Economie
Politique économique générale
Die bisherige Rahmenpolitik soll den Richtlinien zufolge fortgeführt werden — Vermehrte Zuwendung zu Zukunftsproblemen und prospektivem Denken — Ansätze zu Revisionen des Aktien- und des Markenschutzrechts — Exportsteigerungen bewirken einen Konjunkturaufschwung — Grösseres reales Wachstum bei geringeren Preissteigerungen — Die Konzeption der Krisenbekämpfung wird geprüft — Unterschiedliche Entwicklung in einzelnen Wirtschaftszweigen — Begehren nach Förderung des Fremdenverkehrs durch den Bund — Rationalisierungen führen zu Konzentrationserscheinungen — Vereinzelte Entlassungen von Personal haben den Ruf nach Rationalisierungsschutz zur Folge — Verschärfter Konkurrenzkampf im Detailhandel — Die Kartellkommission intensiviert ihre wettbewerbspolitische Aktivität — Die Konsumentenschutzorganisationen wünschen staatliche Unterstützung.
Le rapport du Conseil fédéral sur les « grandes lignes » fixe pour objectifs à la politique économique, avec les réserves qu'imposent les facteurs non économiques, de créer les conditions nécessaires à une production aussi forte que possible et à une répartition des revenus tirés de cette production aussi conforme que possible à l'effort de ceux qui y participent. La conception générale de la politique économique, telle qu'elle a été éprouvée jusqu'ici, devrait permettre la réalisation de ces objectifs. Ce sont le développement de la croissance et le progrès de la productivité qui devraient constituer les priorités des années à venir
[1]. Le conseiller national Schürmann (ces, SO) fit valoir au cours des débats l'importance des relations réciproques qu'auront la politique économique et l'encouragement de la croissance d'une part avec les transformations rapides, dont l'ampleur et la portée sont encore difficiles à évaluer, qui surviennent dans d'autres domaines, d'autre part
[2]. L'insécurité ressentie face à l'avenir a provoqué le besoin d'une planification et d'études prospectives plus poussées. Ainsi, plusieurs interventions parlementaires réclamèrent du Conseil fédéral un rapport sur les problèmes à résoudre à l'avenir, et sur la coordination à réaliser entre les efforts du secteur public et du secteur privé
[3]. Le délégué aux questions conjoncturelles, le professeur H. Allemann, fut chargé d'élaborer une étude prospective; sur quoi, une commission présidée par le professeur Kneschaurek a entrepris de faire d'abord une analyse scientifique et prospective du développement national, en vue de définir ensuite des objectifs et des priorités à l'activité des pouvoirs publics
[4]. Des études et des plans de développement ont déjà été conduits sur le plan régional et dans le secteur privé. Un institut genevois a tenté; en menant un travail de ce genre, de donner une base d'appréciation aux cadres d'entreprises appelés à prendre des décisions dans l'« ère scientifique », et de leur rendre familière l'attitude prospective
[5]. Après de longues années d'études, le canton du Tessin a élaboré, premier en Suisse à le faire, un plan détaillé de programmation économique par les autorités. Le gouvernement de Bâle-Campagne présenta un ensemble de directives pour la réalisation des tâches à venir. Dans le canton de Berne, les professeurs Stocker et Risch ont élaboré une conception de développement
[6]. Le délégué fédéral aux questions conjoncturelles a estimé pour sa part ne pouvoir accorder que peu de. chances de succès aux politiques régionales de développement, à cause des structures fédéralistes de l'Etat et du système libéral en vigueur
[7].
De nouvelles dispositions ont été en discussion ou en préparation sur le plan juridique. Un avant-projet de révision de la loi de 1890 sur la protection des marques de fabrique fut soumis par le DFJP à l'examen des milieux économiques intéressés. Ce projet accorde à la marque le caractère d'un droit subjectif du détenteur et dépasse ainsi la constatation d'un simple fait de politique concurrentielle
[8]. Le Conseil fédéral proposa encore aux Chambres d'approuver l'adhésion de la Suisse à l'accord international instituant l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle
[9]. Au congrès des juristes suisses, à Soleure, certaines constatations de grande portée furent faites sur la nécessité d'adapter aux exigences actuelles les réglementations de la société anonyme, de la coopérative, de la fondation et de la société simple
[10]. De divers côtés, on a demandé en outre que les sociétés anonymes publient plus de leurs résultats financiers; un changement de mentalité et des progrès dans ce sens sont devenus sensibles
[11]. Le DFJP chargea enfin une commission d'examiner si la révision du droit des sociétés était urgente et sur quels points elle devrait porter
[12].
Situation conjoncturelle
L'évolution de la conjoncture a été placée en 1968, dans la plupart des pays industriels, sous le signe de l'expansion. Cela vaut avant tout pour l'économie de l'Europe occidentale, alors que celle des Etats-Unis ralentissait son développement. Le fort rythme de croissance noté en Europe et le bond en avant du commerce mondial survenu dans la seconde moitié de l'année ont été déterminants pour l'évolution de la croissance en Suisse. Les prévisions pessimistes n'ont pas été corroborées par les faits. Les mesures que l'OCDE avait recommandé à la Suisse de prendre pour augmenter la croissance, soit de stimuler la demande intérieure et de pratiquer une politique déficitaire de dépenses publiques, n'ont pas eu à être appliquées. Le Conseil fédéral, dont la politique n'avait pas, pour la première fois, été entièrement approuvée par les experts de l'OCDE, avait repoussé l'idée d'une action sur l'expansion intérieure, dont il jugeait les effets trop inflationnistes, pour estimer que la stimulation provenant du commerce extérieur serait suffisante. Certes, l'objectif de croissance économique fixé par l'OCDE, soit 4,5 % par an, n'a pas été atteint
[13]. Toutefois, le produit national brut a dépassé le montant de 73 milliards en 1968, ce qui implique un taux de croissance nominal de 6,2 % et un taux réel de 3,5 % environ (1967: 2 %). Ce taux doit sa hausse réjouissante, entre autres facteurs, à la faiblesse du renchérissement: l'index des prix de détail n'a augmenté que de 2,4 %, soit la plus faible augmentation depuis 1961. Les prix de gros sont en moyenne restés stables. Le facteur le plus important de renchérissement a été les loyers, qui ont augmenté de 6,7 % en 1968, après la fin du contrôle des loyers sur les immeubles anciens; le taux a été influencé aussi par le plus grand nombre d'immeubles modernes à loyers relativement plus élevés dont la statistique a tenu compte. Les transports (+ 4,6 %), à cause de la hausse des tarifs, ainsi que l'hygiène et la santé (+ 4,3 %), à cause de la hausse des frais médicaux et hospitaliers, ont marqué une augmentation supérieure à la moyenne: le renchérissement a donc été principalement limité au secteur des services, loyers exceptés. Les biens d'équipement sont même devenus meilleur marché (- 1,2 %)
[14]. L'évolution des prix de détail a confirmé le fait qu'il faut une période assez longue pour que l'équilibre économique général se répercute jusqu'aux prix des biens de consommation. Le calme qui régnait sur le plan de la politique conjoncturelle a permis au délégué du Conseil fédéral aux questions conjoncturelles de retravailler la doctrine présidant à la lutte contre les crises, pour libérer celle-ci de l'influence trop forte des souvenirs de la crise des années trente. Le délégué accorda à l'encouragement de la recherche appliquée le rôle d'un nouvel instrument préventif
[15].
Toutes les branches de l'économie n'ont pas participé également à la reprise conjoncturelle. L'industrie chimique a marqué le plus fort taux de croissance, alors que la construction, malgré une animation plus forte dans le secteur du logement, avait à souffrir du sous-emploi de ses capacités dans le secteur du génie civil. Le volume des affaires de l'horlogerie n'a dépassé celui de l'année précédente que de peu: la fabrication et les exportations n'ont augmenté. que de 4 %. Le commerce de détail est resté encore en dehors de la reprise de la croissance. Le
tourisme a stagné à un haut niveau: selon les résultats provisoires connus, 30,58 millions de nuitées ont été enregistrées dans l'hôtellerie, soit 1 % de plus que l'année précédente. Le nombre des nuitées d'hôtes étrangers n'a pas augmenté, à cause des limitations de devises et des difficultés politiques intervenues dans certains pays. Les nuitées des touristes britanniques (— 13 %) et français (— 5,5 %) diminuèrent le plus fortement, alors qu'augmentaient celles de touristes d'outre-mer (+ 18 %) à l'exception des Etats-Unis
[16]. Diverses mesures favorisèrent ce résultat. On répondit à la politique d'austérité des Etats-Unis par une grande campagne publicitaire
[17]. Le président central de la Société suisse des hôteliers, E. Scherz, lors de l'ouverture du nouveau siège de la Société à Berne, annonça une réorganisation complète et l'extension des services de celle-ci
[18]. Deux innovations de l'hôtellerie furent discutées: l'introduction de la carte de crédit comme moyen de paiement et l'abolition des pourboires, qui ont toutes deux de la peine à s'imposer
[19]. L'assemblée de l'Office national suisse du tourisme prit connaissance avec satisfaction de ce que le Conseil fédéral, dans son rapport sur les « grandes lignes », range la promotion du tourisme parmi les tâches de la Confédération. Alors que le rapport ne fait qu'effleurer la question d'un article constitutionnel, deux conseillers nationaux valaisans en firent l'objet d'interventions concrètes: cet article devrait donner à la Confédération la compétence de subventionner certains investissements touristiques
[20]. Une aide sérieuse de la Confédération serait aussi nécessaire à l'organisation de Jeux olympiques en Suisse, tels que les Grisons (Saint-Moritz, Davos), la ville de Zurich et l'Oberland bernois les envisagent. Le Conseil fédéral exprima l'opinion que cette aide ne pourrait être envisagée avec quelque chance de succès que pour l'organisation de Jeux d'hiver, et encore dans un cadre très simple. La question du Conseil-exécutif bernois qui demanda si la Confédération pourrait mettre des troupes à la disposition des organisateurs, ne reçut pas de réponse en 1968 encore
[21].
Politique structurelle
Les modifications structurelles de l'économie suisse se sont poursuivies parallèlement à la reprise conjoncturelle. Les efforts de rationalisation ont accéléré le processus de concentration. Des fusions ou des accords limitant les programmes de production afin de diminuer les coûts, sont intervenus dans la grande industrie aussi. L'exemple le plus spectaculaire de ce genre de démarches est l'accord passé entre les groupes Brown Boveri/Oerlikon d'une part et Sulzer/Escher Wyss de l'autre, qui prévit la fondation d'une entreprise commune pour la fabrication de certains types de turbines, mais n'inclut encore aucune alliance financière
[22]. Des mouvements de concentration se dessinèrent de façon évidente dans l'industrie horlogère
[23]. Ces mouvements furent encore encouragés par les nouveaux statuts de la Fédération horlogère, qui, en admettant les entreprises comme membres de plein droit, accordent aux groupes les plus forts sur le marché une influence plus grande sur la politique de la Fédération
[24].
Dans certaines industries, où des difficutés d'écoulement et des pressions concurrentielles sur les prix se sont alliées aux problèmes de structure, la nécessité de rationaliser a conduit parfois à des licenciements de personnel
[25]. Ainsi 800 ouvriers et employés de la fabrique de chaussures Hug AG, à Kreuzlingen et à Herzogenbuchsee, perdirent leur emploi. Dans ce cas comme dans la plupart des autres, les problèmes de prévoyance sociale purent être résolus de façon satisfaisante, et le personnel retrouva du travail sans difficultés
[26]. On fit cependant des réserves, dans les milieux syndicaux, à l'égard des fortes concentrations. Le retard dans la rationalisation et l'expansion forcenée que l'admission sans frein de main-d'oeuvre étrangère avait entraînés se vengeraient aujourd'hui. Les déplacements de personnel exigeraient des sacrifices. Les sécurités de l'emploi seraient insuffisantes pour les travailleurs. C'est pourquoi il conviendrait d'accorder à ceux-ci un droit plus étendu à la conduite des entreprises; il faudrait aussi créer une loi-cadre pour la protection nécessaire en raison des mesures de rationalisation
[27]. On répondit à ces revendications en faisant valoir que la Suisse, en comparaison avec le reste de l'Europe et l'Amérique, en est encore au premier stade de concentration industrielle. De plus, aussi longtemps qu'à chaque fusion répondrait la naissance de nombreuses petites entreprises, le degré de concentration resterait en définitive faible
[28]. Le chômage structurel aurait pris des proportions beaucoup plus fortes à l'étranger. Il conviendrait au contraire d'augmenter la mobilité professionnelle et géographique de la main-d'oeuvre
[29].
Le commerce de détail a souffert de véritables problèmes de structure. Malgré l'augmentation globale du chiffre d'affaires de 3,9 % (4,3 % en 1967), des modifications importantes sont survenues. L'introduction partielle des ventes en soirée, la création de nouveaux centres d'achats, et surtout l'ouverture de magasins « cash and carry » ou « super-discount » où l'on trouve dans des locaux simplement aménagés des marchandises non périssables à des prix très bas, ont contraint les détaillants à prendre d'énergiques contre-mesures
[30]. La chute des prix imposés pour les spiritueux, pour l'essence et pour les articles de parfumerie, fut le résultat d'une lutte concurrentielle menée par des maisons isolées. La coopérative d'achats USEGO en ressentit l'effet; pour la première fois en plus de 60 ans d'existence, elle enregistra une perte. La direction de la coopérative fut remplacée, afin de maîtriser la situation et de procéder aux mesures d'économie et de réorganisation nécessaires, par un comité dont le conseiller national P. Bürgi (rad., SG), prit la tête en tant que président du conseil d'administration
[31]. De même, la puissante Union suisse des coopératives de consommation a jugé que son éparpillement en quelque 430 coopératives devait être revu
[32].
Politique concurrentielle
L'année a été assez calme sur le plan des mesures politiques destinées à renforcer la
concurrence. La commission des cartels, réélue selon son ancienne composition, fit diverses enquêtes. Elle parvint à la conclusion que la cartellisation du marché des carburants n'entraînait pas de suites nuisibles à l'économie. Elle recommanda l'assouplissement des accords de concurrence régissant la branche des installations sanitaires. Sur le marché des matériaux de construction, elle constata le monopole, créé par les droits de douanes, dont jouissent quatre fabricants de fers. Dans le domaine bancaire, la commission releva une concurrence assez vive malgré l'existence de cartels très développés. Son président, le conseiller national Schürmann (ces, SO) déclara lors d'une conférence de presse que l'activité de la commission trouvait déjà son utilité dans le fait que les associations mises en cause par une enquête étaient souvent amenées à détendre leurs pratiques restrictives au cours de celle-ci. La commission a été aussi chargée d'un plus grand nombre d'expertises
[33]. A la suite du postulat Müller (ces, LU), accepté par le Conseil national, elle se déclara prête à examiner les conditions de concurrence dans les domaines de la presse et de la distribution des nouvelles
[34]. C'est en tenant compte des recommandations de la commission, mais aussi sous la pression des circonstances, que la Société suisse des entrepreneurs prévit d'édicter en 1969 un nouveau règlement qui renoncerait dorénavant à tout prix imposé pour les offres et soumissions et garantirait aux membres une entière liberté à cet égard
[35].
Le besoin d'une protection efficace des consommateurs a crû aussi, comme croissaient les difficultés de comprendre les mécanismes du marché. On reconnut avec satisfaction, à l'assemblée des délégués de la Fédération suisse des consommateurs, que les milieux économiques privés et les autorités tenaient compte de plus en plus des utilisateurs
[36]. L'activité croissante des organisations de défense des consommateurs s'est traduite notamment par des tests, parfois controversés il est vrai, sur les services dans les garages, sur certains produits finis, et par un sondage d'opinion sur le système des primes
[37]. Le conseiller national Schmitt (rad., GE) réclama en outre la création d'un institut pour le contrôle de l'étiquetage et des tests. Une motion Primborgne (ccs, GE), transmise sous forme de postulat, a chargé le Conseil fédéral de préparer un article constitutionnel instituant les bases d'une politique fédérale de protection des consommateurs. Le Conseil fédéral, en répondant à ces deux interventions, fit appel à une meilleure coordination entre les organisations de protection existantes
[38]. Il faudrait soumettre le subventionnement de ces groupes (une demande a été déposée) à des conditions précises
[39]. Les milieux patronaux et des arts et métiers firent toutefois valoir que la protection atteindrait de meilleurs résultats sur le plan privé: c'est aux intéressés eux-mêmes qu'il incomberait d'abord d'agir; en outre, il ne faudrait pas sous-estimer le danger de voir les intérets des consommateurs, pris dans leur définition la plus large, devenir le sujet néfaste d'arguments politiques
[40].
[1] Cf. FF, 1968, 1, p. 1240 ss.
[2] Cf. Bull. stén. CN, 1968, p. 279.
[3] Cf. Délib Ass. féd., 1968, IV, p. 26 (motion Grütter, soc., BE), p. 32 (postulat Schaffer, soc., BE); Tw, 303, 26.12.68; Tat, 300, 21.12.68.
[4] Cf. Bulletin d'information du délégué aux questions conjoncturelles, 24/1968, p. 1 ss.
[5] Institut de recherches et d'études sociologiques et économiques, Prospective 1990, Projective 1975, Objective 1968, Etude prospective socio-économique de la Suisse dans l'environnement euro-atlantique et le contexte mondial, Genève, 1968. Cf. La Suisse. 212, 30.7.68; NZZ, 642, 17.10.68.
[6] Cf. NZZ, 197, 28.3.68 (TI); NZ, 444, 26.9.68 (BL); PAUL. STOCKER / PAUL RISCH, Einkommenslage und Wirtschaftsstruktur des Kantons Bern, Wachstumspolitische Lageanalyse und Skizze eines Förderungsprogramms, Bern 1968 (Berner Beitrage zur Nationalökonomie, 7).
[7] Cf. Bulletin d'information du.délégué aux questions conjoncturelles, 24/1968, p. 41 ss.
[8] Cf. NZZ, 457, 26.7.68.
[9] Cf.NZZ, 763, 10.12.68; FF, 1968, II, p. 917 ss.
[10] PEIDER MENGIARDI, Strukturprobleme des Gesellschaftsrechts, Basel 1968 (Société suisse des juristes, Rapports et communications, 1968, p. 1 ss.); PIERRE JOLIDON, Problèmes de structure dans le droit des sociétés, Basel 1968 (ibid., p. 427 ss.); cf. aussi NZ, 455, 2.10.68.
[11] Cf. Lb, 137, 14.6.68; GdL, 86, 11.4.68; JdG, 91, 19.4.68; JdG, 133, 10.6.68 (étude de l'« Association suisse les analystes financiers »); Tw, 58, 9./10.3.68.
[12] Cf. JdG, 109, 10.5.68.
[13] Rapport de la Commission de recherches économiques, 194, supplément de La Vie économique, 42/1969, février; NZZ, 75, 4.2.68; 117, 22.2.68; Tw, 19, 24.1.68; Vat., 47, 24.2.68; PS, 133, 13.6.68; Ostschw.. 45, 22.2.68; GdL, 95, 24.4.68; MAX WEBER, «La Suisse dans l'optique de l'OCDE », in Revue syndicale suisse, 60/1968, p. 47 ss.
[14] Crédit suisse, Bulletin, 74/1968, p. 231 ss.; NZZ, 60, 29.1.69; La Vie économique, 42/1969, p. 49 et 79 ss.
[15] Bulletin d'information du délégué aux questions conjoncturelles, 24/1968, p. 25 ss.; cf. aussi plus bas, p. 126.
[16] Cf. NZZ, 116, 21.2.69; Rapport de la Commission de recherches économiques, 194, supplément de La Vie économique, 42/1969, février.
[17] Cf. GdL, 4, 5.1.68; Vat., 21, 25.1.68.
[18] Cf. NZZ, 312, 22.5.68.
[19] Cf. Tat, 234, 5.10.68; PS, 238, 16.10.68; TdL, 26, 26.1.68; 298, 24.10.68; TdG, 263, 8.11.68; NZZ, 770, 12.12.68.
[20] Cf. FF, 1968, I, p. 1243; NZZ, 337, 5.6.68; motion Copt (rad., VS) et postulat Tissières (ces, VS) (TdG, 157, 6./7.7.68).
[21] Petite question Lampert (ces, VS) Bund, 134, 11.6.68; Lb, 262, 7.11.68; JdG, 292, 13.12.68; Bund, 283, 2.12.68 (question du gouvernement bernois); NBüZ, 324, 4.12.68; TdG, 287, 6.12.68.
[22] Cf. Bund, 31, 7.2.68; TdG, 45, 22.2.68; NZZ, 107, 18.2.68; autres accords: NZZ, 207, 2.4.68 (Contraves et Dornier System); NZZ, 244, 22:4.68 (Escher Wyss et English Electric); TdL, 121, 30.4.68 (Giovanola acquiert Zwahlen et Mayr); JdG, 32, 8.2.68 (Hoffmann-La Roche prend une participation importante à la SIP).
[23] Cf. GdL, 74, 28.3.68 (Ernest Borel et Cyma Watch); 76, 30./31.3.68; TdG, 215, 13.9.68 (Bulova et Ebauches exploitent en commun des brevets); 221, 20.9.68; 233, 4.10.68; 306, 30.12.68; TdL, 328, 23.11.68 (fondation de la Pierres Holding); PS, 297, 24.12.68.
[24] Cf. NZ, 149, 29.3.68; TdG, 70, 22.3.68; JdG, 150, 29./30.6.68; NZZ, 188, 25.3.68; sur d'autres efforts de l'industrie horlogère cf. p. 64.
[25] Cf. PS, 83, 9.4.68 (Balcana, Chiasso); 139, 20.6.68 (Cima Norma au Tessin); 152, 5.7.68 (Textilfabrik Lotzwil); 261, 12.11.68 (Zementfabrik Därligen BE); 281, 5.12.68 (Mahalla, Richterswil ZH); GdL, 257, 2./3.11.68 (Ecisa, Nyon); 256, 1.11.68 (Variel, Bösingen FR); NZZ, 793, 23.12.68 (Madega).
[26]
Cf. NZZ, 662, 25.10.68; 664, 28.10.68; 696, 11.11.68; 691, 7.11.68; NZ, 496, 26.10.68; GdL, 252, 28.10.68; gk, 46, 21.11.68.
[27] Cf. gk, 42, 31.10.68; 46, 21.11.68; 48, 5.12.68 (interpellation du CN Wüthrich, soc., BE); Vr, 63, 15.3.68; 259, 4.11.68; PS, 73, 28.3.68.
[28] Cf. TdG, 88, 13./14./15.4.68; Dov., 290, 17.12.68; Bulletin d'information du délégué aux questions conjoncturelles, 24/1968, p. 3 ss. Cf. les conférences du prof. Schaller (Vat., 262, 9.11.68) et du prof. Sidjanski (TdG, 244, 17.10.68).
[29] Cf. wf, Dokumentation- und Pressedienst, 13, 10.1.69.
[30] Cf. La Vie économique, 42/1969, p. 51; NZ, 33, 21.1.68; Vr, 55, 6.3.68; NZZ, 386, 26.6.68; Schweizerische Gewerbe-Zeitung, 15, 12.4.68; GdL, 113, 15.5.68 (critique des magasins discount par Veledes); Vat., 127, 31.5.68 (action de l'Union suisse des détaillants).
[31] Cf. BN, 175, 26.4.68; NZZ, 630, 11.10.68; 631, 13.10.68; Tat, 119, 22.5.68; 232, 3.10.68; JdG, 299, 21./22.12.68; NZ, 288, 26.6.68; 455, 2.10.68; Schweizerische Gewerbe-Zeitung, 40, 4.10.68.
[32] Cf. Genossenschaft, 38, 1.9.68.
[33] Cf. Publications de la Commission suisse des cartels, 3/1968; NZZ, 63, 30.1.68; 588, 24.9.68; Tat, 22, 27.1.68; GdL, 148, 27.6.68; NZZ, 95, 13.2.68; NZ, 72, 13.2.68.
[34] Cf. Lb, 149, 28.6.68; NZ, 400, 30.8.68. Cf. aussi plus bas, p. 133.
[35] Cf. NZZ, 718, 20.11.68; NZ, 539, 20.11.68.
[36] Cf. NZZ, 115, 21.2.68.
[37] Cf. Tw, 156, 6./7.7.68; 158, 9.7.68; NZ, 414, 8.9.68; NZZ, 694, 8.11.68. Cf. postulat Rohner (ces, BE) au sujet des dommages causés dans la compétition économique par des tests de marchandise (Délib. Ass. féd., 1968, III, p. 32 ss.; Schweizerische Gewerbe-Zeitung, 40, 4.10.68).
[38] Cf. NZZ, 161, 12.3.68; Tw, 67, 20.3.68; gk, 11, 13.3.68.
[39] Réponse à la petite question du CN Rohner (ccs, BE) (Bund, 208, 5.9.68; Schweizerische Gewerbe-Zeitung, 27, 5.7.68).
[40] Cf. Schweizerische Gewerbe-Zeitung, 14, 5.4.68; Vat., 72, 25.3.68; wf, Dokumentationsund Pressedienst, 55, 11.11.68.