Le brigadier Eugénie Pollak – à la tête du Service féminin de l'armée (SFA) depuis janvier 1989 – n'envisage aucune réforme fondamentale. L'effectif du SFA a passé de 1'850 soldates en 1970 à 2'660 en 1989; 600 femmes manquent à l'appel pour qu'il soit complet. S'il est hors de question que le SFA devienne obligatoire, Eugénie Pollak désire néanmoins renforcer la formation de ses recrues, notamment dans le domaine technique.
- Mot-clés
- Date
- 11 avril 1989
- Type
- Acte administratif
- Acteurs
- Sources
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- Presse du 11.4.89.
de Brigitte Caretti
Modifié le 04.10.2024
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