Prévoyant des difficultés à atteindre les objectifs fixés par le Protocole, la Confédération a cherché des solutions «complémentaires» en négociant des «droits de polluer» à l'étranger. A cet effet, elle a signé en juin un «accord de répartition» des gaz à effets de serre avec la Bulgarie. La Confédération investira dans des projets de modernisation de centrales thermiques bulgares obsolètes. En échange, la réduction des gaz à effet de serre sera inscrite à son profit dans le cadre du Protocole du Kyoto. Un autre accord de ce genre est en discussion avec la Roumaine et d'autres pistes sont suivies.