Alors qu'une première vague de suppression de postes avait touché principalement les intérimaires et employé.e.s de petites sociétés après le premier confinement, une deuxième vague devrait toucher les commerces de détails des biens de consommation et du luxe, ainsi que les services aux entreprises, d'après l'analyse du cabinet de reclassement Von Rundstedt. Alors que d'autres études relèvent l'allongement de la durée pour retrouver un emploi, le cabinet communique que ce n'est pas le manque de postes qui pose problème, mais surtout l'allongement des processus de recrutement. L'étude constate également que les salaires sont restés stables.