Cependant, c'est dans le canton de Vaud que la situation de la CEDRA fut la plus inconfortable puisque, suite à l'opposition de la commune d'Ollon et du Cado (Comité anti-déchets Ollon), elle ne put entreprendre ses travaux préliminaires. Un compromis intervint néanmoins en janvier entre les opposants et le Conseil d'Etat vaudois, selon lequel la CEDRA fut autorisée à effectuer, sans entrave, ses premières mesures. En échange, le gouvernement cantonal fit part à l'exécutif fédéral de «ses doutes quant au principe d'un dépôt définitif non contrôlé des déchets radioactifs».
- Schlagworte
- Datum
- 12. Februar 1990
- Prozesstyp
- Gesellschaftliche Debatte
- Akteure
- Quellen
-
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- Presse des 6.1. et 12.2.90.
von Brigitte Caretti
Aktualisiert am 12.08.2019
Aktualisiert am 12.08.2019