Stress, Burn-out und Verschlechterung der Arbeitsbedingungen in den Service-Public-Unternehmen (Po. 20.4228)

Im September 2020 reichte Nationalrat Mathias Reynard (sp, VS) ein Postulat ein, mit dem er einen Bericht über die Gesundheit am Arbeitsplatz in den Service-Public-Unternehmen des Bundes forderte. Der Bund verfüge mit seinen Unternehmen über eine Vorbildfunktion und solle daher aufzeigen, wie er die Gesundheit seiner Angestellten fördert.
In seiner Stellungnahme vom November 2020 beantragte der Bundesrat, das Postulat abzulehnen. Ein Bericht sei nicht nötig, da die Service-Public-Unternehmen des Bundes ihre Fürsorgepflicht wahrnehmen würden und der Gesundheit ihrer Mitarbeiter auch über die gesetzlichen Anforderungen hinaus verpflichtet seien.
Im September 2022 wurde das Postulat abgeschrieben, da es nicht innert zwei Jahren vom Nationalrat behandelt worden war.

Gesundheitlicher Zustand der Arbeitnehmenden in der Schweiz

Verschiedene Medien berichteten im August 2023 über die Ergebnisse einer 2021 durchgeführten Umfrage des SECO im Rahmen der European Working Conditions Survey (EWCS), die den Gesundheitszustand der europäischen Arbeitnehmenden, darunter auch der Schweizerinnen und Schweizer, erhob. Den Arbeitnehmenden in der Schweiz gehe es allgemein gut, bilanzierte die Umfrage – vor allem im Vergleich zu den Arbeitnehmenden in anderen europäischen Ländern. So liege der Anteil an Arbeitnehmenden, die unter gesundheitlichen Problemen wie zum Beispiel Schulter-, Rücken- oder Kopfschmerzen leiden, in der Schweiz durchschnittlich niedriger als in Europa (CH: 37%; Europa: 46%). Jedoch gaben 27 Prozent der Schweizer Arbeitnehmenden an, dass die Stressoren am Arbeitsplatz die entlastenden Faktoren überwiegen, 23 Prozent der Schweizer Arbeitnehmenden erachteten gar ihre Sicherheit oder Gesundheit durch die Arbeit gefährdet. Die NZZ und der Tages-Anzeiger verwiesen jedoch darauf, dass diese Zahlen während der Corona-Pandemie erhoben worden waren, als die Arbeitnehmenden, insbesondere im Gesundheitssektor, stark belastet waren. Als positiv stuften die Medien hingegen das Resultat ein, wonach 91 Prozent der Schweizer Arbeitnehmenden ihre Arbeit als oft oder immer sinnvoll erachteten.

Ordonnance sur les travaux de construction. Adapter à la pratique la nécessité de soumettre un plan de sécurité et de protection de la santé (Mo. 22.4199)

La conseillère nationale, Sandra Sollberger (udc, BL) a déposé, en septembre 2022, une motion proposant une modification de l'article 4 de l'Ordonnance sur les travaux de construction (OTConst). Cet article, entré en vigueur en janvier 2022, vise à protéger les travailleurs lors des travaux de construction et oblige l'employeur à présenter un plan de sécurité et de protection de la santé sous la forme écrite avant le début du chantier. L'autrice de la motion voudrait libérer les entreprises de construction de cette obligation pour les petits travaux, par exemple de moins d'un quart d'heure, en ajoutant un alinéa à l'article, qui précise que: «La Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (Suva) peut prévoir des exceptions». Elle justifie que cette pratique est inefficiente et représente une charge de travail disproportionnée pour les travaux standardisés qui ne font face qu'à très peu, voire aucun danger.
Le Conseil fédéral a estimé qu'il était prématuré d'évaluer l'efficacité des plans de sécurité. De plus, afin de diminuer la surcharge administrative, la Suva a élaboré, en collaboration avec les partenaires sociaux, des plans standards pour les petits travaux dans les branches de l'installation électrique, de la plâtrerie et de la peinture. L'organe exécutif a donc invité les parlementaires à rejeter cette proposition.
La chambre basse a toutefois accepté la motion par 123 voix contre 65 et une abstention. Les membres constituant la majorité proviennent du PLR (27), de l'UDC (62), du Centre (27) et des Vert'libéraux (7).

Für eine vereinfachte Auszahlung der Schlechtwetterentschädigung bei grosser Hitze (Mo. 24.3581)

Johanna Gapany (fdp, FR) wollte im Juni 2024 mit einer Motion das AVIG anpassen, um die Auszahlung von Schlechtwetterentschädigungen aufgrund von grosser Hitze zu vereinfachen. In der Herbstsession 2024 begründete die Motionärin ihren Vorstoss im Ständerat damit, dass der Klimawandel zu einer massiven Zunahme von Hitzewellen geführt habe, welche die Arbeit im Freien erschwerten. Das AVIG sei in dieser Hinsicht veraltet und die darin enthaltene Regelung der Schlechtwetterentschädigung eher auf Kälteperioden ausgelegt. Neu solle die Entschädigung auch nur für einzelne Stunden, wenn die Temperatur besonders hoch sei, ausbezahlt werden und nicht mehr nur für ganze oder halbe Tage gewährt werden. Auch die drei Karenztage zwischen den Entschädigungsperioden funktionierten bei Hitzewellen nicht, weswegen man auf diese bei kurzen, aber intensiven Hitzeperioden verzichten müsse, so Gapany. Bundesrat Guy Parmelin forderte im Anschluss den Ständerat dazu auf, die Motion abzulehnen: Dem Bundesrat gehe die vorgeschlagene Änderung deutlich zu weit, zumal die Motion einem Paradigmenwechsel gleichkomme. Die kleine Kammer entschied sich mit 22 zu 14 Stimmen dazu, die Motion anzunehmen.

Gesundheitsschutz der Bauarbeitenden stärken, Fristen bei Hitzewellen verlängern (Mo. 24.3820)

La CER-CN a décidé, par 15 voix contre 7 et une abstention, de déposer une motion chargeant le Conseil fédéral de mettre en place des mesures de protection de la santé des ouvrières et ouvriers du secteur de la construction. La motion demande que les événements naturels – tels que les fortes chaleurs –, réglés par la norme SIA 118, soient obligatoirement pris en compte lors de la planification et de l'exécution des travaux. Les membres de la commission exigent également que les entreprises, contraintes d'interrompre leurs travaux lors de vagues de chaleur extrêmes, ne subissent pas de sanctions pour les retards engendrés et que les maîtres d'ouvrage publics puissent ainsi prolonger les délais.
La minorité de la commission, représentée par Thomas Burgherr (udc, AG), a évoqué que c'est à l'employeur de garantir les mesures de santé et que l'Etat n'a donc pas à intervenir. Par ailleurs, le député agrarien a mentionné les barrières et les coûts liés à cette nouvelle réglementation, qui pourraient freiner le domaine de la construction.
De son côté, le Conseil fédéral souligne que les vagues de chaleur nécessitent une évaluation au cas par cas des conditions de travail sur les chantiers et que les outils de la SUVA et les alertes de MétéoSuisse permettent de mieux évaluer les risques. De plus, le Conseil fédéral a mentionné la participation des maîtres d'ouvrage publics à une table ronde sur la gestion des canicules sur les chantiers afin d'élaborer des solutions. C'est pourquoi, au vu des actions engagées, le gouvernement estime que cette nouvelle mesure n'est pas nécessaire.
Lors de la session d'hiver 2024, la motion a été acceptée par le Conseil national par 123 voix, contre 62 et 6 abstentions. Seul le groupe UDC n'a pas apporté son soutien à la proposition de la CER-CN.