Réinitialiser la recherche

Contenu

Acteurs

  • Brahier, Gaston (fdp/prd, JU) SR/CE

Processus

2 Résultats
janvier 1965 janvier 2026
1965
1971
1977
1983
1989
1995
2001
2007
2013
2019
2026
Sauvegarder en format PDF Pour plus d'information concernant l'utilisation de la requête cliquer ici

Bei der Behandlung durch das Parlament zeigte sich, dass auch dieser Entwurf die Gegner einer Innovationsrisikogarantie nicht zu überzeugen vermochte. Die Fraktionen der FDP, der SVP und der Liberalen blieben dabei, dass es sich bei der IRG um ein systemwidriges, wettbewerbsverzerrendes Instrument handle. Dieses Argument gründete sich nicht zuletzt darauf, dass die an sich begrüssten Steuererleichterungen lediglich bei Inanspruchnahme der IRG gewährt werden sollen. Neben den sachlichen Argumenten war jedoch nicht zu überhören, dass bei der ganzen Auseinandersetzung auch die Unzufriedenheit der Freisinnigen mit dem zum erstenmal nicht aus ihrer Partei stammenden Vorsteher des EVD mitspielte. Immerhin waren die Reihen nicht ganz geschlossen. So sprach sich etwa im Nationalrat der Freisinnige Etique für das Projekt von Bundesrat Furgler aus, während sich umgekehrt Ständerat Kündig im gegnerischen Lager befand. In beiden Kammern unterlagen die Nichteintretensanträge ungefähr im Verhältnis eins zu zwei. Die in den Detailberatungen noch gerinfügig modifizierte Vorlage passierte die Schlussabstimmung mit Stimmenzahlen von 26 zu 8 resp. 114 zu 56. Gleichzeitig hiessen die Räte einen Bundesbeschluss über die Finanzierung der IRG gut. Mit der Überweisung einer entsprechenden Motion der Ständeratskommission gab das Parlament im weiteren dem Bundesrat den Auftrag, dafür zu sorgen, dass die Ausleihe und Bildung von Risikokapital auch dann in den Genuss von Steuererleichterungen gelangt, wenn die IRG nicht in Anspruch genommen wird. Eine Motion Brahier (fdp, JU; Mo. 84.480), die fiskalische Erleichterungen auch für sich umstrukturierende Unternehmen forderte, wurde demgegenüber von Bundesrat Stich bekämpft und von der kleinen Kammer nicht überwiesen.

Innovationsrisikogarantie (BRG 83.048, Teil II)
Dossier: Mesures de promotion de l'économie suisse dans les années 1980

Les résultats de l'élection au Conseil des Etats, dont le renouvellement a lieu en même temps dans la plupart des cantons, correspondent aux déplacements de sièges au Conseil national, mais non point aux rapports de force au sein du dit Conseil. Dans trois arrondissements électoraux, les radicaux sont parvenus à ravir un siège aux socialistes. Ceux-ci ne détiennent plus que six mandats et ont donc perdu le terrain conquis en 1979. Avec ses 14 sièges, le PRD s'approche à nouveau du PDC prédominant avec 18 mandats. L'UDC et les libéraux conservent leurs positions avec respectivement 5 et 3 sièges. Les mandats les plus convoités furent certainement celui du canton du Jura et celui du canton de Zurich dont les titulaires ne se représentaient plus. Venues d'horizons politiques très divers; cinq personnalités dans le premier canton et quatre dans le second se sont disputées la succession des socialistes Pierre Gassmann (JU) et Emilie Lieberherr (ZH). Celle-ci avait renoncé à solliciter sa réélection à la suite de divergences avec son parti. Toutefois, dans les deux cas, les candidats choisis par les socialistes ne sont pas parvenus à obtenir le siège, car ils ont été supplantés par les radicaux Gaston Brahier (JU) et Rico Jagmetti(ZH). Plus spectaculaire encore fut l'issue 'du scrutin à Genève où Robert Ducret (prd) évinça le conseiller aux Etats sortant Willy Donzé. Les autres élections de l'automne n'ont pas provoqué d'autres changements. Au printemps déjà, l'élection complémentaire consécutive à l'arrivée d'Alphons Egli (pdc, LU) au Conseil fédéral n'avait pas apporté de changement d'appartenance politique. Dans les 20 cantons où les élections au Conseil des Etats eurent lieu en automne, 74 candidats se présentèrent. Dans quatre arrondissements électoraux seulement, le nombre des candidats ne dépassait pas celui des sièges à repourvoir. L'avantage dont jouissent les conseillers aux Etats sortants s'est manifesté dans les cantons de Fribourg, du Valais, de Neuchâtel et du Tessin mais, bien qu'étant favoris, ils n'ont pas atteint la majorité absolue au premier tour. Or, dans ces cantons, tous les «challengers» malheureux ont retiré leur candidature entre les deux tours, à l'exception de Gabrielle Nanchen, ancienne conseillère nationale socialiste, qui a tenté, sans succès, de faire échouer l'entente interne du PDC en Valais.

Autres nouveaux élus: Josi Meier (pdc, LU), élue au remplacement de A. Egli au printemps; Camillo Jelmini (pdc, TI), Daniel Lauber (pdc, VS), Franco Masoni (prd, TI), Heinz Moll (prd, TG), Xaver Reichmuth (pdc, SZ) et Otto Schoch (prd, AR).

Elections au Conseil des Etats 1983
Dossier: Elections fédérales 1983 - aperçu