Année politique Suisse 1978 : Sozialpolitik
Soziale Gruppen
Vorschläge zur Förderung der Integration der ausländischen Arbeiter — Der Entwurf zu einem neuen Ausländergesetz erntet vielfältige Kritik — Regelung der Arbeitslosenversicherung für Grenzgänger — Meinungsverschiedenheiten zur Frauenarbeit — Ein Bericht über die Lage der Familie — Lancierung einer Initiative für den Schutz der Mutterschaft — Das Gesetz über den Schwangerschaftsabbruch wird in der Volksabstimmung verworfen; neue Vorstösse für eine Liberalisierung — Der Bund bildet eine ständige ausserparlamentarische Kommission für Jugendfragen.
Population étrangère
Le recul assez sensible du nombre de travailleurs étrangers séjournant dans notre pays a certainement contribué à àtténuer la tension qui régnait en matière de politique à l'égard des étrangers. Mais ce climat serein ne résoud en aucun cas les problèmes posés par la présence d'un contingent encore important de travailleurs immigrés sur notre territoire, d'autant plus qu'ils revêtent avant tout des aspects humains
[1]. C'est pourquoi la commission consultative pour les étrangers (CFE) a émis plusieurs suggestions afin de favoriser l'intégration sociale de ces travailleurs étrangers
[2]. L'accent a été surtout mis sur l'information, le perfectionnement de la formation professionnelle, la collaboration des étrangers au sein des commissions d'entreprises et le travail en commun des Suisses et des étrangers. D'autre part, le concept d'« intégration» doit être compris dans le sens d'accueil à l'intérieur de notre communauté nationale et insertion dans notre ordre social, ce qui n'implique pas l'abandon de ses propres valeurs culturelles et de la nationalité d'origine
[3]. En marge de ces propos, un forum s'est ouvert sur la question épineuse de la deuxième génération d'immigrés. A cause de la lourdeur des procédures de naturalisation, quelques centaines dé milliers de jeunes étrangers, parfaitement assimilés au mode de vie helvétique, sont écartés de la Suisse sur les plans légal, professionnel et politique
[4]. Ce problème fondamental avait déjà été soulevé, en 1976, par la CFE et la commission avait alors préconisé une naturalisation facilitée pour cette catégorie de personnes
[5].
C'est au mois d'août que le chef du DFJP, K. Furgler et le directeur de la police fédérale des étrangers, G. Solari, ont rendu public le
nouveau projet de loi
sur le séjour et l'établissement des étrangers (LSEE). Cette loi devrait se substituer à la loi fédérale de 1931, pour äutant que les Chambres lui donnent leur approbation. Mise en consultation en 1976, dans le cadre d'un avant-projet, elle n'a pas subi de profondes modifications par rapport au texte initial
[6]. Même si cette loi arbore un visage plus séduisant avec pour point de mire un renforcement de la protection juridique des travailleurs étrangers, sur le fond, l'expression n'a quasiment pas changé. Le statut du travailleur immigré demeure en grande partie tributaire de contraintes économiques
[7]. L'euphorie n'est donc pas de mise et cette loi risque de réveiller à nouveau les passions. Preuves en sont les divergences d'opinions qui ont alimenté les colonnes de nos quotidiens. Certains commentateurs ont réservé en effet un accueil très mitigé à ce projet. Ils ont notamment reproché aux pouvoirs publics d'avoir manqué d'audace en subordonnant les améliorations juridiques en faveur des travailleurs étrangers aux exigences impératives de l'économie
[8]. D'autres par contre, plus nuancés, ont estimé que le gouvernement avait atteint le but qu'il s'était fixé, soit améliorer la condition des travailleurs immigrés, tout en maintenant la politique de stabilisation de la main-d'oeuvre étrangère
[9]. Cependant, les critiques les plus acerbes sont venues des milieux proches du mouvement «Etre solidaire» et des organisations d'immigrés en Suisse. Sur le banc des accusés, le statut du saisonnier maintenu dans le projet. de loi. A ses côtés, les cinq catégories de permis susceptibles d'accentuer plus encore une véritable séparation entre ouvriers suisses et étrangers, voire entre étrangers eux-mêmes
[10]. De plus, un peu partout en Suisse romande se sont créés des comités contre la loi fédérale. Leurs voeux sont de sensibiliser l'opinion publique sur le problème relatif aux étrangers et d'apporter leur soutien au mouvement «Etre solidaire»
[11]. Pour sa part, l'Action nationale (AN) a précisé que le fait d'accorder une protection juridique accrue aux travailleurs immigrés risquerait de compliquer davantage encore la politique de stabilisation et de réduction de la population étrangère entreprise depuis quelques années par nos autorités
[12].
Début novembre, une nouvelle ordonnance du Conseil fédéral limitant le nombre des étrangers exerçant une activité lucrative dans notre pays, est entrée en vigueur. Sur l'essentiel elle est demeurée pratiquement identique à celle promulguée deux années auparavant et modifiée en 1977
[13]. Et l'essentiel, c'est la stabilisation de la main-d'oeuvre étrangère
[14]. Cette réglementation a déçu les représentants de plusieurs branches économiques, comme le textile et l'hôtellerie, dans la mesure où ceux-ci s'étaient faits les champions d'une libéralisation progressive du contingentement de la main-d'oeuvre étrangère
[15].
Sur le plan international, la Suisse a entamé une série de pourparlers avec l'Italie, la France et l'Autriche afin de régler la question de
l'indemnisation des travailleurs frontaliers au chômage. On sait que depuis 1977, les frontaliers exerçant une activité lucrative dans notre pays sont astreints à cotiser pour l'assurance-chômage. Toutefois, étant donné la difficulté d'effectuer des contrôles en cas d'exportation des prestations pour les chômeurs résidant à l'étranger mais ayant perdu leur poste de travail en Suisse, nos autorités se sont engagées à verser les deux tiers des cotisations perçues sur le salaire des frontaliers aux pays limitrophes concernés. Ces derniers auront ensuite pour tâche d'indemniser ces travailleurs
[16].
Femmes
La condition de la femme a été largement évoquée et fait l'objet de
plusieurs études. Selon un sondage réalisé par l'institut Isopublic de Zurich, 34 % des Alémaniques et 20% des Romands ont considéré que la ménagère exerçait un métier comme un autre. En revanche, 21 % des personnes interrogées dans la partie alémanique et 45 % des gens issus des régions francophones ont jugé que chaque femme devrait pouvoir exercer de surcroît une activité faisant appel à des qualifications professionnelles
[17]. Parallèlement, certaines analyses tendent à montrer que les femmes ressentent profondément leur mise à l'écart de la société et sont de moins en moins enclines à n'exister qu'à travers «leur fonction reproductive». Elles souhaiteraient rechercher un nouvel équilibre au sein de la famille et du travail
[18]. Devant la complexité des problèmes juridiques soulevés par les discriminations dont sont victimes les femmes, il faudra attendre 1979 pour connaître le contenu du message rédigé par le Conseil fédéral au sujet de l'initiative populaire visant à établir l'égalité des droits entre l'homme et la femme
[19]. Pour l'heure, cette initiative n'a pas rencontré un écho très favorable dans les milieux consultés. Le PRD et le PDC ont même décidé de proposer séparément un contreprojet. Seules l'USS et l'Alliance des sociétés féminines suisses (ASF) soutiennent sans réserve cette initiative
[20].
Famille
La politique familiale a connu, en 1978, une activité particulièrement fébrile. Un rapport fédéral analysant la situation de la famille en Suisse a d'ailleurs paru cette année. Dans une première partie, il traite de la composition et de l'évolution de celle-ci, de sa situation économique et des conditions de logement des ménages. Un second volet dresse une sorte d'inventaire des mesures prises par la Confédération en la matière
[21]. Lors de la première conférence nationale sur la famille, organisée sous les auspices de Pro Familia, un certain nombre de thèmes majeurs ont été retenus. Parmi ceux-ci, l'assurance-maternité et une protection accrue de la femme enceinte se sont révélées être des sujets brûlants
[22].
L'introduction d'une assurance-maternité dans la législation fédérale a également fait l'objet d'une importante discussion au Conseil national. En effet, pas moins de
trois motions, dont deux émanaient des milieux démocrates-chrétiens, et une initiative parlementaire de la socialiste G. Nanchen (VS), déposées en 1977 déjà, restaient pendantes
[23]. C'est sur les propositions du groupe PDC, dont le conseiller national fribourgeois Butty était le porte-parole, que le débat à la Chambre s'envenima. Ce projet mettait l'accent sur quatre points primordiaux: 1) amélioration des allocations familiales sans porter atteinte aux compétences cantonales; 2) adaptation de mesures substantielles en faveur de la protection de la grossesse; 3) institutionnalisation de l'assurance-maternité, ainsi qu'une protection contre les résiliations de contrat; et enfin 4) droit donné aux mères de bénéficier de mesures de réintégration professionnelle. Le Conseil fédéral accepta les points 2 et 3 comme motion, mais souhaita transformer les autres en postulats. Si le défenseur du groupe démocrate-chrétien accepta la proposition du gouvernement, par contre, G. Nanchen intervint et exhorta les députés à rester ferme sur le principe de la motion. Au terme du débat, une faible majorité de la Chambre se rallia in extremis aux voeux de notre exécutif. Ce dernier devra cependant présenter assez rapidement des mesures destinées à protéger la grossesse, instituer une assurance-maternité et veiller à la protection des travailleuses contre les résilations de contrat durant le congé de maternité
[24]. Au début du mois de novembre, une initiative populaire a été lancée par une dizaine d'organisations féminines, groupements politiques et syndicaux
[25]. L'objectif de celle-ci, intitulée «pour une protection efficace de la maternité», consiste à réaliser une assurance-maternité financée selon le principe de l'AVS et qui garantirait: une couverture intégrale des frais médicaux, hospitaliers et pharmaceutiques, un congé de maternité de 16 semaines avec compensation de la perte de gain et un congé parental de neuf mois, également compensé
[26].
La modification de la réglementation concernant la
répartition du bénéfice dans l'union des biens, acceptée par le Conseil national en septembre 1977, a été dûment contestée par le Conseil fédéral. Ce dernier préférerait l'inclure dans les dispositions nouvelles résultant de la révision globale du droit matrimonial actuellement en cours
[27]. Le lei janvier 1978 est entré en vigueur le nouveau droit de filiation qui consacre le principe selon lequel tout enfant, né hors mariage, a le droit d'être reconnu juridiquement comme l'enfant de son père. Le statut de l'enfant est désormais fixé par deux règles essentielles, à savoir que la filiation à l'égard de la mère résulte du seul fait de la naissance et que, seconde règle, le mari est considéré comme le père de l'enfant
[28].
Pour la seconde fois en moins d'une année, les citoyens se sont prononcés sur le problème de l'avortement. Cette nouvelle votation résultait d'un
référendum lancé contre la «loi fédérale sur la protection de la grossesse, ainsi que sur le nouveau régime de son interruption»
[29]. Ce nouveau projet de loi, adopté en mai 1977, soit quatre mois avant le scrutin populaire de septembre sur l'initiative des délais, maintenait certes le caractère punissable de ces derniers, mais introduisait une notion supplémentaire, les indications sociales
[30]. A la veille de la votation,
les positions étaient clairement tranchées et l'on se trouvait devant une situation pour le moins paradoxale. En effet, la plupart de ceux qui avaient soutenu la loi lors de ses multiples passages aux Chambres, comme le PRD et le PSS, la condamnaient maintenant, alors que le PDC, qui fut son irréductible adversaire, la défendait. Ce dernier était du reste le seul parti gouvernemental à recommander le oui, estimant que cette loi avait pour vertu essentielle de mettre définitivement un terme à toute solution jugée par trop libérale
[31]. Du côté des opposants, les arguments en faveur du rejet variaient selon que l'on adhérait à tel ou tel système de valeur. Ainsi pour la gauche, la loi ne s'écartait guère, du moins dans son esprit,,des objectifs visés par le Code pénal où l'avortement restait encore par essence criminel. Les cantons plus libéraux ont jugé pour leur part que son application équivaudrait à une limitation trop restrictive par rapport à la pratique actuellement en cours. Enfin, les partisans d'une solution restrictive ont affirmé, qu'une autorisation de l'interruption de la grossesse pour motif social porterait gravement atteinte à leur conviction profonde du respect intégral de la vie
[32]. En définitive, c'est sans surprise que
cette loi a été massivement refusée par le souverain (68,8% de non contre 31,2% de oui; avec un taux de participation de 48,8%). On a pu constater que les cantons catholiques de Fribourg (38,9% de oui) et Zoug (38,6 % de oui) lui ont réservé le meilleur accueil, tandis que Genève (19,8 % de oui) l'a refusée en force
[33]. Au lendemain du scrutin, une avalanche de projets relatifs à l'interruption de la grossesse s'est abattue sur Berne. Pas moins de quatre initiatives individuelles et une motion ont été déposées au parlement. Trois des quatre initiatives sont d'origine romande et ont en commun le fait qu'elles désireraient laisser aux cantons une relative autonomie en matière de réglementation de l'interruption de la grossesse, tandis que G. Condrau (pdc, ZH) inclinerait plutôt en faveur d'une extension de l'indication sociale et médicalo-sociale
[34]. Par ailleurs, les cantons de Genève, Neuchâtel et Bâle-Ville ont déposé chacun une initiative cantonale proposant également une réglementation plus souple de l'avortement. Ils souhaiteraient notamment que la législation fédérale donne aux cantons la faculté d'introduire dans leur propre constitution la solution du délai
[35].
Politique de la jeunesse
Qu'est-il advenu des courants de mai 1968? Cette question s'est posée en 1978 au sujet de la politique de la jeunesse
[36]. La jeunesse d'aujourd'hui ne se caractérise-t-elle que par la
désillusion et la résignation, la peur de l'avenir, le désintérêt politique et social, l'envie de consommer et le souci de faire carrière? Ou les courants antiautoritaires nés à la fin des années «60» ont-ils au contraire favorisé l'éclosion d'une jeunesse plus résolue dans ses aspirations, plus ouverte et plus libre dans son comportement pour qui la critique est devenue naturelle? Quoi qu'il en soit, la situation économique a incontestablement entraîné un mouvement d'adaptation: les apprentis se soumettent plus facilement pour conserver leur place d'apprentissage et les étudiants se plient à la discipline universitaire pour obtenir de bonnes qualifications. Le but n'est plus de créer un monde nouveau, mais de s'intégrer à celui qui existe
[37]. Parallèlement, on observe une chute de l'intérêt et de l'activité politiques des jeunes
[38].
Prévue dès 1976, une
commission extraparlementaire permanente a été créée afin de mieux tenir compte des aspirations de la jeunesse dans la politique fédérale. Dans une première phase elle devrait élaborer des propositions concrètes. Parmi les problèmes brillants se trouvent par exemple des questions aussi différenciées que la prévention contre la toxicomanie et l'introduction de la préscolarité dans les régions de montagne
[39]. Les difficultés rencontrées par les enfants des immigrés constituent de plus en plus un problème réel de la politique de la jeunesse en Suisse. La langue qui les handicape déjà durant leur scolarité obligatoire limite ensuite encore leurs possibilités de formation professionnelle
[40]. Selon le directeur de l'OFIAMT, J.-P. Bonny, la situation sur le marché des places d'apprentissagen'est plus alarmante. Les statistiques montrent pourtant qu'un chômeur sur trois est âgé de moins de 25 ans et des enquêtes ont révélé que le libre choix de la profession était de ce fait véritablement restreint. Une étude du Bureau international du travail (BIT) a montré que le chômage des jeunes n'était pas le problème principal de la nouvelle génération. Mais l'entrée dans le monde du travail agit comme un choc, qui se traduit, clans les 12 pays étudiés, par une consommation accrue de drogues, une augmentation de la criminalité juvénile et une croissance du taux de suicides
[41].
Après l'émeute du Globus à Zurich en 1968, les jeunes Suisses n'ont jamais abandonné la revendication de
locaux à leur usage. Les autorités essaient de satisfaire à cette requête avec plus ou.moins de bonheur. A Zurich, la police a évacué en été la maison des jeunes du Schindlergut. Les autorités responsables se sont opposées aux tentatives de transformation de cet édifice en un centre autonome. Elles en ont exigé la fermeture juste après l'avoir mis à disposition de la jeunesse zurichoise en novembre 1977. En automne, l'Office social de la ville de Zurich a présenté une conception pour l'aménagement des loisirs de la jeunesse. Cette étude, débattue devant le Conseil communal prévoit, en plus d'une maison centrale pour les jeunes, plusieurs points de ralliement dans les quartiers
[42]. Quant à la ville de Berne, on a institué une conférence de la jeunesse qui devra être le porte-parole des jeunes vers l'extérieur et devra activer les échanges d'expériences entre les organisations de jeunesses et les services publics
[43].
[1] L'effectif des travailleurs étrangers exerçant une activité lucrative était de 663 384 à la fin août 1978 d'où une augmentation de 2% en regard de l'année précédente (650 225). Pour la première fois depuis 1973, il y a eu à nouveau progression d'une année à l'autre. C'est surtout l'accroissement du nombre de saisonniers (+ 24,6%) et des frontaliers (+ 7,7%), qui a modifié les parts respectives de l'effectif global de la main-d'oeuvre étrangère. Cf. La Vie économique, 51/1978, p. 307 s.; 52/1979, p. 91; 24 Heures, 175, 29.7.78.
[2] Il s'agit en réalité d'un rapport élaboré par un sous-comité de la CFE. Cf. ensemble de la presse 15.2.78.
[3] SAZ, 73/1978, p. 146 s.; JdG, 38, 15.2.78'; VO, 52, 7.3.78; Bund, 80, 7.4.78.
[4] Selon NZZ, 38, 15.2.78: leur nombre s'élevait, en avril 1978, à 350 000. Cf. aussi BaZ, 117, 2.5.78 ; 118, 3.5.78; BüZ, 47, 25.2.78; CdT, 72, 28.3.78; TW, 76, 4.4.78; Vat., 85, 13.4.78.
[5] TLM, 46, 15.2.78 ; cf. APS. 1976, p. 119 s.
[6] Cf. APS, 1976, p. 119 s.; 1977, p..120 s.
[7] FF, 1978, II, p. 165 ss. ; de même que JdG, 194, 21.8.78.
[8] TLM, 231, 19.8.78; Lib., 267, 20.8.78; Bund, 195, 22.8.78; VO, 224, 7.10.78; TG, 251, 27.10.78.
[9] NZZ, 197, 26.8.78; TW, 251, 26.10.78; Ww, 35, 30.8.78.
[10] TA; 192, 21.1.78; TG, 195,22.8.78; 251, 27.10.78; 24 Heures, 195,23.8.78; VO, 224, 7.10.78 ; BaZ, 267, 17.10.78; 278, 30.10.78.
[11] JdG, 149, 6.9.78; TLM, 180, 29.6.78.
[12] Cf. les déclarations de V. Oehen in Volk + Heimat, no 2, févr. 1978 et no 18, sept. 1978.
[13] Cf. APS, 1976, p. 121 s. et 1977, p. 122 s.
[14] RO, 1978, p. 1660 s. ; voir également BaZ, 177, 4.7.78; 276, 27.10.78 ; 24 Heures, 153, 4.7.78.
[15] TLM 15, 15.1.78; TA, 22, 27.1.78; RFS, 24, 13.6.78; 40, 3.10.78; NZZ, 166, 20.7.78.
[16] JdG, 167, 20.7.78; 24 Heures, 166, 20.7.78; VO, 171, 4.8.78.
[17] Ww, 35, 30.8.78; TG, 202, 30.8.78.
[18] Cf. M. Keller / E. Guyot-Noth, Femmes, fécondités, quels avenirs? Vevey 1978 ; JdG, 8, 11.1.78 ; TLM, 155, 4.6.78. Cf. également le slogan arborant les banderoles lors d'une manifestation des femmes suisses à Fribourg: «Les femmes; s'en vont en lutte contre leur oppression»: Lib., 128, 3.3.78; 130, 6.3.78; TA, 53, 4.3.78; TW, 55, 7.3.78; 56, 13.3.78. Cf. aussi des études plus générales in Revue syndicale, 70/1978, p. 174 ss. et W. Haug, Einwanderung, Frauenarbeit, Mutterschaft, Bern 1978.
[19] C'est vers fin décembre 1977, que le DFJP avait lancé la procédure de consultation : TA, 17, 21.1.78 ; Vr, 36, 13.2.78 ; Tat, 74, 31.3.78 ; NZZ, 130, 8.6.78 ; 24 Heures, 164, 17.7.78 ; JdG, 219, 20.9.78 ; cf. également APS, 1977, p. 128.
[20] TLM, 138, 18.5.78 ; JdG (ats),115, 20.5.78 ; Vat., 125, 2.6.78. Certains gouvernements cantonaux s'étaient déjà exprimés contre cette initiative: Zurich: TA, 102, 5.5.78: Schwyz: Vat., 93,22.4.78 ; Berne: TW,104, 6.5.78 ; Uri : Vat., 104, 2.5.78; St-Gall: Ostschw., 117, 23.5.78; Nidwald: Vat., 125, 2.6.78; Fribourg: Lib., 212, 15.6.78. Cf. aussi 24 Heures, 164, 17.7.78; VO, 162, 25.7.78; Revue syndicale, 70/1978, p. 194 ss.
[21] Rapport sur la situation de la famille en Suisse, Office fédéral des assurances sociales, Berne 1978. Cf. également les études chiffrées sur la situation des ménages suisses in Mouvement populaire des familles, Résultats comparatifs 1967-1977, Genève 1978 et M. Jäggi / H. Lerch, Autour du ménage et des ménagères, Genève 1978 (Annales du centre de recherche sociale, 6).
[22] 24 Heures, 166, 19.7.78 ; NZZ, 216, 18.9.78 ; Lib., 293, 19.9.78 ; Cf. également, Questions au féminin, éd. par la Commission fédérale pour les questions féminines, no 1, janvier 1978.
[23] BaZ, 20; 21.1.78 ; 24 Heures, 117, 25.3.78 ; 160, 20.4.78 ; LNN, 230, 4.10.78 ; cf. également APS, 1977, p. 128.
[24] BO CN, 1978, p: 1323 ss.: TG, 231, 4.10.78; TLM, 278, 5.10.78.
[25] Comité de lancement comprend: OFRA, Mouvement de libération de la femme (MLF), Commission féminine de I'USS, Femmes suisses pour la paix et le progrès (SFF); de même que les partis et organisations suivantes: PSS, PdT, POCH, LMR, USS et Association suisse pour une santé sociale (SGSG): VO, 243, 31.10.78.
[26] Cf. Documentation du comité de coordination, Berne 1978; OFRA: Für einen wirksamen Mutterschutz, Muttenz 1978 ; MLF: La Maternité: une affaire de femmes, Lausanne 1978 ; 24 Heures, 253, 31.10.78 ; NZZ, 253, 31.10.78; VO, 264, 25.11.78; 268, 30.11.78.
[27] TG, 23, 28.1.78; JdG, 138, 16.6.78; NZZ, 137, 16.6.78.
[28] Bund, 1, 3.1.78; 2,4.1.78 ; 4,6.1.78; TG, 2, 4.1.78; 5, 7.1.78 ; NZZ, 9,12.1.78; 234, 9.10.78; TLM, 204, 23.7.78.
[29] Cf. APS, 1977, p. 130 et pour le texte du référendum: FF, 1978, I, p. 246.
[30] FF, 1977, II, p. 92ss.; 24 Heures, 111, 16.5.78; TLM, 137, 17.5.78; NZZ, 113, 19.5.78; TA, 117, 24.5.78.
[31] Vat., 92, 28.4.78; 101, 2.5.78; 108, 11.5.78; JdG, 100, 1.5.78; Ostschw., 107, 10.5.78; 109, 12.5.78; 24 Heures, 106, 9.5.78; TA, 112, 18.5.78; TLM, 143, 23.5.78.
[32] TW, 36, 14.4.78; TG, 88, 17.4.78; 112, 17.5.78; 117, 23.5.78; 24 Heures, 112, 17.5.78; TLM. 117, 24.5.78.
[33] FF, 1978, I, p. 686 s.; Vox, Analyses des votations fédérales, 28.5.78; ainsi que l'ensemble de la presse, 29.5.78.
[34] Délib. Ass. féd., 1978, III. p. 4 et 13 s.; 24 Heures (ats), 127, 3.6.78; LNN, 128, 6.6.78; TA, 133, 12.6.78 139, 19.6.78; TG, 138, 16.6.78; JdG, 141, 20.6.78
[35] Délib. Ass. féd., 1978, V, p. 10 et VII, p. 10; JdG, 143, 22.6.78; 151, 1.7.78; 289, 11.12.78.
[36] APS, 1968, p. 120; 1969, p. 130 s.; 1970, p. 147.
[37] Mai-Zitig, Das Konzept/Zeitdienst, 1.5.1978 ; Ww, 21, 24.5.78 ; JdG, 219, 20.9.78 ; TAM, 39, 30.9.78 ; 45, 11.11.78; NZZ. 271, 21.11.78; cf. Berner Student, 7, 5.7.78; 10, 11.10.78 (interview avec D. Cohn-Bendit).
[38] R. Girod, L'école et la vie, Etudes et apprentissages, aperçu des connaissances et attitudes, avenir professionnel, Aarau-Frankfurt a.M., 1977, Cf. BaZ. 171, 27.6.78; TLM, 179, 28.6.78.
[39] NZZ (sda), 78, 5.4.78; TLM, 107, 17.4.78 ; voir la presse du 6.6.78. Tous les membres de la commission fédérale pour la jeunesse ont entre 20 et 42 ans. La commission est présidée par le Neuchâtelois J. Cavadini, conseiller communal; cf. APS, 1976, p. 137.
[40] BüZ, 47, 25.2.78; TAM. 39, 30.9.78; cf. supra, Politique à l'égard des étrangers.
[41] J.-P. Bonny: NZZ, 75, 1.4.78; TG, 75, 1.4.78; Sonntags-Blick, 41, 15.10.78. Chômeurs, formation professionnelle: Vat., 87, 15.4.78; Bund, 164–166, 17–19.7.78; Profil, 57/1978, p. 289 s.; gk, 14, 6.4.78. BIT: Brückenbauer, 11, 17.3.78; Blick, 98, 28.4.78; cf. également APS, 1977, p. 138 s.
[42] NZZ, 123, 31.5.78; 124, 1.6.78; Vr, 127, 3.6.78 (Schindlergut); TA, 128, 6.6.78; 141/142, 21/22.6.78 (action de la police); Vorwärts, 24, 15.6.78 ; 4, 25.1.79 ; TA, 181, 8.8.78 ; 231, 5.10.78 ; 271, 21.11.78 (conception des centres en faveur de la jeunesse).
[43] Brückenbauer, 21, 26.5.78; TW, 251, 26.10.78.
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