 27.5.-20.6.77; La Presse suisse, 1977, no 4, p. 5; APS, 1976, p. 47 et 150.
[4] Bund, 254, 29.10.77; 257, 2.11.77; Ww, 45, 9.11.77. Opinion differente: SP-Information, 19, 3.11.77.
[5] Ldb, 111, 14.5.77; BaZ, 218, 10.9.77; cf. APS. 1975, p. 150 s.
[6] BaZ, 92, 5.5.77; Ldb, 105, 7.5.77.
[7] Basler Zeitung: F. Leuzinger / R. Schlumpf, Exekution einer Zeitung, Zur Basler Zeitungs-«Fusion», Basel 1977 : M. Jäggi, So ging die «National-Zeitung» kaputt, Zürich 1978. Cf. NZZ, 21, 22, 30, 91, 119, 26.1.-24.5.77; Leserzeitung, 48, 1.2.77; La Presse suisse, 1977, no 1, p. 6 ss.; APS 1976, p. 151. Berner Nachrichten: Berner Student, 12, 7.12.77; JdG, 292, 14.12.77; APS, 1976, p. 151.
[8] LNN, 152, 185, 196, 258, 4.7.-4.11.77; Vr, 258, 4.11.77. Cf. APS 1974, p. 147.
[9] Vr, 82, 7.4.77; BüZ, 121, 24.5.77; 121, 26.5.77; 266, 10.11.77; TW, 110, 12.5.77; 121, 26.5.77; BaZ, 134, 18.6.77; Zeitdienst, 30/1977, p. 189 s. La presse de gauche: BaZ, 131, 134, 141, 145, 169, 15.6.-23.7.77; NZZ, 172, 5.7.77; Profil, 56/1977, p. 199 ss. Cf. APS, 1973, p. 137 s.
[10] SP-Information, 1, 13.1.77; NZ, 13, 14.1.77; gk, 3, 20.1.77.
[11] TLM, 149, 150, 176, 188, 201, 209, 275, 29.5.-2.10.77; Ww, 30, 27.7.77; Bund, 174, 28.7.77; 24 Heures, 278, 29.11.77; 281, 2.12.77.
[12] Gazzetta ticinese, 15/16, 20/21.1.77; CdT, 16, 21.1.77; JdG, 18, 22.1.77; NZZ, 18, 22.1.77. Cf. R. Burkhard, Die Tessiner Presse — eine publizistikwissenschaftliche Struktur- und Problemanalyse, Zürich 1977.
[13] NZZ/Weltwoche; Ww, 40, 6.10.76; 6, 9.2.77; NZZ, 304, 28.12.76; 32, 8.2.77. Tages-Anzeiger/Züri-Leu: Vr, 191, 11.12.76; 45, 23.2.77; TA, 295, 17.12.76; 300, 23.12.76; 47, 25.2.77. Cf. aussi Focus, 1977, no 82, p. 65.
[14] La presse de boulevard en Suisse: TG, 251/252, 31.10/1.11.77; NZZ, 296, 17.12.77. Tat, nouvelle conception: Tat, 78, 1.4.77; 284, 3.12.77; 77, 4.4.78; TLM, 95, 5.4.77; Berner Student, 4, 27.4.77; Ww, 39, 28.9.77; cf. APS, 1976, p. 151. Bally/Rey: Cf. supra, part. I, 4a. Rey/Tat: Tat, 184-187, 9.8.-12.8.77; voir la presse du 10.8.77; LNN, 187, 13.8.77. Protection de la personnalité: L. A. Minelli, Persönlichkeitsrecht — Persönlichkeitsschutz, Zürich 1977; TA, 211, 10.9.77; APS 1976, p. 16.
[15] NZZ, 234, 6.10.77; 241, 14.10.77; La Presse suisse, 1978, no I, p. 26 s. et 51; cf. APS, 1976, p. 151. «Code d'honneur»: Cf. APS, 1972, p. 139.
[16] NZZ, 259, 4.11.77; La Gruyère, 127, 5.11.77; JdG, 263, 10.11.77; APS, 1976, p. 151 s.
[17] BO CN, 1977, p. 415 ss.
[18] RO, 1977, no 30, p. 1437 ss.; BaZ, 30, 72, 122, 176, 273, 1.3.-10.11.77; LNN, 58, 10.3.77; VO, 69, 25.3.77; TLM, 194/195, 13/14.7.77; 214, 2.8.77. Port obligatoire de la ceinture de sécurité: Cf. supra, part. I, 6b (Circulation routière).
[19] Rapport Hayek: TA, 17, 21.1.77; cf. APS, 1975, p. 152. Réforme institutionnelle de la SSR: NZZ, 35, 41, 47, 53, 71, 11.2.-25.3.77; Lib., 127, 2.3.77; 129, 4.3.77; BN, 63, 16.3.78. Révision des statuts de la SSR: LNN. 278, 28.11.77; NZZ (sda), 295, 16.12.77; E. Tenchio, «Restructuration de l'organisation institutionnelle de la SSR», in L'Annuaire SSR, 46/1976, p. 5 ss.
[20] Augmentation des taxes: TA, 157, 8.7.77; 161, 13.7.77; TLM, 229, 17.8.77; voir la presse du 26.11.77; cf. APS, 1972, p. 139. Service des ondes courtes: BO CE, 1977, p. 660; BO CN, 1977, p. 1552 ss.; TLM, 343, 9.12.77.
[21] ASTR/Radio DRS: TW, 165, 18.7.77; BaZ, 213, 5.9.77; cf. APS, 1976, p. 152. ASTR/Concession de la SSR: Voir la presse du 25/26.8.77; BN, 217, 16.9.77.
[22] «En direct avec...»: Lib., 128-130, 3.3.-5.3.77; 168, 21.4.77; 24 Heures, 59, 11.3.77; TG, 65/66, 18/19.3.77; 93, 26.4.77; Leserzeitung, 52, 29.3.77. Réunion spéciale de la SRTR: JdG, 88, 89, 91, 92, 16.4.-24.4.77; Lib., 167, 20.4.77; VO, 85, 21.4.77. Cf. également G. Hirsch / J. Steinauer, Le Bruit et la Fûreur, Télévision romande et la liberté d'expression, Genève 1977.
[23] Expertise Reck: Cf. supra, Information. Régionalisation du Téléjournal: TLM, 59, 28.2.77; 117, 27.4.77; NZZ, 1 11, 13.5.77; 24 Heures, 211, 10.9.77; voir la presse du 26.11.77; cf. SSR, Etudes sur les conditions d'une décentralisation du téléjournal, Berne 1977.
[24] Séquences publicitaires: TA, 23, 28.1.77; 299, 16.12.77; TG, 31, 7.2.77; BaZ, 120, 4.6.77; 189, 12.8.77 Tat, 297, 19.12.77. Enquête de la SSR: BaZ, 13, 12.2.77. Tenues publicitaires des footballeurs: BaZ, 38, 9.3.77; TA, 176, 30.7.77; cf. APS, 1976, p. 152 s.
[25] NZZ, 184, 9.8.77; (sda), 30, 23.12.77; voir la presse du 26.8.77.
[26] Radio Atlantis, Zurich: TA, 13, 17.1.77; 49, 28.2.77; cf. APS, 1976, p. 153. UKW 101, Zurich: Voir la presse du 8.6.77. Radio active — Gösgen libre: voir la presse du 25.6.77; Vr, 156, 7.7.77; Der Spiegel, 30, 18.7.77; cf aussi supra, part. I, 6a (Centrales nucléaires). Emetteurs pirates (position de la PTT): NZZ, 51, 2.3.77.
[27] SSR/RAI: BaZ, 170, 23.7.77; CdT, 167, 23.7.77. Conférence à Genève: TA, 8, 11.1.77; 41, 18.2.77.